
Df.TRaTERjii'es, OXWF.&. C ’eft les,pAffer fous
la meule. Tom, y , p a g .^ S . •
D evers. Écroulement dès couches dans une
çamère^d’ardoile. T o n u l, pag. 67. .
D éversé ( bois V Celui qui n’eft pas droit par
rapport a Tes angles §c à'les. côtés. Tom. I ,
pag. dof. 1 " ' ' V
Dé v o y e r un tu yau i>e cheminée . C ’eft après-
ravoir monte verticale ment le détourner de fa
ligne droite, Tom. I I I , pag. i iS .
D e z . Efpèce de pyrite de forme cubique quon
rencontre dans certainescarrières d'ardoife.. Tom.
I ^ pag. é j y s.
D iab le ( le ) , dans la gîaceriç, On donne ce
nom à un fort levier de fer d’environ fept pieds de
long. Tom, III, pag. 218,
Dia b lo t in , On appelle aiufi dans les indi-
goteries le petit badin creufé dans fqnd du
va-ifleau nommé le repofpir, Tom; III, pag. (>5$,
Diablotins. Efpèces de dragées faites de cho?
colat inçmfie de fuçre èn grajns très-durs, Tom.
l/ p a g t7^ f
Diam A,n t . Pierre précleufe la plus dure , U
plus pefante , la plus brillante. Tom. I I , pag. 144,
Dia m a n t , les vitriers appellent ainfi lin diamant
fin, dont ils fe fervent pour couper le verre
j l eft monté à Pextrénaiié d’un petit mançhe.
Diam a n t a r a b o t , C e ft le diamant monté
dans une ’virole de fer ou de cuivre, laquelle
traverfe un petit morceau de buis en forme de
petit rabot.
Le diamant à queue. Eft celui q u i, au bout de la
virole, porte un manche de bois. Tom, IV , p. 708.
DlA MANTAIRE-LAPIDAIRE-JOAILLIER-MET*
TLür en oe uvr e ( art du ). Tom II, pag. 144?
Pierres préc-ieufes, ibid.
Pierreries artificielles, pag. 156.
De la taille des pierres précieufes, pag, 1(34.
De la monture & mile en oeuvre des pierres
précieufes, pag. 171?
V o c a b u l a ir e , pag. 177, ;
7 . plancmes gravées. Tom. I I , des gravure?..
D ia p a so n . Les faveurs d’inftrumens de mufi-
que sfopnem ce nom à certaines tables ou font
marquées les mefures de cès iriftrumens & de
toutes leurs parties Tom. IV , pag. 161.
Dia pa s son . C ’aft chez les fondeurs de cloches
un infiniment- qui fert à déterminer la grandeur, Pé-
pailfeur & le poids des cloches qu’ils fondent. Tora.
I , pag. 726. ..
Diaphragme. Anneau de métal ou de carton
qu’on place au foyer commun de deux verres de
liinétte pour intercepter les rayons de lumière
trop éloignés, de Taxe.. Tom. IV , pag. 262.
D igeRer ou digestion Ces termes s'emploient
en parlant d’une fubftance qu'on met dans un vaif-
feau à une chaleur douce , avec une liqueur apro-
; priée ,pour en extraire quelque principe. Tom II,
pag. 247, ;
Digésteur de papin. VailTeau hermétique*
ment fermé dans lequel on fait, confommer des
viandes & même desos, dans une fuffilânte quantité
deau. Tom II,.pag. 92.
Dinanderie Mot fynonyme de chaudronnerie,
pour lignifier une quantité d’uftenfîles de cuivre.
Tom. I , pag. 655.
DlSTILLATEUR-LlQUORTSTE-CAFETIEIt-LIMO-
n adier (art du ). Tom, I I , pag. iSy.
Fabrication & diftillation des liqueurs fpt-
ritueufes , ibid.
Des liqueurs agréables au g o û t, pag. 200,
Ratafiats & vins artificiels, pag..223,
Fruits confits à ^eau-de-vie , pag.. 12.6»
Des liqueurs aqueufes, pag. 229*
Caffé, thé, chocolat, pag. 232.
Des liqueurs fraîches , pag. 2.39*
V o ca bula ire , pa^. 245.
4 planchas gravée^ Tom, I I , desgrayures.
Dis til la tio n C ’eft l’ opération par laquelle
;©n fépare 8e on recueille à l’aide d’un degré
de chaleur convenable les principes fluides & vpla-
tiis des corps. Tom. I I , pag. 247.
Distribut ion . Ce mot dan* la pratique de Tim*
primerie s’entend d’une quantité de pages ou de
tormesdeftinées, après avoir pafifé fousria .preffe,
a être remifes dans les cafés lettre à lettre &
dans leur calfetin pour reproduire, dè nouvelles
pagès & de nouvelles formes. Tom. I I I , pag. 601,
"D odinage. C ’ eft dans un moulin l’appareil
d’un fécond bluteau qu’on place fous le premier
g/ qui fert à féparer les gruaux du gros fon.
Tom. V , pag. 5»3,.
