
quelque caufe ou prétexte que ce Toit, remettre
leurs paiemens à quinzaine , à peine d’interdiéiion
de leurs fondions d office }• & lorfqu, ’ailu xfeq uerellnecs onnoturesr ac oumnme efêtttreo naus
jjoouurr ndeo nle fuêrt ép aqiueim fueinvtr,a v oimulmonésd iqaute'imlse lnet fcaeflluein ta uau
quel leur paiement auroit dû être effectué»
V I I .
^ Si, après l'appel des rentiers & le paiement fait
a ceux qui fe préfenteront, il reftoit des deniers
reenltiraen tlee s dmeafdinists dpeas ipeamyeenurss, , fvooiut lpoanrs equuxe aljao fuotméet neà
celle de la femaine fuivante , de manière que tous
les fonds que nous leur aurons diitribués, loient
teems p, lofaynéss qauu'i lpsa ipeumifeinent te rfefetednifir deens lpeaurrtsie.ms apirnesn aanucuns
deniers, fous prétexte de parties failles ou
non réclamées 5 à peine contre les contrevenans ,
dau i npterérdviôctt idoens m&a drc'ahmanednsd ed ea rbniottrraeir be.o nEnnej oviigllneo dnes Paris , & aux contrôleurs des rentes , de tenir la
main à l’exécution du préfent article, & en cas
gdéen céoranlt rdaev ennotsio fnin ,a ndc'eens. donner avis au contrôleur
V II I .
aucNuonst-r ed éinbteetns tieonnt réat alnest qmua'iinl sn ed erse lipea yàe ul'rasv edneisr-
rdeenftdeist edsu dit hôtel-de-ville , les états de dillribution celui qui refenrtaes a^ rrnêeté c eonn tineontdrero cnotn, fàe il cpoomupr telr'a dne
rniévee m1 7en7 t1 3p aqyuéee sle sp faorm lemfdeist sq upai yaeuurrosn ftu ré téc heaffceucn- |j de leurs exercices. Ordonnons en conféquence
lqeuuer sl ecfdoimtsp tpeasy eeunr sn onter ef ecrohnamt tberneu sd edse cporméfpetnetse r
éqtué'a parrrèêst éqs.u eD élerofdgietso nésta ts de dillribution auront lirions de l’ordonnance dàu c meto iésg adr'ado, ûat u1x dépo6
6 9, &
fauurt recse ttreè gmlematieènrse .qui pourroient avoir été rendus
IX .
conMtraôjlnetuernso nrés fe&rv écso, nlfeiurmrso nfsu clceeldfiietsu rps,a yleesu rvsé t&é
rans, & les veuves , dans tous les droits, fonctpiroivnislè,
gdeisf p, eenmfeosl,u fmaecnuslt é, s,p hréornongeautirvse, se x&e mpprétiéomnsi,
nences , droits de franc-falé & de committimus en
nos grandes & petites chancelleries, à eux attrirbêutéss
dpea nr ontores pcroécnéfdeoiln,s déed liat sm, êdmécel armatainoinèsr e& q aure
sé'dilist . étoient plus amplement détaillés au préfent
RétablilTons lefdits pXay.eurs & contrôleurs réfervés
, dans le droit d’hérédité attribué à leurs
vofofuicloesn s peanr ncoosn fpérqéuceéndceen s, éqduit’se u&x &dé clleaurarsti ofnusc -$
cefifeurs jouifient à l’avenir defdits offices héréditnauïerel
m, ednet ,m ufatantsi onno u, s& p adyee rc eanutcièumnse ddroenitise rd,' adne
la même manière qu'ils en jouilfoient avant la révocation
portée par notre édit du mois de février
n1é7a7n1m5 odinésr ogtieraenr t àà ccoent fééqguaerdn ceà npooturre éleds ita,u ftarenss offices ,de notre royaume.
X L
Confirmons lefdits payeurs & contrôleurs ré-
fervés^ans l'exemption des dixièmes, vingtiècmoersd
é&e dpeaurx nfoosu sp préocuérd elinvsr eé ddiut sd, ixdiéècmlaer aàt ieounxs a&c
aqrureêntsc ed e, notre confeil > déchargeons en conféà
compter du I er janvier de la préfente
canicneée, , dlee urlas greatgeensu,e tadxua tiodnixsi è&m ed rodi'atsm do'retxifelre.--
ment , établie par notre édit du mois de décembre
1764."
X V I I .
Nous avons fixé & fixons irrévocablement les
épices des comptes defdits payeurs réfervés, à la
fdoitmesm ter endtee hpuaritti ems i,l làe qluiverlqesu ep ofoumr mchea qcuune ep udifeiTfe- monter le fonds des rentes qui feront dillribuées
ddiatness léepfdicietéss fpoairt tiaeinsf. i Vfaoitu lào nl’sa vqeuneir ldea nfso nledss' édtaeit-s de dillribution defdites rentes , à compter de celui
dqéuri ofgereaa natr ràê téc eetn néogtaFred c,o anufexi lé pdortusr ld’easn nméeo i1s7 7d1’a *>-
vril 1671 , décembre 1690 & avril 1704.
Les années fuivantes, différens règlemens fuirent
rendus fur la comptabilité des rentes.
