
8 i 4 T A
forme d’épi, & placés au milieu du front, un peu
au-deffous des yeux. Tom. fl p. 647.
Etonner un diamant. C’eft ou glace. Tom. II , pag. 180. y faire une fêlure
Etopper la crème. C’eft l’éclaircir & la rendre
pmaogi.n 9s 4.ferme en l’agitant beaucoup. Tem. II,
Etoquiaü. Les horlogers donnent ce nom à
une petite cheville qu’on m e t , dans p!ufieurs cas,
à la circonférence d’une roue pour l'empêcher de
ptoaugr. n4e5r2 .au-delà d’un certain point. Tom. III,
_ Etouper une feuille d’or. C’eft appliquer une
pTioèmce. àI ,l p’eangd.r o2i1t 1o.ù la feuille manque d’étoffe.
Etoupille. Mèche de coton, roulée dans de
àla upno uaudtrree,. pTooumr .c oIm, mpaugn. iq1u24e.r le feu d’un artifice
ToErat.r IeVsi,l plaogn. .2 3M4o.rceau de bois mis en travers.
E t r e s s deux feuileless (tdeer mpaep dieer c caortliléeers). eCnf'eemft bl’luen. iTono mde. 11 pag. 473.
Étresses doubles. C’eft la réunion de deux
étrefles <jui n'adhèrent que par les bordures, M d .
Etrier. Efpèce de grand anneau de métal que
l’on fufpend a la felle du cavalier. Tom. H ,
pag- 43^-
Etriers & jambiers à l’ufage du couvreur pour
-fpea g-f o6u8te.nir aux noeuds d’une corde. Tom. Il .
Ètuver ( art du cirier). C’eft mettre dans un
lcietn dtreesr lcai ecrhgaelse unro. uTvoemlle.m ent jettés afin de con1,
pag. 633.
Eveillure. On appelle ainfi les pores remari
L E
quables des meules qu i les rendent plus mordantes. Tom. V , p ag . 94.
ou Euvneen pteaaui l t. aCill’éeef te unn duenm ip-caeprieclre o&u umnoen tééto ffufer
des brins ou petites flèches de bois dont les
vdiaimàgees. fTe ofemrv. eInIt, ppoaugr. a4g9it7e.r l’air & fe rafraîchir je
É v e Nt a i l l i s t e ( art de 1’ ). Tom. II, p. 497.
Fabrique des évantails, ib id .
V o c a b u l a i r e , p a g . 5 0 1 .
vur3 es. Planches gravéè's , Tom. II, des graE
v e n t s . Ouvertures pratiquées fur la voûte
d’un four pour laiffer échapper la fumée. Tom. I,
PaS-33/•
de Efuvfeiln. tTuorme .s..I ,F peangt.e s1 o1u3. crevaffes dans un canoa
É v i d o i r . Outil dont les fa&eurs d’inftrumens à vent fe fervent pour accroître en dedans les trous
de ces inftruments qui font les tons. Tom. IV,
p a g . 163.
unEe vécihdaonicrru. rAe fafue mmbilliaegue, ddaen ps ilèacqeuse ldlee obno aisf fuajveetc-
7tit la jente & autre morceau de bois que l’on veut
évider ou travailler. Tom. I, pag. 6 1 1 .
E u s t a c h e d u b o i s . Nom d’un coutelier qui nfa’aifvooitie dnet s qcuo’uunte aculoxu à. Tmoamnc. hIe , dpea gb. o3is3 ,. & qui
E x p r im e r . C’eft tirer par la preflion le fuc de quelque fubftance. Tom. II, pag. 94.
E x t r a d o s ( coupe des pierres ). C’eft la fur-
lfiaècree .e xTtéormie.u rIeV d ,’ upnaeg .v o3û31te., lorfqu’elle eft réguE
x t r a i r e . C’eft féparer par l’étamine ce qui
epfatg .l iq9u4.ide de ce qui ne l’eft pas. Tom. II ,
F.
