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Orgue a cylindre. C’eft un tnoyen d’un cylindre noté , mis eno rmguoeu qvuemi joeunetp aaur
une manivelle. Tom. IV, pag. 172.
Orgue de Ba r b a r ie . C’eft aufli un orgue mécanique
que l’on fait jo u e r par le moyen d’une
lminadnriev enlloet éj .l aquelle donne le mouvement à un cy-j I b id .
Or ient. On dit des perles , qu’elles font d’un
bel orient , lorfque leur 'e a u ou leur couleur eft
pbraigll.a n54te3 ., argentine 8 c rayonnante. Tom. V ,
&ïOeurfei eqnuit vaieln. tC dee l’tOerrmieen tf.e T doimt d. ’IuIn,e ppaige.r r1e8 p2r.é-
O r il lo n s . Ce font des bouffettes de foie &
dTèo mlai.n IeI 3 fervant à orner les oreilles des chevaux. 3 pag. 476.
j Or pa il leu r . Celui qui cherche les pailletés
d’or répandues dans le fable des rivières. Tom. IV, pag. 222.
tireO urnp binea ,u oruo urgéea.l gTaor mna.t uIIr e, lp oaug .a 2rt7if.iciel dont on
tirOe dres ectelsl pel aentt eOs, rTcoamn.n Ve t, tpea.g . C4o5u1l.eurs qu’on
ToOmr. tVie, . pUafga. g4eJ 4q.u’on peut faire de cette plante.
penOdsuclei lelna tdeiofcnensd. a. Çnte ft le mouvement d’une pag. 457. v. ' ' 8c e: n montant.. To'm. III,
O siers. Efpèçe des petits faules, Tom. VII3 pag.: •
O tevent j ou A u v en t . Affemblage de planches
qu on met au-defius d une boutique pour la
garantir du vent, 8c de la pluie. Tom. I, pag.
O uïes. On appelle atnfi les ouvertures pratiquées
dans la table fupérieure des violons 8 c autre« :
inftrumens femblables. Tom. IV , pag.' 172."
ToOmv. iIn, .p Caogr. d2e5 a.ttachée à une extrémité de l’ancre.
O v o ir . Cifekt dont un bout^ creufé comme
I L E
lr’eelxiterfé meni toév da’leu.n Tooemuf., Ife, rpta àg .f7a0ir9e. fur le métal urt
OuRDiR.En maçonnerie,ce terme fignifie mettre
le premier enduit avec de la chaux ou du plâtre,
fur un mur de moellons. Tom. IV, pag. 360.
O urdir a l a tringle ( art du nattier K C’eft attacher à une tringle les cordons de paille
pour les ajufter, ou pour en faire des nattes. Tom.
V, pag. 347.
O urdis sure. Terme de vannier pour figni-
fier l’union du fond d’une pièce de vannerie avec
fes autres parties. Tom. VIII, pag. 343.
Oûtibot fart de l’épinglier ). C’eft dans la
machine pour frapper les têtes d’épingles la partie
qui porte le poinçon. Tom. II, pag. 476.
Outil a ondes. Cet outil, compofé de plufieurs pièces, étoit autrefois à l’ufage des ébe-
niftes pour travailler le placage. Tom. II, pag.
317.
Outil p l a t . Outil d’àcier ou de cuivre à l’u**
fage des lapidaires. Tom. II, pag. 182.
Outils. Les batteurs d’or appellent ainfî les affemblages des feuillets de velin ou de baud21ru1c.
hes, dans lesquels on bat l’or. Tom. I, pag.
Outil crochu. Efpèce de cifeau tranchant
qburiie erfst; Tà odmem. iI Vco u, rpbaég .e n4 1c5ro.chet, à l’ufage des marlazOului.
tRToemme. rI., Cpa’egf.t 2le1 b9e.au bleu qui fe tiredulapis
Ou v r ir une applique. Opération du metteur
en oeuvre , laquelle .confiée à percer avec
lIeI ,d prailgl.e ,1 l8e2s. trous pour recevoir les pierres. Tom,
II,O pxa ygc. r24a8t.. Mélange d’eau & de vinaigre. Tom»
miel & de vinLaiigqruee. uTri >pmro. vVenIa, npta gd. ’7un28 m»élange de
A L P H A B É T I Q U E 8 67
P.
