#*»■ ft E S «P'ourfqltès pendant le défendes accordées. Il y tae mqus edlqeu leaf ofiusr fdéeasn ccoen doiuti odness -.pavoortiér efos upra-er x.céec.su atirornê ts,c foamnsm lee fdqeu eplaleyse irl sle sn ea prreéura vgeenst ■ aux créanciers , &c.
Il faut remarquer que quoique ces repys p a r
.;naer rêlatislf, efnot iepnat s dnésé angmrâocienss édme afnlééetrsi r d, ue pnr' iqnuceel,q uiles .Sfeosr toen, t l’ohbotnenneuuers ,& p ulaif qréup’iulst alteiso nr edneds ennét gionçciaapnasb qleusi .gdee sp aprutbicliipquere sà , auamcufni sq luio’inl neefut rps o, rftoén dpraior nis’ anrit icclhea r5-: ,
,ad um toitirnes $ q udee dl’aonrsd .olan nfoainccee i lsd un em poaiyse ndte emnatirèsr e1m67en3t, ,'ddeea rrés hacbréilaintactiieorns e&n qlau ’iglsr annd’oeb tciehnannecnetl ledreise . lettres Voy.
RÉHABILITATION.
REPIT ou RESPECT. Terme d e .c om m e r c e d e
ifner » dont pn fe -fort dans le levant. IV,oy. rechange.
;uneR EpiPeLceI EdR’é.t ofPfeli epro uurn lea fféacioren dvéo -irfo &is. p.On n.l a dreépplliiee ; pour la referrer. 1
RiêIrlo efas upt laisv o, ird ef opi&n ùdre dree pleliuerr elnes féatioreff epsr ednadnrse ldees {,dfaèu xv e; nctee. qui les gâte , les détériore & les met hors1
,dirRe EPunR IvSaEi-.f lefainu oteur mnea vdiree commamrcehracned d eq um’uenr y .cvaeru-t .T-qauiir ee,n -ofuui tea ram éattée:u rer pernisn epmair uanv onita vdir’aeb doer df ap rnias t,i o&n ..
V o y . Recçusse.
fehaRp.EhPi'éRs IdS’Eun. cEonm tpetrem, ea ùd le’ ocno am epmtep. lSoey éd dite sd ’duenn ideress
(pcaormtipet éds’ u&n cnoomn ptree.ç uLsa. Lreac ertetep r&if e, .eff la' -troifieme deux premiers. 1a dépenfo font les - Voy. comjpte*
forRt eÉnL P oorutu gRaÉl E,’pSo. uMr toennnior ilee sd leiv rceosm dpetse m daorncth aonnd fse,: p(Cerguozcaidaën. sC &om bmaen qcueitetres .m 4o0n0n oriées eofut lraé e$p lufos npt eutintee ,qui ait été imaginée jufqu’à-préfont, & qu’il en faut
pponn tfrîèdsé-rgarbalned, noonm blerse pfoéupra rfea irdea nusn el efsc ftncmome putne sp e&u : tiafaifntuerse, sa ,m fpia qr um’onil lipoenust , lep avro imr dilalinesrsl' a&dd iptaior n cfeuni!
tva»tf f
3. ? 3 o. m. 4^0. ries.
%. 5 2 0 . m. 540.
j . 4^2. m. 820.
7. 603. n?. ries.
duCca*tésf td-’âo-rd îre 7 millions 603 mille, 5».14 rêes. Les ,©u double pififnto lvea l, e4n0t 0100 000 ries ÿ la dopio moeda, rées ; la mceda ou piftole ,
^anof0in0 lreést sc r,u- lzaa dmejs- md’oeardgae notu ndoenm mi-pairtqouleé,e,s ,1 04.0000 ries • rées. RESCONTRER. Vieux terme dont fe fervoient
négoeiaos ? pour dirc compenfçr
f t
une chofe avec une autre ; mais il eft aujourd’hui
tellement hors d’ufage que pcrfonne , peut-être, ne . 1 entend plus. On ne*fo fert plus-que du mot com-
penfer & plus Ordinairement encore dans le commerce
, f ctyre <5ompenfuion-
K ESCR iPTION. Ordre , mandement ou mandat
que l on donne par écrit à un co.rrefpondaut,, à fou
commis, à fon fermier , & ç ., de paver une certaine
.foinme au porteur du, mandement.
•Les referiptions n’ont lieu ordinairement que d’un
Supérieur à fon iubo.rdonaé, ou d’un créancier à loa
debiteur.
Les grands feigne vit s donnent-aux marchands des
refcripxions fur leurs fermiers. On prend à Paris
-des refcriptions des fermiers - généraux des cinq
grofles fermes fur leurs receveurs dans les provinces!