CM
A L P H A B É T I Q U E . 82J
F.
F,Carabe alphabétique. Tom. II, pag. 396.
F a c e du cheval, ou chanft^. C’eft l’efpace
qui s’étend depuis les fourcils juiqu’à l'endroit où
les os du nez terminent leur trajet. Tom. I ,
pag. 647.
F a il l e s ’. Roches fouterraines qui ôccafionnent .
ünefnterruption dans les veines ou filons d’un minéral.
T.om. I, pag. 529.,
F a i r e l a p r i s e . C’eft en terme de carrier, |
abattre de l’épaiffeur du bloc d’ardoife , afin de ,
donner au fendeur plus de facilité pour le divifer.
Tom. I, pag. 63.
F a i s c e a u x . Ardoifes irrégulières. Tom. I,
pag. 67.,
P a i s s e s en terme de vanier. C'eft un cordon de
plufieurs brins d'ofîer que l’on fait de diftance
en diftance dans les ouvrages pleifis ou à jour. Tom.
VIII, pag. 341.'
F a î t a g e . Pièce de bois de charpente qui fert
à porter le bout des'chevrons par le haut. T om. I,
pag. 6 0 6 .
F a î t e . Pièce de bois d’un comble fur laquelle
les chevrons font appuyés. Tom. I, pag. 606.
F a i t i e r e s ”. Grandes tuiles creufesqui fervent à couvrir le faîte des bâtimens. Tom. I, pag. 335.
F a l b a l a . On appelle ainfi une pipe dont le
tuyau eft courbé en demi-cercle. Tom. VI ,
pag. 385.
(F a l t r A n c k ou vulnéraires fuiffes. Tom. VIII,
PaS- 754-
Fanon. Affemblage de crins qui tombent fur la
partie poftérieure des boulets du cheval. Tom. I,
Pag- 65;. .
F a n o n s d e b a l e i n e (artde couper les). Tom.
II, pag. 303.
1 Planché gravée. Tom. II , des gravures.
F a n t o n ( ferrurerie ). C’eft une efpèce de
ferrure deftinée à fervir de chaîae aux tuyaux de
chemihée. Tom. VII, pag. 503.
A r t s 6? M é t i e r s . T om e V I I I •
Fard. C’eft toute compofition foit de blanc,foit
de rouge deftinée à embellir le teint. Tom. VI *
pag. 36.
F a r i n e . C’eft la poudre qu’on tire du grain
par la mouture. Tom. I, pag. 244 4.
, F a r i n e bife. C’eft la farine m ê lé e d’un peu de
fon, pag.‘ 280.
Blanche. C’eft la première farine , f jÊ jÉ .
De bourgeois. C’eft la première farine de
gruau , ih id .
De Champagne, ou la farine de gruau ,
ib id, Creufe , celle qui eft molle & légère
ïbTd.De minot. C’eft la fleur de farine , ib id .
Piquée , celle qui eft tachée par des partiel
de fon , ib id .
En rame , celle mêlée avec le fon avant
d’être blutée , ib id .
Entière, celle qui eft féparée feulement du
premier fon, ib id .
Folle , c’eft ce qu’il y a de plus fin & de
plus léger dans la farine , ib id .
Grualeufe ou dure, celle mêlée de fon gras
& qu’il faut pétrir long-temps, ib id .
Revêche > celle qui eft difficile à travailler *
ib id.Petites farines, celles provenant des recoupes
& recoupettes, ib id .
F a r i n e d e m a n i o c . C’eft la rapure des racines
du manioc qui eft en petits grumeaux femblables à
de la chapelure de pain. Tom. III, pag. 633.
Faulde. C’eft le lieu où les charbonniers dif-
pofent leurs fourneaux pour cuire le charbon. Tom.
I, pag. 314-
Fausseplaque.Terme d’horlogerie qui lignifie
en générale une plaque pofée fur la platine des
piliers, & fur laquelle eft fixé le cadran. Tom. III,
pag. 432. M m m m m