P, Caradèrealphabétique, Tom. II, pag. 398.
Pa il l a s se . Nom que les diftillateurs d’eaux
fortes donnent à un maflif en briques fur le fol,
& au-deflous du manteau de la cheminée. Tom. Il ,
pag. 300.
P aille. Ce mot défigne un défaut qui fe trouve
quelquefois dans les pierres précieufes, particulièrement
dans les diamants. Tom. II, pag.
182.
P aille. Veine de fer ou d’acier qui n’eftpas
bien foudée, Tom. II, pag. WM
Pailleux (fer). Ou qui a beaucoup de veines
défe&ueufes. I b id .
Pa il lo n s . Petites lames de métal auxquelles
font attachés les anneaux ou crochets qui donnent
de la flexibilité à la chaîne. Tom. I, pag. yod.
Paillon s. Nom que l’on donne à de petites
feuilles carrées de cuivre battu très-minces, 8c colorées d’un côté qu’on met au fond des chatons
des pierres précieufes. Tom. II, pag, 182.
P àillonner (art du potier d’étain). C ’eft éta-
mer en failant" fondre des paillons d’étain fur une
pièce enduite de poix réfine. Tom. II, pag. 494.
P a in . Aliment fait de farine pétrie 8 c cuite,
Toim I, pag. 25-1.
A ^ ym e . Pain fans levain, pag. 282.
B o n -p r é n i c le , ou B o n - p o u t - n i c o l . Pain de Weft-
phalie compofé avec des farines d’orge, de feigte»
8 c dè farrazin. I b id .
D e b ou lan g er . Pain du marché, I b id .
B i s . Pain fait avec de la farine 8 c des gruaux.
I b id .
B i s ’ b la n c . Pain qui eft fait de farine blanche &
de fin gruau. I b id .
B la n c . Celui qui eft fait de farine blanche 8ç tirée
au bluteau. I b id ,
D e b ra n e . C’eft le pain du poids de douze livres.
I b id ,
C h a la n d . Pain très-blanc. Ib id *
D e p â te f e rm e . C’eft le pain blanc de ménage*
I b id .
B o u r g e o is . On nomme ainfî le gros. pain. I b id .
D e m ie . C’eft un pain fait exprès pour paner leç
viandes que l’on rôtit. I b id .
M é to u r n é . Pain inégal & défiguré. I b id .
D e f o n . Celui dans lequel il entre plus de fon
que de farine. I b id .
C h a p e lé . Petit pain dont on a enlevé la plus gfoffe
croûte. I b id .
D e c h a p itr e. Efpèce de pain fupérieure à celle
du pain ç h a la n d . I b id .
F e r r é . C’eft le pain brûlé delïous par la cuiffon.
I b id .
D o u x le v é . Celui dont la pâte n’a pas bien fermenté.
I b id .
G r a s - c u i t, ou p â t e u x dont la pâte eft matte &
peu fermentée. I b id .
E n b ou r r e le t. Celui qui eft formé comme un bourrelet.
I b id .
D e f r o m e j i t . C’eft le meilleur 8 c le plus nourrif-
fant. I b id .
D e g ru a u . Il eft fait de farine de gruau 8c d’une
pâte un péujaune, mais bonne. I b id .
C ornu & en a r t ic k a u x . Petit pain qui eft fait en
cornes. I b id .
A la r e in e . Petit pain fendu par le milieu. I b id .
A la S ig o v ie . Petit pain quia une tête au milieu.
'Ib id . '
P e t i t p a in . Il eft fait avec une pateplus ou moins
légère. I b id .
D 'a v o i n e , de f a r r a z in , d 'o rg e , de m i l l e t , d e b le d
d e T u r q u ie , d e f e ig l e . Pain fait de la farine de ces
différentes fortes de grains. I b id .
B i f c u i t d e m e r . Pain d’une pâte très-ferme 8 c bien cuite. I b id .
Pa in en p â t e . C’eft la quantité de pâte à employer
pour ayoir après la cuiffon, un pain d un
poids déterminé, Tom. I, pag. 281.
P ain demi-m ollet. Il ne faut qu’un quart de
la pâte, 8c lorfque le pain eft à moitié prêt, on
fait un antre levain de levure de biere, T. I p. 282.
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