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C iseau. Outil d’acier trempéA pour'couper
le fer. Tom. II , pag. y 2.
C i s e a u x . Inftrument compofé de deux lames
unies par un axe. Tom. I I , pag. 42.
C i s e l e r , ou graver une pièce de mé tal qu’on
veut argenter. Tom. I , pag. 6%
C isoir e s. Gros cifeaux à manche attaché &
monté en pied. Tom. II , pag. 52.
C iseler. C e ft enrichir un ouvrage en métal
par quelque deflin fculpté, ou gravé. Tom. I ,
pag. 705.
C i selet. Outil ducifeleur, c’eft une efpece
de burin. Tom. I , pag. 706.
C i s e l e u r e t dam a s qüineur ( art du ).
Tom, I , pag. 70;.
V o c a b u l a i r e , pag. 708.
'1 P l a n c h e s gravées, Tom. I , des gra•
vures. -
C iv e s . On a donné ce nom à de petites pièces
rondes de verre, qu’on affembloit avec des morceaux
de plomb refendus des deux côtés. Tom.
V I I I , pag. 708.
C l a ie . En terme d’orfèvre , ce font de petites
cafés féparées l’une de l’autre, comme les
alvéoles dès ruches d’abeilles. Les orfèvres mettent
des claies au-delfous de leur travail pour
recevoir les paillettes d’or ou d’argent qui fe
détachent de leur ouvrage. Tom. V , pag. 434.
C l a i r e . On appelle ainfi la.cendre d’os calcinées
, leffivée, féchée & réduite en poudre impalpable,
dont on enduit la furfa'ce interne des
coupelles où l’ on fond l ’or & l’argent. Tom. III,
pag. 72.
C l a i r e - v o i e ( couvrir à ) . C ’ eft laifîer d’une
tuile à l’autre, la diftance du tiers de la largeur
de la tuile. Tom. I I , pag. 70.,
C la ir é ês. Nom que l’on donné dans les fa-
lines à des réfervoirs des marais falans.Tom. VII,
pag. j ; ; .
C l a n s . Pièces de bois affemblées dans les
liures , formant partie du fond d’un bateau.
Totn. I , pag. <304,
C lareque t ( art du confifeur )< C ’eft une
efpèce de pâte tranfparente. Tom. I , p. 763.
- C l a v ie r (art de Pépinglier). Morcea« de
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fil-de-fer ou laiton, plié de manière qu’ un brin
forme une efpèce d’anneau. Tom. I I , pag. 473.
C l e f d’une voûte. C ’eft la dernière pierre qu’on
met au hau t, pour fermer le ceintre. Tom. IV ,
pag. 345.
• C lef ( art du formier ). C ’eft un morceau de
bois un peu aigu, en forme de coin ^ u ’on introduit
dans la forme bnfée3- pour l’ouvrir autant
qu’on le veut. Tom. I I I , pag. 49.'
C lepsidre. Efpèce d’horloge,ou vafe de verre
qui fert à mefurerle temps,par la chute d’une
certaine quantité d’eau ou de fable. Tom III,
pàg. 448.
C l i n q u a n t . Feuille de cuivre jaune battue.
Tom. I , pag.. 337.
C liver". C ’eft féparer un diamant en deux ou
plufieurs parties. Tom. I l , pag. 178.
C loches ( art de la fonte des ). Tom. I ,
pag. 709.
Proportions des parties d’une cloche, p. 710.
Moule, pag. 712.
Fonte, pag. 713.
Sufpenfion d e là cloche, pag. 714.
V o c a b u l a ir e , pag. 72j .
6 P l a n c h e s gravées Tom. I , des gravures.
C loches. Ce font des vafes ou couvertures
en forme de clochçs, dont lès jardiniers fe.fervent
pour garantir certaines plantes, Tom. III,
pag. 474.
C lo iso n . Aflemblage de pièces de bois,
pofées perpendiculairement dans un appartement
ou ailleurs. Tom, I , pag. 540.
On fait des cloifons-pleines , à bois apparent..
■ — Des cloifons hourdées, dont les deux
côtés font couverts d'un enduit de plâtre.
■ — ..... Des qloifons creufes en luttant des deux
côtés.
——— - Des cloifons d’huifferie , dont les planches
font entées par en haut Sc par en bas f
dans la feuillure d’une couliffe, ibid.
C l o q u e . Se dit d’un ruban de cire , quifé noue
ou fe forme en bouton quand le cylindre n’ eft pas
chargé d’eau également partout. Tom. 13
pag, 69S. ,
c to qD s iiïP ..
C l o QUETi e r . Morceau de bois'auquel le mouleur
de briques ,attache l’archet à fil-de-fer avec
lequel il coupe la terre. Tom. I , pag. 335.