Doleau. Outil de fer. dont fe fert l’ardoi^er
pour travailler & former l’ardoife. Tom. I , p. '67,
D oler le plomb. C ’ eft enlever avec un couteau
les bavures dû plomb qui fe font formées
dans la lingotiere. Tom. V I I I , pag. 708. s
Do loire. Efpèce de hache dont les tonneliers'
fe fervent pour dégrqlfir iesdouves. Tom. V I I I ,
pag,f 79.
D ominos. Nom que l ’on donnoit autrefois; aux
papiers marbrés & peints de toutes fortes; de couleurs
& -figures. Tom. I V , pag.;.395, |
D om in ot ier. Ouvrier qui fabrique 8c vend
des papiers peints ou tachés de toutes fortes d e '
couleurs ou figurés. Tom. I V , pag. 395.
Dorer le pain. C ’eft mouiller avec du lait la
furface du pain, afin qu’elle prenne de la couleur
en euifant. Tom. I , pag, 279.
Do rm an t. C ’eft une forte de furtout en verre,
cryftal ou métal qu’on met au milieu dë la table
arec le premier fervice pour ÿ refter jufqu’ à la
fin du repas. ^om. II * pag. 92.
DoReüR fur*métaux, für bois'y fur cuir , fur
verre & autres matières (art du). Tom. I I , pag.
Procédés pour appliquer fo r comme dorure,
ibid,'
V oca bula ire , pag. 271. " <
4 planches gravées, tom. II des gravures.
D o r o ir . Petite broffe ou efpèce de-pinceau
pour dorer le pain, en mouillant fa furface avec
du laifc Tom. I , pag. 279.
i D orure. C ’eift l’art d’employer l’or en feuille
& l’or moulu, pour en couvrir certain corps.
Tool.,Il J pag. 2J-J. ; ,
Dos. Le dos du cheval va depuis le garrot juf-
qu’aux reins.
On appelle dos de carpe ou dos de mulet un dos
trop élevé. Tom I , pag. <$4f4-
DossereT. Jambage formant le pied-droit
d’une porte ou d’une croifée. Tom. IV , pag.'3 47.
Dosses. C ’ êft la première 8c la dernière plan -
che qui fe lève lorfqu’on fait débiter une pièce
de bois carrée. Tom. I , pag. 6©y.
i ■ D o u b l e b e c . S o r te de duillèfe ' à T u fâ g e des
Iciriers. T o rh . J , p a g . ■
i D o u b l e-jo in t ( côut’e.aïf à’ ) . ! Celui qui étant
, ouvert n e laide point apercevoir1 la loge de la.
■ lamé. T om . I I , pag. 53. *
• ^ D o u b l e s c a r t o n s . .Cartop's*formés par la réu.
iriion de -déiix feuilles à ia c l i v é '0:1 -au c t j l la g é .1
iTom. I , pag. 492,. .
■ " D oubler-. (;art du •cirier,)i'G,e-ft aflerftbler plu- ’
fieurs brins de c^tdn - en Æes-t 0 tir riant3 fùr- Un tour
.pour en faire des mèches. Tom. I , pag. 699,
- D o u b l e r les toiles. C ’eft enfermer la -cire r &K
ibannée entre les toiles, ibid.
D oublets. Pierres précieufes imitées par deux
morceaux de.cryftâî entre leftpielîé-s oh a enfermé
des couleurs ou une feuille de métal, colorée.
Tom. I I , pag. 179.
D o u b l i s . R an g de tuiles qui s’ a cc ro ch ent au
cours des lattes au-defïiis de la chanlatte. T om . I I ,
m t f 1 ' V
» i D o u b l o n ( te rm e d ’im p r im e r ie ) . C ’é f t la répét
i t io n d’un m o t ,, d’une lign e o u d’une phrafe que
;lë com po fitéu r a fa ite dans fa com p o fition . T o m ,
'I II , p a g i 601. ' " . -
‘ D o u b l u r e de l ’écaille, On appelle ainfi la cou-
jche de couleur qu’on met fous lecaillè pour lui
donner du fond. Tom. II ^ pag. .3.39.
DoVci. C ’eft le pôli des glacés ail moilon, à la
.roue ou avec le fable doux. Tom. III, pag. 218.
D o u v e s . Petites planches de chêne plus lon-
•S^e.s-T‘^ lèrpe? dont les tonneliers fe fervent pour ■
fabriquer des tonneaux. Tom. V I I I , pag. 179.
• ■ DouzAiNES. Fufées de 3 3 4 douzaines. Ce font
jdes fyféeç 4e 16 à rB lignes de cfiâmètrè. T o fm: I!,
|pàf ’ -I73- ,, _ ,. .
; - Drag ée. Nom que l’on, do tarie aux petites balles
de plomb fondu à l'eau, ou coulé au moule. Tom.
I I I , pag. .28,
D r a g é e s . Efpèce de petites confitures féefre«
faites de menus fruit?, amandes ou morceaux d’é-
corçe, &c. incruftés'.ou .couverts'd’un fucre très-
dur & très-blanc. Tom. J , pag. 7^3.
i Dr ag eo n s . Pp^it^ branche qui fort d’une autre
branche ou du corps de l’arbre,. Tom. V , p. 598.
( Dragons , D ragon f a u x . Nom que (es joail