Les lettres-patentes du 30 décembre 1772 , en-
rbergéi llr1é7e7s3 à , la cohradmonbnreè rdeenst cqoum’ipl tesn ele 1fe6r foeipt tefmai-t
mention dans les comptes des payeurs des rentes y que du net à t s rentes 3 parce qu’en même-tems
leen trme olnetuarnst mdea incse,s &re teqnuu’eils nnee' feferrooiitt pplauss mfaiist fonds dans les états de dillribution , que du
cn’eetf t-ràev-deinrean ,t dàé duchctaicounn ef aidtee sd epsa rrteietes npureesn a&n teims >-.
pofitions dont chaque portion de rente feroit fuf-
ceptible.
treUs-npeat ednétecsla rdauti oine rd um a3i1’ fujaivnvanietr, 1&77. 3u ned edsé clelatraa
triaopnp odurt 2à 8la fcéovmrieprt ab1i7l7it4é dersé gplaèyreeunrts tdoeust -çe qui rentes.y leenu rsfi xcaonmt plteess , d&él acies udxa dnasn sl elfeqfuqeulesl s iillss preanyderrooiieennrt
les épices précédemment réglées, à la chambre:
des comptes.
L'année 1784 fut remarquable par rapport aux
rentes fur l’hôtel-de-vilie de Paris , en ce que les
lettres-patentes du 15 août, enregiUrées en parlem:
nt le î ¥ 'j j même mois, rapprochèrent leurs
Daiemens 8c fixèrent irrévocablement'les epo
qfuuie vsa nos.i üs s o ie n t lieu . dans leS tetmeS
de Srae tmaradjse ftdea vnso ullaesn t pqauie’mil ennse fdoeist palrures raégperso udveés
rentes , tant viagères que perpétuelles , qui s acquittent
en l’hôtel-de-ville de Pans, a ordonne ce
qui fuit :
A r t i c l e p r e m i e r .
Indépendamment des fonds ordinaires qui font
rgécr acgoenst indueesr ornetn dte’êst rep edrepftéitnuéesl aeus p&ai evmiaegnètr dese s qauri
s’acquittent à i’hôtelde ville de Pans , il fera le-
tmaiirse aduexs fpearmyeeusr sg édneéfdraitleess ,r eunnt esm ,i llpioanr d1 aadujgumdiecnat&
at ipoanr edilalnes folem cmoeu rsd adnus mchoaicsu dn odéetos bmreo ips rofucihvaainns ,, jquufaqturee-sv i&ng tc-ofimx p; rilse tloe umt opios udre f ejruviinr ma il fept cent quittement de tous les arrerages defd1 ietenst ier acrentes
échues jufqu'au dernier décembre, mil fept cent
quatre-vingt cinq.
I I .
cenLte sq uaarrtérera-vgeins gtd-feisx ,f idx e ptroeumteiesr sle sm.coenisf Mm ipl efreppét
ftueerollnest aSctq uviitatgéèsr eesn , epnatyiaebr ledsa nàs 1 lheso tefilx- ddee vrnilileer s, mois de la même année ; ceux defdits fix derniers
pmaoyiéss dmainl s fleesp tf ixc epnret m: qieurast rme o-ivsi ndeg t1 -7 fXix7 > “ ainli de fuite, fans retard ni interruption > enfortequeles
arrérages d'un femeftre feront toujours acquittes
eqnu ee ntcieetr doarndsr el e nfeem feoftirt e jfaumivaaisn t.i nVteerurto fma pmua jpeoftuer,
quelque caufe 8c dans quelque cas que ce puifle
êqturoei , elmleê ma eo rddaonnsn éc e8luc io drdeo ngnuee rerxep; reIflMemenl t daue
contrôleur général des finances, de faire remettre
exaftemenr aux payeurs defdites rentes , par chaque
femeftre, 8c de femaine en femame ,les tonds
néceflaires pour l’acquittement des arrerages du
femeftre précédent.
I I I .
L’état annexé fous le contre-fcel des prefentet
lettres-patentes, qui indiquera le mois de chaque
femeftre, dans lequel chaque rentier fera paye ,
epna iefmueivnasn dt efld’oitredsr e alphabétique établi pour les ren tes , fera imprimé, & demeurera
affiché dans les faites de l'hotel-de ville de
éPtaarti s fouùiv if ec foonnftta lmefmdietsn tp a8ice mtoeunjso, uprosu, rf aenrrse qlueed i»t
fous aucun prétexte, il puiffe être fait aucun
changement. ^ ^
Quant aux parties arriérées, faute par les pro**
péprioéqrauierse so dùe les’uêrtsr ea rrpérréafgeenst éést ooiuen mt pisa yeanb rléegsl,é e alluexs
qfeur'oelnlte sa caquuriottnéte sé tdéa ndse mlea nmdéoesis ,& à mdaitfeers ednu jéotuart d’être reçues, fans que leurs paiemens puiiient
être retardé» ni morcelés fous aucuns prétextes.
m , 7 Les rentes perpétuelles & viagères fur l’hôtel-
adue -vpirlelem dieer jPuairllies t , mdielv afenpt t fcee ntrto quuvaetrr ea-vui ncgotu-friaxn ,t
pdaerf tiln’eefrfae t aldoerss pdreésfe nfotensd sd ifppaorftiitciuolnies rs, fpao umra jreafpte
procher les paiemens arriérés de tous les autres
objets employés dans les differens états.
T A B L E A V des payemens qui feront fa i t s a l ’hôtel-de-ville , p a r ordre
alphabétique , pendant l ’ année 178(3.
S ix derniers mois ,
année 178; .
S i x premiers mois }
année 1786.
Janvier . . . A . . . B.
Février . . . C . . . D . . . E.
Mars . . . . F . . . G . . . H.
Avril . . . . J . . . L.
Mai . . . . M . . . N . . . O.
Juin . . . , P • • • Q • • • R > &c-
Juillet. . . . . . A . . . B.
A o û t ................C . . . D . . . E..
Septembre . . . ' F . . . G . . . H»
Oûobre . . . . J . . . L.
Novembre. . , M . . . N . . . O.
Décembre , . . P . • » Q • » • B., &c.
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