
T A B L E D E S
tout âge 5 — plus fréquent dans l ’enfance que
dans la vieil)eue ; — il ne faut poinr y toucher
quand elles n’incommodent point 5 — manière de
traiter les pendantes 5— quand le biftouri, convient
} — quand le cauftique eft préférable ; -—
détails fur ceux qu’on peut employer 5 — celles
qui viennent fur la verge l'ont fouvent les indices
d’ infeétions 5 — fe détruifent quelquefois d’elles-
mêmes 3 —- réfiftent fouvent à l’aaion du mercure
5 — aulfi ne font-elles point une raifon de
continuer le traitement mercuriel ; — traitement
ordinaire qu'elles exigent ; — remèdes à éviter.
Tom. 113 pag. 491 *492. Autres excroilfances qui
offrent les premières apparences de verrues y n’en
font cependant point 5 — organifation 5 — traitement.
Ibid.
VERD-DE-GRIS 5 fa nature j — & ufage dont
il eft en chirurgie. Ibid.
VERTÈBRES 5 définition & confédérations
générales}^— maladies générales auxquelles elles
font fujettes }— l’arrière-train plus fufceptible de
fra&ure qu’aucune autre partie j — quand leur
corps peut fe rompre 5 — accidens qui peuvent
s’enfuivre 5 — détails que Cocchi en donne 5 — 1
obfervations d’autres auteurs ; f i l fuite toujours
funeite 3— on ne peut que répondre aux indications
générales quand le corps des vertèbres eft
rompu ; — comment on fe comportera dans les
cas où le défordre feroit dans l ’arrière - train.
pag. 492 y 493. C elfe eft le premier auteur
qui ait parlé des luxations des vertèbres 5 —
mais fon paffage peut s ’entendre de ce qui a rapport aux fra&ures 3 — détail fur celles qui
M A T I E R E S .
peuvent avoir lieu ; — opinion & conduite
d’Hippocrate à ce fujet 3 — accident qui fument
aux chûtes & aux coups fur l ’épine. Tom. I I y
pag. 494. La carie des vertèbres furv-ient fouv.ent
à ia fuite dé la petite vérole 5 — peut venir cependant
d’une toute autre caufe j i— comment le
mal commence & fe continue} — dépôt primitif j
— cette carie ne doit point être confondue avec
l’ufure à la fuite de la preflion d ’un fac ané-
vrifmal. Ibid.
• VE SSICATOIRE S 3 propriété de ces' médica-
mens ; — formule d’ un emplâtre de cette nature ;
— application 3 — • quand on le lève } — panfe-
ment 3 — conduite à tenir quand on veut entretenir
l’écoulement ; — moyens de remédier aux
accidens relatifs à l’impreflion qu’ ils font fur la
; veflîe 5 — fubftances qu’on peut leur fubftituer.
\pag. 495-
\ VULNERAIRES ; cette dénomination a été
; étendue à un très-grand nombre de plantes par
les anciens 3 — préjugés du peuple à ce fujet.
Ibid. x
XÉROPHTALMIE ; définition de Ceife ; —
| l’inflammation moindre que dans l’ophtalmie j —
remèdes de cet auteur trop âcres, pag. 498.
z
ZÏGOMA 5 expofé aux fradtures & pourquoi;
-— exemples cités parDuverney 3— méthode qu'il
fui vit. Ibid.
F in d e l a T a b le d e s M a t iè r e s