
P eintre* v ern is seur . (art du). Tom. VI *
pag. 239.
Çompofition, des diffêrens vernis', pag. 24J.
V o c a bula ire , pag, 2y7. ' :' '
2 plalicHés gravées". Tôm. IV, des gravures.
P einture ( art de diffêrens' genres de t). Tom.
•VI, pag. 127. d lk fo il- --;.
P einture d’ im pre ss ion.' Ibid.
P einture en é v e n t a il .: pag. 152,
P einture en c ir é . pag. 160.
Pe in tur e 'a 1?ÉNc AT) STLQt)e. Ibid.
Peinture a s g r AFï ï ^'ô1. p‘âg.'r6ji
Peinture a fre sqüe. Ibid.
P einture éludori'Qüe. pag. i6y;
Peinture sur e s tàm pe .jpâg. 166.
P einture' sur v e r Rê. pagïT^bv ggi
P einture EN ÉM A ^ p a g ^ i^ .^ f
. Peinturé en a p pr ê t , pag-^234. n j
-Peinturé sur glace, lbid^u
O VoCABULAlRËVpag. - 31*
'4 planches ‘gràvees Tôm. IV aes' gravure’s. j
t P eiN-Ture en Bdis.'C-ëft?èêtte partîe^de 1 ébé-!
«n'ifte'isie J qui repréfèrtté des figures & àiffres’Orne-
mens par remploi de bois di vertement colorés. T. j
:îls pâg-j3i 7*:!‘ .
•Peinture. sur L^EMAiL.JTpm., II, pag, ,404.
P einture d’impréss-éô$£.j C’eft T'art d’îrttpri-
mer dLverfes. couches de couleurs, d’une même»
■ teinte , préparées à la détrempe a , l’huilé j ou}
au Vernis, fur de)?'' ouvrage^ de' ' ‘inènuiferie l dei
maçonnerie * 'ou’--dè''feiTurerië. Torif 'VI* pag,?
, - 3.7:h .....
Peinture sur v e r r e *, (fuplément à: l’art de,
ta). Tom. VI, pag. 78^.
' PélOte'* :o'ü''‘'#TfQjtLÈ. : 'tyÇârqiï'e blanche .qur
vient au front de cér.taans ch.eyauxVTom. I , p.àg.}
'% 7r £ " .. '• -
Pelote d’émeril. C’eft la poudre d’éfnêril ré-|
duite par l’eau en confiftancë née en boulé. Tom. III, pag. 2!d2iew p *âté y & ’façonPelotes,•
Tes... fondeurs.de petits , ouyuagea
nomment .ainfi le cuivre en feuilles .qu’ils ©ut pré-[
parés pour mettre à la'fonte'. Tûm.îl£, pag. ^o; I
PendeloQUES-~(art du. lufttier),- Ce font- des
morceaux dé "cryffal ou de iyqrre' .tailles, en, ,pgirê qu’on attache aux luftres'Toih.ly , pag. ioy.
Pendeloque. Pierre taillée en forme de poire
montée fur de l’or ou de l’argént, qui joue au
moindre mbnvement. Tom.-II* pag.-182. •
Pendillo.n ( horlogerie î. G’efii ùne verge rivée
avet la tige 'de l’échaperVient pour commii-
bnriqatùioernl.e,T moomu.v IeImI e, npt aagu. pendillé', lé tenir en vi457.,
Pendu (forme en pied de). G’eft mie formé en
bois dont le bout du pied eft en pointe baffe , &
qui eft renflée vers le "coude-pied; T. III, pag. y,p.
Pendule (la). Efpèce d’horloge à pendule. T.
n fg Pîj41^ .fi-: O T .( U h fit : )
Pendule d’é q u a t io n .: Pendule eonftruitë de
façon qu’elle .marque l’heure du tems vrai* &
celle du terris moyen. Ibid.
' 'Pei^ 'uxe'X'M). Ç’eft un çorps pçfant'fufpçadu
adlelar nmt andieè rvee nà anpto uavuotoiru r fadi’ruen dpèosih ftv i'bfirxaet'^io pnas r'elan
force de la pefanyeur. Tom. III,.pag: 4^7., „
pnr iPnEcNipDaUleLmiSeTnEt- i Nomade ' l’ébénifté qui s’adôJnne a. faite, des boîtes de marqueterie
pour les pendules & les montres. Tom. II, pag.
W-
"P êne bù'P'Et'E*iCreft dans une Teitm-ehLe moiÿ
ceau de fer que la c le f fait aller & venir' en
Tournant fur ?Tom. VH y ;pag.i Jd6.
néPe eanus vmlivliaeun ied e( clhaeqmueinlléee odne )a. -fCai’et fté luenvee cr h.deemuix
petits murs en brique ou en plâfr.ej & fui^cès
deux petits murs un double chaîfis de fer garni
dJune plaque-, ptobile-pu tiroir de tôle. Tomi *111,
.pag • - i drvr, :. , -
- \ Pente ' d’un ’fufiî; "C’eff ' la 'cdüfburë l|fael t ôla
donne à. la çrofle d’un fufil. Tom. I, pag. 1 i.y,
j-: $ÉPIÊ ; DES: VOLAILLES^ -TplB". VII y pag.
Pépins de r a is in ' ( art d’èn faiféMe l’huile ).
T o p i . V Î ^ p a g . , 3 2 $ . , o
P erdre les eaux , fe .dit desrblQcsnd’at:-
doîfe, qui fe deflechent, étant, trop long-mrrs
' çxpofeyji;dei i f ' qü’)l n’eff plds :^dtSfiblâ de Lftndlièî.,TPbrti.£I j'Ta^'. 0^5. ^ lV: ' v> 8
. _ Périppt..Pierre préçieufe d’un ,ve.rd jaunâtre.
