
bitans des marches relativement aux aides , aux
droits de traite, tièmes 8e à la caapuixta ttiaoilnl.e sC Soem fomuea gleess , daeuuxx vpirnogvinces
, fur les frontières defquelles le canton.eft
afe puaes , lniee uf o; nmt paaiss fluej etattbeasc a uyx e gfatb éetlalbesli, cceotm immpeô dt ann’ys le refte du royaume.
doAnt ill’ éng’aerfdt fdaeits ,a durcouintse dmee cnotinotnrô dlea n8se l ’daer rdêot uqaun'ônne
VrêAet ndcu covnofe’irl s ddus 7s ’ya vlèrivle n1t7 c4o4m , mreen dpuar tcoountt.r aLd’aicrtoirement
entre les habitans des marches communes 8e les fermiers des domaines , a ordonné que les
droits de centième denier de franc-fiefs 8e aipor-
tdieflse ment dûs pour biens fitués, dans les paroiifes fermmiearsr cdheess gcéomnémraulnietés s adpep Barrteiteangdnreo i8een dt ea uPxo idteouux, lcehsa dcruoni tpsa rd ommoaintiiéa!u xC éetto aierrnatn fgoeumsfeenrtm béos np,a lro grféqnuée
ralités , devient nul aujourd’hui que tous ces droits
fpoonutr rléeu nrios i,d aàn sm uonien s mqêum’iel nmea ipna r8oeii Taed mujtniliei lrdées
lciotén feenr vpearr ttiocuujloieurr.s le produit de chaque généracomMpAreRndC
HdEes ,c lfa.u fmes. 8Ce ’ecioln duniteio cnosn vqeuni tidooni vqeunit
ceerrper ibrleem dp'léiveas.l,u a8teio dn oennt al’rogbejnett. Aefut ttioturejo luerss mfuafr-
ches ou conventions deviennent fujets aux droits
8dee 4c odnut rôtaleri ,f udru le2 9p ifeedp .treémglbér e pa1r7 1l2es., articles 3
doBmoaifnqeu etrtè, sa-uetfetiumr éd ’,u nra dpipéolirotnen, aairue mdeost droits de marché epolunitieefutarsti odnécsi féiloenvsé edsu p coounrf erailif oin.nt edrev elna uqeuso tfiutér ddeess
droits de contrôle auxquels le fermier vouloir af-
f a j e t t i r différ ens marchés. \
treAtieinnf id uun pe oernt tdreep Crifeet tep e,n dàa nrat idfoixn adn’su pnoe ufro ml’emne
annuelle fixée j une convention faite avec un
fPornec«tJi?o >n sP odeu r ftoWn® m eîxneifrtcèer ep menodyaenntn aqnuta turne ahnosn loes
raire annuelle j un marché , fait avec des forgerào
rnasi fpoonu dr ’euxnp lfoailtaeirr ep feinxed apnat rn emuifll aienrn édees fuenre, fotoruges
cperes maéieterss fduoiivvaennt t1 laersti cdlreo its de contrôle, les deux 6 1 du tarif j l’autre d’a*
pniee sfo ln'atr tpicalse d é3t1e ri mcionméems.e traité dont les fouîmes
eauTfeo udse mleaurcrh ceos memntererc em ,a rfcohnat nfdusj et&s àf alait sf orpmouar
‘ 1n etex cdeup tcioonn tfraôitel eejnk nfaev peaurrt icdiepse nbt ilaluetcsu ndeem emnat rà'
qchua anpdrse^s Ialsv dnire éptée ucvoennttr ôêltérse cpormodmueit st oeuns jauufttriecse
actes fous fignature privée 5 ç’eft ce qui eft ordonne
par les arrêts du confeil des z i mars 1722'
lWes décifions du &co n2f9e iml daerss n17 2d9é c,e mcobnrfei rm17é3s4 p aî?
mai , premier novembre 1738 , & 23 janvier i 7 f i . J
maLreins e,d rnoei tsfo ndte qcuoen tdreô llea mdeosi timé adrecsh éds ropiotsu rr éla-
T es P£lI.r ^es aucres marchés , fuivant l’article 61 clu tarir de 1722 ; mais ces droits font dûs en en-
uer pour Je contrôle des quittances donnés en
ocoun mfetqeunednacnes ddee ccese tmtea prcahrétise .par les commiffaircs
a L-.i\i.virh. iNom particulier,
par lequel on a défîgné une efpèce nouvelle d’a-
giôtage, introduite fur la place en 1785 , & qui
conliltoit a vendre, à une époque fixe ,.une quantité
convenue d’effets royaux a prix déterminé 5
enforte que , fans rien livrer au terme arrêté, le
vendeur étoit obligé de bonifier le prix convenu,
h les effets defigaés^ avoient un cours au-deffus
de la valeur déterminée par le marché \ au contraire/
l’acheteur payoit le furplus de1 cette valeur
n elle excedoit celle qui étoit portée dans le
marche. Ces marchés a terme - étoient une forte de
pari que telle nature d’effets vaudroit tel prix à
telle epoque. Mais comme ils laiffoient à la mau-
vaife foi une grande facilité de commettre toute
forte a’abus , le gouvernement jugea à propos de
les défendre par l’arrêt du confeil du 7^ août 1785. j
C e premier a&e de légiflation fut fuivi d’un autre
confeil du 2 oétobre , pour ordonner la
liquidation des fommes comprifes dans ces marchés.
