
8i o TABLÉ
C r o ix de. Saint-André. Ces croix, dont
les quatre angles font égaux de deux en deux ,
font employées par les charpentiers * pour en-
trétenir les combles 8e pans de bois. Tom. I ,
pâg. 6oy
C roix à la dévote. Croix en diamant ou en
o r , que lés femmes font tomber fur leur fein.
Tom. II , pag. 175.
Crosse (couteau à). Couteau fermant,. dont
le manche fe termine en s’ arrondifiant. Tom. I I ,
p a g .y r . ' ,
C ros se de fufil. C ’ eft la partie large du fu-
fil , qu'on appuie ; contre l'épaule. Tom. I ,
page. 84.
Croupe. C’eft la partie poftérieure du cheval
j comprife depuis l'endroit où la felle porte ,
jûfqu'à la queue. Tom. I , p. 645.
C roupe. Ce terme le dit de la charpente d’un
pavillon carré. Tom. I , p. 60$.
Ferme de Croupe. C'eft Iorfqüe le comble
étant oblique par fon extrémité fe termine par
des demi-fermes * ibid.
C roûte ( terme de boulanger). C'eft la
partie dure 8e extérieure du pain. Tomé I
pag. 275. •
C roûte a potage. Celle qui eft plus cuite
& plus rilfollée. Ibid.
r C roûte en dentelles. Celle qui eft éraillée 8e
inégale j ibid.
C roû te dans des folles d'aifàncës. Ce terme
fe dit des parties de matières putrides, confif-
tantes au point de n'être entamées qu’avec une
forte d’effort. T . V I I I . p. 734.
C ucurbite. Vailfeau de diftillation.' Tom. I I ,
pag. 295?..
C ueillage. C'eft l’aélion d’enlever, avec la
felle ou farbaçane g le cryftal en fufion. Tom. I I I , 1 pag. 218.
. C ueillée (terme de l'épinglier). On appelle
ainfi un faifceau de fils redrefies par l’engin. Tom.
I I , pag. 473, . : :
^Cueillir la' dressée, (art de l’épinglier).
C ?eft trancher, avec des tenaillés , le fil d’épingle.
Tom. I I , pag. 473..
ration du métier à bas , par laquelle 3 après avoir
étendu la foie fur les aiguilles, on y forme des plis
ou boucles. T . I , p. 194.
C uine. Vafe de grès, fait en forme de poire ;
fervant à la diftillation des eaux fortes. Tom. II
pag. 299.
Cuirs de balles d’imprimerie. Ce font des
peau de mouron crues, dont la laine a été féparée
& qui font préparés pour l’ufage des imprimeries,
T . I I I , p. 600.
Cuirasse. Armure ancienne. Tom. I , pag, 73, 75 & 77.
Cuire ( art du doreur fur métal). C'eft mettre
une épingle rougir fur le feu. Tom. I I ,
pag. 273.
Cuire la brique. C'eft mettre lë feu au four«
neau. T . I , p. 335.
C uire des cheveux (terme de perruquier).'
C eft mettre des cheveux au four , après les avoir
roules autour des moules ou bilboquets, 8e enfermés
dans une pâte de fon, faite en forme de
p âté, T . V I , p. 321.
Cuisage. Ce terme fe dit de I’a&i’on du feu
fur le bois ,pour le convertir en charbon. Tom,
I * pâg. p i .
Cuisinier-traiteur-patissier-rotisseur»
Tom. I I , pag. 73.
Hiftoire des alimens, ibid.
De la batterie de cuifine, p. 76.
Traiteur, p. 77. (.
Pâtiffier,p. 78. ^
Rôtifleur, p. 83.
Vocabulaire , pag. 83.
^ Planches gravées-, tom. I , des gravures.
• C u is sa rt s . Partie d’ancienne armure. Tom L
Paê- 75-
c Cuite. On donne ce nom aux différens degrés
d épuration ou, d affinage , que le falpêtre ac-
quiert. par l’ebullition des eaux ou des. leffives»
Tq|n. V I I , pag. 211.
C u iv r e . Métal fur lequel travaillent les chaudronniers.