C l o u . Inftrument d e métal à tê te par un b o u t ,
gr à pointe par l ’autre. Tom. I , pag.738.
U y a différentes fortes de clous qui tirent leur
nom particulier foit de leur forme, foit de leur
ufage, foit.des ouvriers qui les emploient, ibid
C l o u A t r a n c h e t . Lien de fer-blanc fervant
à attacher les boîtes faites en bois de fapin. Tom.
IV , pag. 234.
C l o u d ’ é p in g l e . Les épingliers font avec du
fil de fer ou de laiton de petit clous dont la tête
eft rivée avec le marteau. Tom- II j pag. 473’
C l o u s d ’ e n c e n s . Compofition de d re & d’o-
liban qu’on recouvre d’une feuille d’or pour le
cierge pafcàl. Tom. I , pag. 698.
C l o u iÈr e . Pièce de fer carrée / avec des trous
pour y former la tête des clous. Tom. I , pag. 738.
C l o u t e r i e . C ’eft ou la fabrique, ou le- commerce
, ou l’ afTortiment de clous. Tom. I , p. 739;
C loutier ( art du ). Tom. I , pag. 727.
Fabrique de clous pour la marine , p. 728.
Petites fabriques de clous, pag. 731.
Efpèces principales de clous, pag. 752.
C l o u t i e r - é p i n g l ïe r ( art du). Pag. 734.
V o c a b u l a i r e , pag. 737.
4 P l a n c h e s g r a v é e s . Tom. I , des gravures.
C l o u x (gros & petits). Ce font lés amas plus
ou moins forts de petites pierres qui fe rencontrent
quelquefois dans une veine de charbon de terre.
Tom. I , pag. 529.
C o a g u l e r . C e terme fe dit d’un mélange qui
s’épaiflit en confiftance d’une gelée. Tom. II ,
pag. 246.
C o c h o i s . Outil de bois qui fert aux ciriers
à écarrir les flambeaux tant de poing que de table.
Tom. I , pag. 69S.
C oeffé. On dit qu’ un cheval eft bien coëffé
quand il a les oreilles petites &r bien placées au
haut de la tête. Tom. I , pag. 6 f4.
C oéte. C ’eft le nom qu’on donne aux chanti.ers
fur lefouels on dépofe une glacé au fortir du four de
tecuiflon. Tom. III, pag 217.
Arts & Métiers s Tome V'11 ï.
C o f in e . Efpece d’ardoîfe convexe. Tom. I ,
pag. 66.
C offre a éculer. Machine propre à former
la cire en pains. Tom. I , pag. 698.
C offre a pains de c ir e. Caiffè de bois
dans laquelle on porté les pains de cire blanche ,
ibid.
CO F FR E TIER , MALLETIER, BÀHUTIER ( art du ).
Tom. I , pag. 741.
- Conftruétion d’une malle, ibid,
V o c a b u l a ir e , pag, 742»
3 Planches g r a v é e s . Tom. I , des gravures.
C o g n é e .Outil de charpentier, fpn fer eft acéré,
plat & tranchant, delà forme d’une hache. Tom. I,
pag. 604,
C ohobation. C ?eft une fécondé diftillation
d’une liqueur renverfée fur fon marc, Tom. I l ,
pag. 240.
C oin. Meuble d ebénifterie. Tom. I I , p. 325.
C oin de l’ardoifier. Morceau de bois ou de
fer aigu placé entre les joints des blocs d’ardoife
pour les rendre. Tom. I , pag. 66.
C oins dans le diamant. Ce font des faces angulaires
qui fépajrent les bifeaux. Tom. I I , pag. 178.
C oins. Se dit des quatre dents du cheval fituées
entre les mitoyennes & les crocs, deux deflus &
I deux deffous. Tom. I , pag. 4.
C o l a tu re . C e terme fe dit d’une filtration
faite à trayers une toile ou un tamis. Tom. I ,
pag. 763.
C o l l e . Efpèce de pâte faite de peaux & qui
fert de mordant. Tom. I , pag. z6.
C olle de pois so n . Tom. V I , pag. J40.
C olle a B o y cH E . Tom. V I , pag. 541.
C olle en terme de bouknger. On dit que la
pâte fait colle lorfqu’elle ne fe foutient pas. Tom.
I , pag. 279. ’
C olle des cartonniers. Elle fe fait avec la
farine folle , & les ratifïures des mégifliers. T o n y
r , pag. 291.
C oller en feuilles. Terme de Cartier, fai/eùr
-ie cartes à jouer. C ’eft former des étreffes , én
collant plufieurs feuilles de papier enfemble. Tom.
I j pag- 478.
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