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autres de même fi attire,que depuis le 24 juillet 16 4q1u,i qnu'io nn'to nétté paociqnut iéfetés
apmreomriteier sj,a n&v ieqru i1 -n7'0o0n ,t lé'etféf elto udéees sl eqtturee sd-peaptueinst else
de 1746 ne peut pas s'y appliquer , parce que
lt'oeuxielmlanptt ioenn cpoorret é, e apua rp lrae mdéiecrl arjaatnivoine rd e1 710608 9, , dlee
1reu roi ne peut pas être cetvfé lès avoir déchargées
d’un droit dont elles n'étoient point fuf-
rcêetp tdibul e2s 7; aninofvî e,m pbarre r a1p7p7o4r t3 àd oceits mêtareif oenxsé ,c ul'taér j
amuatirse si.l Vy ua aulifeliu l ad reé pleo nrféev doeq uLearu rpeonutr D taovuitdes, aldes
judicataire des fermes générales-unies j le contrat
palïe avec lé clergé le 14 août 1641 3 la déclarat2io7n3
8d,u lef sj ulieltlterte s1-6p8a9te ,,n ltee sr ègdule m19e njtu dinu 2117 4ja6n,v i&er
lc'oanrrfêédt érdéu : coounïf eleil radpup o2r7t dnuo vfelemubr rTeu 1rg77o4t .3 Tcoonu-t feiller ordinaire au confeil royal, &c. &c. le roi
ébtlaenmte ennt aImono rctiosn lfeesi lb, âati mdéecnlsa r&é &éd idféiccelsa refe rvvaalnat
de maifons abbatiales , prieurales & canoniales,
ednanfesm dbelse liteouuxs claauutfrtersa ubxi e&ns ré&gu lhieérrsit a, gqeusi édtéopieenn-t poffédés par le clergé avant l’année 1641 ou qui
adyoannnté és té acquis depuis cette époque , auront été à loyer avant le premier janvier 1700 ,
gcéonmémraeu x éqtuane tl e ccloemrgpér ias obdatennsu sl eesn a1m64o1r ti&fif e$m 74en6s.
lVese uobt j&ets ednet ecned g eenn rceo fnofieénqtu &en cdee,m feau mreanjte efxtée,m qputes de tous droits d’amortiflement & de n ouvel acquêt 3 encore qu'ils aient été ou qu'ils foient mis dans
lneé acnommominesr cqeu &e lqesu ’iblés npérfoicdiueirfse n&t uanu trreevse gneun, sf adnes
emfapiènc-em qourtie apuuriofileenntt préup aévteori r leést é dproayitéss daev ancet ttlee
préfent arrêt : ordonne au furplus que l'arrêt du
lcoonn fefail fdourm 2e7 &n otveenmeubrr e, e1n7 7c4e, qfueir ac oenxcéecrunteé lfeés
maifons abbatiales 3 prieurales , canoniales & autres
biens & héritages de même nature, qui ayant
éé ttéé daocnqnuéiss pàa rlo lyee rc lqeureg éd edpeupius isle 1p6r4e1m ,i enr 'jaaunrvoinert
1700 , & qui n’auront point été amortis avec finmaen
cfaei f,a onut pqaurit inee d fee rdoontat tpioans sr oépuu ftoénsd la'êtitornes, cfaoimtes
par les rois prédécefifeurs de fa majefté. Fait au si
Vcoenrffeaiilll eds'é ltea tv dinug tr-onie ,u vfaiè mmea jjeafntév iye r é1ta77n6t,, tsea.nu à
lioPnos ftdéer iecuonrefmirmenetr llea cléogniffelailt iao ne uq upil uvfiieeunrts do'cêctare-
expofée concernant le droit de nouvel acquêt.
Il a décidé, le 13 mai 1777, que les Bénédic- .
tins de Vertou dévoient payer ce droit pour des
biens tombés en déshérence , dont ils jouiffoient
en vertu de leur feigneurie , & qu'ils avoient
affermés en attendant la réclamation des héritiers.
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darUnnné alrersê tm dêum ecso nfreeilli gideuu x 13à mpaayi er1 7le7 7d, rao ict odne-,
nouvel acquêt pour la location de neuf ans qu’ils
voennt t fdaiet el ad Cesh baiuemnse arpépuanrit eanua nles ucr.i devant au couUn
autre arrêt du 19 février 1781 , condamne
lmese nCta,p upcoiunrs lad ep aMrtioen dtpee lleliuerr càl ôptauyreer d ol’natm iolsr trifeftei
reront un revenu, s'ils la mettent dans le comlme
edrcreo itp our y relier à perpétuité ou feulement à&'nouvel acquêt fi la location n'eft que
momentanée , foit qu’ils faffent ouvrir ou non,
1u ninet é,Pr.ioeruter dpea rlteiucur lmièoren apftoèurer . communiquer dans
nonCceése rpealrig ile'aurxr^ê ti ndveo quoient l'exemption proclôture
exiftoit avant 1614717 6, ,& e nq ud'eifllaen té qrouiet cleenu-r
ifle ele ucro ma pértimé eo bdfaenrvs él ’qaumeolrleti ffaevmoietn ét tég éanméroarlt ;i e mais fans finance en 1639 , que dès-lors l'arrêt de 1776 nn'’aévtooiitt peaus aepnp lvicuaeb leq uàe cleetst eb icelnôst uraem ,o rptiusi faqvue'icl finance.
droOint dae (nfiot uqvueel alec qféucêot n3 dr ecgaasr ddea nlse sl ecqoumeml eufnt aduût éles laïques. Toutes celles qui polsèdent des droits
dce'unfsa goues ,a ugtérneémraelnetm, eonnt tq éuteél cdoifnpqeunefsé e,s àd c’ehna rpgaey deer
ldee d rporiot pdr'iaémtéo rdtief lècmese nfot,r tpeasr cde eq ub'eiellness. nP'oonut rp loeiunrt
aplollui-eeftltiipcns àc opmaymeur nuen e& fi nla'unfcaeg aen gnéuneéllrea lp sr oeplloerst ifoonnt
nfiénea nàc el’ oqbujee tl ’odne dcoenttnee j oluei fnfoanmc e ; & c'efl à cette droit de nouvel
acquêt des ufages.