Il y en a de deux efpèces > le rouge &C
le jaune, T . I , pj 6l f . '
p U E IL L IR , CUEILLEMENT, CÙ E IL L A G E .O p é Le
.cuivre rouge, par fa grande duétilité,
A L P H A B É T I Q U E .
s’étend facilement fous lè marteau. Ii eft fur-tout
très-propre pour les planches des graveurs,
Le cuivre jaune , par le mélange de la calamine,
coule aifémeat dans les moules, «c prend
aifémînt les formes qu'on veut lui donner. ibid.
C u iVM jaune ou la iton (art du ). Tréfi-
lerie & compofitions de tombac, pinsbeck , Umi-
lor . &c. Tom. IL, pag. 113.
Calamine, pag. 114.
Fonderie, pag. 116.
La fonte, pag. 119.
Des ufines, pag. 121.'
Des batteries, pag. 122;
Trefilerie, pag. 127,
Laiton, pag. 116.
Tombac , pag., 129.
Galons faux, pag. 131,
Pinsbeck, ibid.
Simiior, pag. 132.
Or de Manheim , ibid.
Aira in, pag. 153.
Potin, ibid.
V ocabulaire , pag. 134.
6 planches gravées, tom. I des gravures.
C u iv r e , (lames de ). Avec lefquelles on couvre
certains édifices publics. T . I I , p. 71*
C u iv rb r (art du doreur). C'eft imiter la dorure
avec du cuivre en feuille. T . II , p. £73-
C ul de .l’aiguille. T. I , p. 2,
C ulasse (art du diamantaire). C eft la partie
inférieure d'un brillant, directement oppo-
fée à fa table. Tom. II , pag- 179? -
8 0 ï
C u la sse . C e ft dans une pièce de canon,
l’épaifleur du métal , dépuis le fond de fa partie
concave, jufqu’au bouton. Tom. I , p. 3.4-1.
Ç ulasse de l’ancre. T . I , p. 27,
C u la sse . Pièce de f e r , qui fait partie d’un
fufil. T . I , pag. 75).
C u lo t. C ’eft le petit bouton d’or ou d’argent
fin , qui réfulte de l’affinage. Tom. V ,
pag. 211,
C u lo t. C ’eft une pièce mobile , faîfant la
bafe du moule fur laquelle on appuie le cartouche
d’une fufée. Tom. I , pag. 175.
C u lo t . Efpèce d’entonnoir , adapté à la partie
fupérieure du. moule des chandelles.. Tom. I ,
pag-511«
C uve du cirier. C ’eft un grand vaifleau de
bois, en forme de tonneau, dans lequel la cire
fondue tombe , & fe repofê,. T . 1 , p. 698.
C u v e - guilloire. C'eft dans une brafferie,
la cuve dans laquelle on jette les métiers ou les
eaux, pour les mettre en levain. Tom. I , pag,
30©.
C u v EtMAt ie r e . Eft la cuve dans laquelle les
braffeurs mettent la farine ou le grain moulu aveç
l’eau pour être brafîee. Tom. I , pag- 291.
C u ve-mouloire, Eft celle dans laquelle les
brafleurs font tremper le grain pour le faire germer
pag- 3©o.
| C u ve tt e . C ’ eft la garniture de métal qu’on met
I au bas du manche d'un couteau. Tom. Il^pag. y 2,
C uvette d’une boîte de montre. C-efl cette
partie de la boîte qui contient le mouvement.
Tom. I I I , pag. 449.
C ylindre ou tour. C ’eft un gros rouleau des
bois couvert par devant d’une bande de to ile , 8c
que le cirier fait tournerons la baignoire où ii
travaille la cire, Tpm. 1 3 pag- 698,
D,
D .C a n a è r e alphabétique. T.om.ITpag, 396,
D ague. Efpèce de poignard, compofé d un
fer gros Secourt, triangulaire 8e caïuk , monté
fur un manche. Tom. I I I , pag. 6 i.
Dale, Pyerre dure, débitée par franches de
peu d’épaiffeur, dont on couvre les terrafîes
dont ôp fait du carreau. Tom. IV , p- 34é -
Dalême ( machine de).Cette machine,pour
empêcher la fumée, eft compofée de plufieurs
tuyaux de fer qui s’emboîtent l’un dans I autre,
8c qui fe tient droite fur une efpèce de trepiçd-
Tom. I I I , pag- u § .
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