;pe qui eft très-commode pour y faire palier fon fii>
gent, fans frais.
Les refcriptions des banquiersfe traitent comme
lettres de change..
Modèle de refcription.
a Voas payerez,, ou je vous prie de payer a M* tej
» de votre ville,( ou d’ailleurs ) ,1a fomme de trois
» mille livres , de laquelle je vous tiendrai compte
» fur les deniers de la recette que vous faites pour
-5 moi, en rapportant le .préfout, avec la quittance
» de môndit fleur tel. A Paris, ce &C.41
P o u r la fomme de 3000l .
RE SC RIT. Se .dit en quelques lieux, dans le
même fens que refcripÿon. Vo y . partiale pre«
.cèdent.
RÉSIDU. Ce qui refte à payer d’un compte,
d’une rente ., d’une d^tte, &c. En fait de compte ,
même en tout autre cas , ou dit aujourd’hui plus
communément., reliquat. Voy. r e l iq u a t .
RÉSINE. Gomme' ou fu.c gras & vllqueux qui
coule de plu fleurs fortes d’arbres & qui s’enflamme
aifément. Voy. .gom me.
R é s in e de Cèdre. Voy. C è d r e . Résine de Gayac. Voy. Gayac,
Résine de Jalap. Voy. Jalap.
RES'P O N DR E. (On écrit aujourd’hui répondre)P
Caudonner quelqu’ un, fe rendre garant pour lui.
Les cautions & leurs certificateurs répondent foli*
dairement des dettes, faits & proineffes de ceux pour
qui ils s'engagent, & doivent, à leur défaut, les
acquitter. Auflî dit-on proverbialement, qui répond
paye,. G’eft ce qui n’arrive que trop fouvenc dans
le commerce,. où ces cautionnemens font quelquefois
manquer des négodaes fort riches, & dont les
faillites ne font caufées que par leur trop grande
facilité à répondre pour autrui. Tout eommerçanç
doit être très-réfervé à répondre pour les autres,
& ne pas s’engager légèrement. V o y . C aut ion ?
n em fn t .
RESPONTI. Èfpèce de rhubarbe. Voy. RAPONjp
TIE & RHUBARBE.
RESSEJb. On non?me dflfî à Bordeaux le réfidvj
K Ë s:
de fel qui fe trouve an fond des vaiffeaint, après que J
le poiiTôn falé en a été déchargé.
Ce rêfîdufe vendoit autrefois aux corroyeurs, &
apport oit quelque profit aux maîtres des* navires.
Piéfentement ce foiblè commerce leur eft défend liée
ils font tenus dé le faire- jetter dans la rivière,-
rie leur étant pas- même permis de le mêler- avec-
le fable du fond de oale , pour y fervir de left-.
RESTA N T. Ce-'qui demeure d’un to u t, après en
avoir retranché une partie. La fouftraéfion apprend
à trouver le reftam■ de quelque nombre ou fomme
que ce foie,. lorfqu’on en ôte un plus petit. ,
On dit proverbialement , chez les marchands ,r
qu’il faut payer le refiant des anciennes parties
h l’on veut avoir crédit pour de noavellesr-
RESTAUR.- ( Terme de- commerce de mer ).
G’eft le dédommagement que les alfureurs1 peuvent
avoir les uns contre les autres ,-fuivant la date de
leur police d’afîurance, ou le recours que les mêmes
affureurs font en droit de prétendre fur le maître
d’un navire ,= fi les avaries proviennent de fon fait,
comme fauté de bon guindage,- ou de radoub-, &
& pour n’avoir pas tenu fon- navire bien, eftané ,
( étanché');-
RESTE. Signifie tout ce qui demeure de quel--
que chofe , ce qui en fait le fur plus.- Le refie
d’une fomme d’argent-, d’une étoffe, d’une toile ,,
Scc.L
es marchands appellent de bons refies, les coupons
d’étoffes de deux ou trois .aunes qui fe trouvent
à-la fin des pièces -d’étoffes qu’ils vendent en
détail-, dont on peut faire quelque vêtement.-
Au contraire , ils nomment de mauvais- re (les , les;
petits morceaux qui né peuvent être propres qffe
pour les fripiers.
Il faut, autant qu’il eft poftible, éviter les mauvais
reftes, fi l’on-ne veut pas perdre fur fa mar^
chandife.-Chez les marchandes lingeres , il ne fe ■
ttouve jamais de mauvais reftes ;■ car quelque petits- :
que puiffent être les morceaux,. ils peuvent toujours
etre mis-en ceuvre dans leurs boutiques
RESTE. L ie u du r e s t e , (en terme de commerce
de 77ier).-C’eft celui de là dernière décharge
des mârekandifesj, lorfque le voyage eft fini.