, . . <
aveLce a purtéaanmt bdue lec ladret é cqeu ed edr’néineer rgairer ê&t , dèex pporféàcni-t
lfaio lno,i tpouubt lciqeu qeu di ep oceusv ofoitr treésf udlete r de fâcheux'pour marchés, e’eft un
dyiofptio^fPit.i°f upro uler rêatprep odrtifepr e;n foén dye jdooinndnrear aicuif lic eflouni du 7 août précédent.
Le roi s’étant fait repréfenter l’arrêt rendu, eft
1 fon confeil le 7 dii mois d’aout dernier, qui re:
nnaonutv elall eb oluersf eo *r d&on ns’aéntcaenst f&ait rreénglderme ecnosm cpptnec jedre- la nature, du montant & des échéances des compparor
mlei sp &rem miearr cchoéms àm tiesr mdeess fqinuai*n ocenst ^éetné ecxoéncturôtiloéns
ddee cpeatr eailrsr êetn,g afag emmaejnefst é, ap orretcéoen nàu lq’éugea rfdi lda em caeflre
tains effets au-dela même de ce qui en exifte ,
fparioreu vde’e nd er épplruims eern l ’apbluuss ,c oelmleb nie’nef ti lc eépteonidt annétc peafs-
aufli effrayant^ en réalité qu’elle l’eft en apparences
mleso nrteevre lnat efos mmmuel ttioptlaiélee sd edsu même objet faifant marchés beaucoup aii-
deflus de. celle des effets à livrer. Sa majefté eft in-
I formée que l’obligation de dépofer ces effets dans
I Je terme qu’elle a preferit a déjà fait liquider une
[ partie des compromis, qu’elle n’a embarrafle que
[ ceux qui s’étoient engagés au-delà de leurs moyens,
1 & que cet embarras même n’a pu paraître aux yeux
I des gens inftruits, qu’une leçon pour l’imprudence,
l& une crife falutaire, quî^ loin de porter la moin-
[dre atteinte au crédit du tréfor ro y a l, a fervi-à
[ démontrer qu’il eft aflîs fur des bafes inébranlables
[ & indépendantes de toute efpèce de^ négociation
[particulièrejque néanmoins il en eft réfultéune in-
l quiétude vague parmi les capitaliftes, q u i, effrayés
de cette foule exorbitante d’engagemens d’ un genre
infolite, & ne Tachant pas jufqu’à quel point les
| engagemens des maifonsde commerce & de banque
qui s’y rrouvoient compromifes pourroient influer
[ par contre-coup fur la fîtuation de celles même qui
[n’y àvoient aucune p art, ont fufpendu à l’égard
[de toutes leur confiance, ont refferré leurs fonds
& différé leurs placemens j ce qui a produit, au
milieu de la plus grande abondance de numéraire,
[ toutes les caiffes publiques étant garnies, tous les
ipaiemens fe faifant avec la plus grande exaélitu-
[de , & plufieurs même étant anticipés > un mo-
Iment de langueur dans la circulation, une forte
ïde llagnation fur la place, & la dépreflîon inftan-
itanée de quelques effets. Dans cette circonftance ,
ÈTa majefté ne voulant pas borner fes vues bienfai-
Ifantes à ce que l’ordre public a exigé d’elle pour
Ifaii^ceffer l’ agiotage effréné qui s’étoit introduit,
»& délirant faire difparoître le plutôt poflible , des
■ embarras dont la prolongation feroit nuifible au
^commerce, elle a jugé convenable d’accélérer l’ef-
|§êt de la difpofition de fon arrêt du 7 août dernier,
, qui a eu pour but de diftinguer les con-
ftraélans en état de remplir leurs en'gagemens d’a-
ivec ceux à qui la livraifon de ce qu’ils ont vendu
■ feroit dans tous les cas impoflible j & elle a penfé
Iqu’il étoit de fa bonté autant que de fa juftice,
ide mettre les vendeurs & les acheteurs également
[ à portée de liquider fans délai leurs intérêts ref-
ipeétifs par une conciliation équitable, à défaut
de laquelle elle s’eft réfervée d’y ftatuer elle-même
en connoiffance de caufe, afin que bientôt il ne
iïefte plus aucune trace de ce vertige de fpécula-
tion défordonnée , q u i, n’ayant pas encore eu
d’exemple dans le royaume, néceflitoit un remède
! extraordinaire ; fa majefté en s’y déterminant a
prévu que ceux qui ont intérêt à foutenirles compromis
prétendroient qu’empêcher leur exécution
ou y mettre des conditions , c’étoit porter atteinte
à la propriété & détruire , par l’ intervention
de l’autorité , la liberté des engagemens volontaires.