T o r h .I lp a g . rSi',) f - ' i '
P erle (la). C’eft le plus fin des caraélères d’im- primerie..ÿpm!. ï'/pago^yi ah m )
Perle pàü^ se ?Tétit: globule* dé vertë'efiduit
intérieurement àiejfe^u d'orieru & .rempli derçire. Tom. II, pa'g/420.
Perlé*
PlRLR. Ort appelle fucre p e r l é , ou cuit à la
p e r le i le fucre auquel on a donné le fécond degré
de cuiffon. Tom. I, pag, j 6 $ .
P e r l e s (huile de). C’eft tin cofmétique dans
lequel entre une diffolution de perles. Tom. VI,
pag.58.
P e r l o i r (artduconfifeur). Efpèce d’entonnoir
de fer blanc dont le trou eft fort petit pourlaiffer
filer le fucre doucement fur les dragées à perler.
Tom. I, pag. 765.
P e r l o i r . Efpèce de cifelet ou de poinçon gravé
en creux, avec lequel le cifeleur forme fous
les coups de marteau les petits ornemens de relief
qui font faits en forme de perle. Tom. I, pag.
7 0 9 . . ;
P e r r i è r e , o u P i e r r i é r e . Carrièred’ardoifes.
Tom. I, pag. 47.
P e r r o n . Lieu élevé devant une maifon où il
faut monter plufieurs marches. Tom. IV , pag.
362.
s’éPcoeurlre ocnoms m(aer tp adru é ftoangetasi nenie fro).r mChanutt ed eds’ enaaup pquesi -
p différentes diftar.ces. Tom. III, pag. 42.
P e r r u q u i e r - b a r b i e r - b a i g n e u r - é t u v i s t e (art du). Tom. VI, pag. 258.
A r t d e l a c o e f f u r e . pag. 1 6 0 .
A r t d e f a i r e d e s t r e s s e s d e s c h e v e u x . pag. 277.
A r t d e r a s e r , p ag . 299.
. Le B a ig n e u r e t u v i s t e . p a g . 309. .
VOCABULAIRE , pag.. 3 18.
14 P l a n c h e s gravées, Tom. IV, des gravures.
P e r s e (bleu de). Bleu d’une nuance qui participe
du verd. Tom. I, pag. 224.
P e r t uAux. Ecorces de bois enduites de réfine,
pour éclairer les ouvriers dans les carrières d’ardoifes.
Tom. I, p. 68.
- P e r t u i s a n e . Efpèce d é p iq u é , arme ancienne.- Tom. I, pag. 7y,& 77..
Pése-itqueurs-aréomètre (art du ). Tom.
•VI, pré- ...
Différentes fortes de pefe-liqueurs, pag. 330*
Tableau des expériences d’un pèfe-iiqueür de
comparaifon, pag. 337.
P e s é e ( art de l’épingher). C’eft: le rnaftif d$ plomb qui fert dans’ le ' métier pour la frappé des
têtes d’épingles; Tom. II, pag. 477, .1
A n s & M é t i e r s . T om e r l l l .
Peson a contrepoids. C'eft la balance romaine.
Tom. I , pag. 18ĥ
— A r ejfort d *a c ie r en forme de tire-bourre,
ib id.—
A t i e r s - p o in t , dont le reffort eft une lame
d’acier recourbé, ib id .
Pessonnure. Produit de la ratifiure des peaux
blanches qui fert à faire la colle des cartonniers.
Tom. I, pag. 493.
avePcé utna rpdeu odue pPoéutderreo relnlfee.r mPéeet dita nasr utnifeic fee ufialliet
de papier repliée à plufieurs plis , pour tirer plusieurs
coups de fuite. Tom. I, pag. i7y.
P etit-coup. Efpèce.de vis, dont la tête a une éminence fur laquelle on dirige le bout du
crochet inférieur de l’abattant du métier à bas.
j Tom. I, pag. 203.
Pet it s-coups. Ce font aufliles mouvemens dirigés
pour égalifer les nouvelles boucles dans
les becs des aiguilles du métier à bas. Tom. I ,
pag. 203.
Petit- l a it . Partie férejife du lait, où font
fufpendues les parties butireufes & caféeufes ,
& duquel la préfure ©u l'ébullition les dégagent.
Tom.III, pag. 96.
Pétrin. Vaifleau, huche ou coffre où le boulanger
pétrit la pâte. Tom. I, pag. 247.
Pétr ir . C ’eft: travailler la pâte afyec laquelle
on fait du pain. Tom. I, p. 247,
Pétrir sur couche. C’eft pétrir îa pâte lorf-
qu’il y a encore des pains préparés fur couche
ou fur toile. Pag. 283.
Pétrir sur l e v a in . C’eft tirer un levain
nouveau d’un levain plus ancien. I b id .
Pétris seur. C’eft le garçon boulanger qui
pétrit la pâte: I b id .
Pe-tun- sé. Mot chinois défignant un fpath
fufible qui entre dans la compofition de la porcelaine.,
Tom. VI, pag. J9y.
Peuilles (terme de monnoyeur). On nomme
ainfi des parties d’efpèces coupées, d’or & d’argent
ou de billon , & qu’on réferve pour les
effais. _Tom. V, pag. 224.
Phlegme. C’eft l’eau chargée de peu d'acide,
• qui paffe la première dans la diftilation. Tom. II*
pag. 303.
Piaf fer. Se dit d’un cheval qui, en marchant,
lève les jambes de devant fort haut & les re >lace
S f f f f . 1