RESTES. Se d it, en termes de comptes-, de ce |-
qui refte dù par le comptable. Il n’eft gueres d’u-
fage que-dans les comptes de finance j dans ceux
des commerçansv on- dit- debet Ôl reliquat. Voy.-
COMPTE.
RESTORNR. ( Terme de teneur de-livres). C’eft
la même chofe que1 contrepofition ;> c’eft - à - dire ,
porter fur quelqu’un des comptes du grand livre ,
foit au débit ou au crédit 3- un article pour un au
; ee; que les teneurs* de livres doivent éviter
foigneufement. Quel ques-unsfe fervent des mots |
'GXtorne & extoini, qui ont la même flunificatiort.-
RESTORNER. Voy. Varticle précédent.
RESV!E. Ancien’ droit ou impoli don qui fo levé
îhr les marchandifes qui entrent en France', ou qui’
«*•*forcent.. G n .dit- ordinairement y.rejpe & haut-
R f; T
f pafiage. Ces deux droits autrefois féparés , 0.1
été depuis réunis. V o y . t r a it t e eo r a i-n e. Ce '
droits y fout-expliqués.-
. R e s u r e , autrement'RÔGü e s , Ra v e s , oii c o - '
Qu e s . Divers rioms qu’on donne auxeeufs de morue ,»
de gabillaux t. ou cab illaux, de ftoclcrifches & de'
maquereaux , que l’on a tamaffés &• faiés dans des*
barils.
Cette mârchandife- vient des endroits où fe fait-'
la pêche de ces différens poiffons. Elle eft- eftimée:
fuivant fa qualité',- les lieux d’où elle v i e n t & la-
; grandeur- des barils. Son'-ufage eft pour la- pêche:
de la fardine que'.cet appât ennyvre &* fait donner
dans les filets , après l’avoir fait élever dù fond de-
l-’eau où l’on* commencé par jetter la refure ou1
•vogues.
La- pêche de la farcUne étant coùïidéfable for-
les côtes de Bretagne, on y-fait un affez'gros-com-'
merce de refure y for-tout dans la baie dé Br eft
r- &■ dé Gamaret,. dans celles dé Douarnenez & de--
Gonquernau, au- Porc - Louis &• à- Guiberon ou'-
Quibéron.
L a refure dé maquereaux fe vend prefqüé'toute’
au Port-Louis & à Q.uibéroh , les pêcheurs dé ces;
endroits étant perfoadés qu’elle attire beaucoup les:
iardines. Dans- les autres endroits il ne s’y en ven<$
que rarement, parce que l’on prétend que les pe--
. rites peaux qui l’enveloppent font capables , en*
s’attachant aux filets ,-de les gâter & de les-pourrir.
L ’art. 12 du rit. 2 , du iiv. 5- de ^ordonnance de;
la marine dû mois d’aoùt 16 8 1 , défend auX pê--
c heurs d’employer dé la réfurc pour attirer la fardine,?
qu’eUe-n’ait été vifîtée &■ trouvée bonne-, à'peine de-
' 300 1. d’amende.-
R Ë T ou RET S: Filet 0(1 lacis de plu fleurs ficelles’
qui forment des mailles quarrées-, dônt on fo fort'
.pour la chaffe & la pêche.
R E T A IL L E S DE P EA U X . Qu’on nomme aijlïïi
reyfors. Ce font’ les rognures des peaux-d’animaux-
'‘ qui font propres à faire de la colle forte.
Les retailles de peawoc payoient ci-devatit , â'
la douane'de L y o n , 6 f. de la - charge, -& payent-
aujourd’hui, venant de l’étranger fuivant l’arrêt dix1
1 1 août 17 7 1 , par quintal 2 f. ; la forrie en eft pro-<*
hibée par le même arrêt.
R e t a ï l l 'e s . Se dit auflî dans le commerce d e ’
morue en d e t a il, des petits morceaux qui reftenc;
. quand 011 en a tiré les principales piecesïOn ies 0 0 ®^
,me auflî loqüets. V o y . m o ru e .
: R'ÉTËNTION’NAIRE DE SOIE. Terme en'
ufage dans les mànufdfturès des draps d’or , d’argent-
-& de foie.de Lyon. Il fignifie ccut, des maîtres-*
.ouvriers à fa çon y qui retiennenf les foies & autres*
matières , q.pe les-marchands-maîtres leur'donnent-
. pour être employées aux> ouvrages & étoffés q.ü’iis;;
leur commandent.-
’ L ’art, t du réglement dé 1702 porte q.ùe des flx^
maîtres & gardes de la,communauté des marchands^-
maîtres &ouvriers en. foie, il y. en auEadeux^mafoce**’