Jamais les droits de la propriété 8c de
la liberté fociale ne furent plus en fûreté que fous
le règne de fa majeflé 3 mais autant elle eft réfo-
, .^e j es maintenir religieufement, autant elle eft
éloignée d’admettre pour confequence de ce principe
inviolable, qu’il foit permis. de tendre des
• PJeges à la foi publique en vendait ce qu’on n’a
pas, ce qu’on ne peut pas livrer, ce qui même
n’exifte pasj il eft évident que fi pareilles ventes
font nulles. par elles mêmes, elles font furtout intbolilcésra
,b lleosr fqlour’efqllues’e vllieosl epnot rttoenutt esfu rl esle sr èegflfeest s prpeufibeanfteess
fipcotiuvre s les*uarcs cnuémguolce iafituioccnesf,l,l vleomrfieqnut eu fnuer floeuulres
edx’ecnegflaigveemmeennst &le dve obliullmetes iallpupfoarireenst qudie sg ropfafipfileernst
mcoémlamngeerç afubflepse é,t , a<è treenndt elnetu àr dcéirtcruuilraeti otonu tpea rc ounn
fiance. Faire envifager ces marchés comme n’étant
teune dl edren ilear p rléafcuelt,a ct eq un’ee fdte ps apsa lreiss fluégr iltei mceoru r: sq éuvaennd
iflo ufvereoraiti np qerumi iss’ édteen dfu pjupfoqfueers qfuuer llaa cvoigniflaenrvcaet iodnu
des fortunes de fes fujets dût fermer les yeux fur
ftoouuftfer ire fqpuèec ele duer lijceeunxc e& , fdee d épgau:riif$a n, t pfoouusr ruonit -feaullxe,
etintr ed é, npartuîtr âlet s- lecsa jcrao&nèdrietsi ondse sâ &co nptroarttsâ t dlee tvreonutbel é,
nr&oy alua x c?o nSfau fmioanj efdtéan sa dlao nncé gacoqcuiaitsi odne dneosu veefafeutxs droits à la reconnoifiance de fes peuples par le
fdorien , qauin’eflil eq uae ppriasr dlees lems epfurérfeesr vqeur’ edl’luen pterel nddé faour-
jlao ulriqdu’hiduai tidoann sd ula pvafufeé d, e& te rdmei nneer plariofmferp teamuceunnt doute fur fes intentions pour,l’avenir. A quoi voulfaénret
npteosu rmvoaiifrq ,n sv ud el ecso mmémmeorciree s& p rdéef ebnatnésq upea.r Odiufi
ldeo rnanpep ocert qduui ffiueiut r: de Calonne, &c. Le roi a orA
rt i c le p r e m i e r .
Les1 porteurs des marchés a termes & compromdeisrn
,i ecro, nqtruôi léfesr oennt eexné éctuatti odn’e fdfee élt’uaerrr êlet ddué p7ô at ooûrt
donné par l’article VII dudit arrêt ^ dépoferont,
al’vuann td else f2y0n ddiuc sp dreésf ennot tmaioreiss ,, elnestr ee flfeest s' mdaoinnst diles
adue rdoénpt ôptr ocmonist elna alnivt rlaai fqouna jl i&té a&uf llietsô tn aupmrèérso, sl ’daeéftie-
dniotisr e, ffceotns,f efiellrear pda’ré teautx ; redper éCfernotéfn aeu,x lfiîeeuutresn Lanet- général de police 5 & de Grandvelle, maître des
preoquur êpterso,c éqdueer ,f ae nm laaj epfrtééf ean cceo ,m tmanist de&s vceonmdemuerst lqau leiq dueids aatciohne teduesrs f oqmuim feesr oqnuti- appopuerlrloens tp raerv eenuirx a,u xà
uns ou aux autres , pour perte ou bénéfice, & à
llaes f ipxaaiteiomn,e ndtess. /époques auxquelles devront fe faire
I I.
proCmeiusx q"udie sf erpoonrtt ehuorsrs dde’fédtiatts mdea rcfhatéiss faoirue acvoamnt-»,
lliev r2e0r ,d fee rcoen mt toeinsu, s adue dr réeppôrté foerndtoern ndéa ndse lse efmfeêtms eà
délai lefdits marchés ou compromis auxdits fieurs