L'édit du mois de mars \6b i a affujetti les communautés
à payer , pour ce droit, des biens non
amortis , la jufte valeur du revenu d'une année
pour leur pofTeffion jufqu'alors ; & la déclaration
du $ juillet 1689 , ordonna que les ufages poffédés
par les communautés, feroient taxés à propôr^
tion de la jouiffance quelles avoient eu depuis
1672.
Pour parvenir au recouvrement du droit fe nou*
vel acquêt des ufages , plufieurs régiemens ont
ordonné que les maires , confuls des villes, les
fyndics des communautés remettroient aux inten-
dans des provinces des déclarations certifiées
contenant les ufages qui leur appartenoient de tout
temps , l'étendue & la qualité des terres qui y
font fujettes 3 que ces magiftrats en feroient le rapport
au confeil, avec leur avis fur le revenu annuel
de ces droits d'ufage , pour être enfuite arrêté des
états , par provifion du droit de tiowvel acquêt 3 à
raifon de la jouiffance, depuis 1672, nonobftant
toutes lettres d'amortiffement générales ou particulières
s 8c que, d’après ces états, les mteittlajis
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jïïipoferoîent la foraine due par chaque communauté.
Parmi ces régiemens, il fautTempter l’arrêt du
confeil du 23 janvier 169a , les déclarations du .9
mars 1700 , les arrêts du confeil des 21 juin
1 7 1 2 , 15 novembre 17 20 , & plufieurs autres
encore.
L e droit fut fixé fur le'pnx d’une année de re-
•yènu pour vingt années de jouiffance pafleesj &
à l’avenir, à raifon du vingtième du revenu; par
chaque année , par l'édit‘de mai 1708, & celui de
Septembre 1710.
C e droit eft dû fans nulle diftinétign de la mouvance
des biens, attendu qu’il appartient à la couronne
, & qu'il eft dû à titre de permiflïon donnée
aux communautés de jouir de tous droits d’ ufages
quelconques , fuivant l 'arrêt du confeil du 17 novembre
1722..
L'article 8 de l ’édit du mois de mai 170 8 ,
ordonnoit que les fbmmes dont les communautés
laïques fe trouvoient redevables po,ur le nouvel
dequêt de leurs ufages, feroient impofées par les
intendans 3 & dans les pays d'Etats, par les députés
ordinaires defdits Etats avec les deux fols pour
livre defdites fournies fur tous les habitans ayant
droits d'ufages, exempts ou non exempts, nobles
& roturiers, privilégiés & non privilégiés.
La déclaration du 31 décembre 1709, &: l’édit
de feprembre 1710 , ordonnèrent enfuite que le
même droit feroit impofé dans la même forme annuellement
, depuis le premier mai 1708, à raifon
d'un vingtième du revenu defdits ufages 3 & que
ces droits feroient payés par les collecteurs &
fyndics des paroiffes, fur les fimples quittances du
fermier des domaines, vifees par l ’un des contrôleurs
généraux des domaines & bois.
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Cès difpcfitiôtis furent encore rertôiivellées pat
l’arrêt du confeil du 1 j novembre 172,0 , qui ordonna
que dans les provinces où le droit de nouvel
acquêt avoit été négligé, les communautés feroient
tenues de fournir des déclarations-; mais que celles
qui en avoient donné, en feroient difpenfées.
Cinq années après , d'eft-à- dire au mois de juillet
172y , par arrêt du confeil du 1 7 , il fut ordonné
qu’à l’avenir l'impofîtion du droit de nouvel acquêt,
avec les fols pour livre éxiftans, feroit faite annuellement
& par avance, fuivant la forme prefçrite ,
& conformément à l'arrêt du 9 feptembre £723*
Il eft impofé dé plus un fol pour livre pour la re-
mife dés collecteurs,des receveurs des tailles & des
receveurs généraux des finances, à raifonde quatre
deniers pour livre pour chacune.
D ’après les-déclarations du. ro i, des 3 février
1728, 2 y juillet 1733, i i février 1739, 16 octobre
1743 , 2j octobre 1749 , & 7 o&obre 1755* ^
le droit de nouvel acquêt eft levé fur les habitans
par les collecteurs s qui en remettent le montant aux
receveurs des tailles 3 ceux- ci le remettent aux receveurs
généraux des finances, par lefquels le droit
principal eft payé au fermier des dçmaines , aveq
les fols pour livre.
Dans les pays d'Etats, ce font les tréforiers
généraux qui reçoivent le montant.du droit dont il
s'a git, ain/i que de celui des autres impofitions ;
mais ils le remettent également au fermier des domaines
, qui en donne fes quittances.
Nous allons actuellement préfenter le tableau
de ce que paye chaque province ou pays particulier
, pour le droit de nouvel acquêt a en rapportant
le titre de cette impofition en principal*