
giens paffent de "état d'obfcurité ï une Con-
fiftance plus brillante ; — obftacles que ieu r op-
pofent Us médecins 5 — nouvelles tentatives qu'ils
font pour fe relever ; — éreaion de l'académie |
prérogatives accordées aux chirurgiens par
lettres patentes ; — articles réglés relativement au
droit de préfence accordé aux médecins dans les
aa e sd e réception. Tome I , pag. 319 , 310 (tfuiv.
CHO U X 3 utilité de leurs feuilles pour attirer
la fuppuration d'un veiicatoire. pag. 321 *
C IC A T R IC E i empreinte laiffee fur la peau
•à la fuite d'une plaie ou d'un ulcère. Ibid.
C IGU Ë ; fon ufage connu chez les anciens ;
— reffufeité chez les modernes par le D. Stoik ;
_ - regardé comme fpécifique du cancer, par
Cullen , H um e r , Fothergill ; — en quoi cet
extrait péché fouvent ; — circonflance qui a empêché
beaucoup de praticiens de reconnoïtre les
bons effets de la c iguë ; — phénomènes qui indiquent
que la dofe en a été portée trop loin ;
— comment on doit commencer à la donner ;
— les effets du remède varient fuivant les individus
; — Fearon a donné jufqu'à quatre onces
de feuilles en poudre par jour fans qu il s en-
fuîvit aucun inconvénient ; — comment le remède
agit quand il eft convenablement admini.ftré ; —
il n'eft aucune obfervation authentique qui prouve
qu'il ait guéri le cancer ; — vanté dans quelques
cas dé maladies vénériennes, pag. 321 (tfuiv.
C IL LEM EN T ; mouvement convulfif des paupières
3 tel que la volonté ne fauroit 1 arrêter ;
— moyen de curation, pag. 323.
CINABRE ; ufité fous forme de fumigation
dans quelques cas chirurgicaux ; — ceux où il
peut particuliérement c o n v en ir ;— comment il
convient alors de l'employer ; pag. 323 . 324*
CIR E ; fon ufage dans la confeétion des emplâtres
& pour le panfemeut des plaies & autres
cas particuliers. Ibid.
CISEAUX ; leur fréquent ufage en chirurgie ;
—-- description de ceux à intilien ; ce qu on
entend par le plane , 1® talus > le d o s , le tranchant.
rag. 324. ;2 f . Cifeaux droits, courbes ,
concaves , à lames coudées ; — leur aétion mécanique
j agiffent comme des leviers ; — maniéré de
s'en fervir , — leur ufage comparé à celui des
inftrumens qui pouvoient les remplacer ; — dans
les différens cas de maladies ; — leur ufage particulier.
pag. 32é (tfuiv.
C L A U D IC A T IO N ; d'où cette affeftion peut
dériver ; — quelquefois curable chez les enfans.
pag. J3-r.
C L A V ICU L E ; circonflances qui rendent cet
os plus fujet â la fiaêture ; — fe rompt plus fréquemment
dans fon milieu qu’en fout JUtfè endroit
, — difformité que fa confolidation entraîne
fouvent ; — fraflure fimple ou compliquée ; -
facile à diftinguer; — lignes ; lafraaure fimple
& tranfverfe eft communément accompagnée de
fuites heureufes ; — circonflances où Févehemuit
eft différent;— le premier but q u o n .d o u fe
propofer dans le traitement ; g g conduite qu on
tenoit à cet égard du tems d Hippocrate; — procédé
de ce père de la médecine > — opinion de
Celfe ; — de Paul d'Egine , d Albucafis ; —■
moyens employés par Leclerc, i . L. P e tit, Heiiter,
Brafdor , Deflâult. Tome I , pag. ^ i , 3 3 3;- — I
Luxation plus rare que lafraaure ; — a plus fréquemment
lieu vers les extrémités fternales que
vers l'huméale ; — forte de déplacement qui fur-
vient alors ; — phénomènes ; — afiertion d Hippocrate
;■— confirmée par ce qu’ en prouva Galien
fui- lui-même j — affertion de Pâre> énoncé de
Sabatier, pag. 334 , î 35-
C LIQUE TIS ; forte de bruit que_ donnent à
percevoir aux doigts les extrémités d’un os fracturé
, quand on remue le membre affeaé de cette
lélïon. Ibid.
C LO U ; ce qu'on entend par cette dénomination
; — fiége de la maladie ; — phénomènes;
|_le pus s’y forme lentement ; — diftingué en |
aigu & en chronique ; — phénomènes de celu i ci ;
pBtraitement i — utilité du bain de vapeur dans
Te chronique, pag. 336.
CO CH LE A R IA 5 le fuc en eft employé avec
fuccès dans le cas d'ulcération & de gonflement
feorbutique aux gencives, pag. 537.
C O C C IX 5 affeftions auxquelles cet os eft
fujet > — renverfement ; — ëfpèces ; — caufes ;
- - phénomènes ; — conduite a tenir dans le cas
où l'os feroit luxé en dehors ; — quand il lell
en d ed ans;— traitement ultérieur. Ibid.
COIFFÉ ; quand on dit que l’enfant vient
ainfi. pag. 338.
’ C O L CH O T A R ; fon emploi dans la çonfeétion
des emplâtres 8f onguens fbrtifians. laid.
CO L LU TO IR E ; différentes efpèces de ces
remèdes 8c leur ufage dans les affeâ'ons des
gencives , de la langue 8c des dents. Ibid.
CO L L YR E ; quelques détails fur ce que les
anciens entendoient par cette dénomination;— |
diftingués en fec 8c en liquide. Ibid.
COLOPHONE ; on s'en fert quelquefois
comme d'un digellif fec fur les plaies 8c les
ulcères i — cas particuliers où l'on y a recours.
pag. 338.
C O L ; maladies qui fiégent particuliérement
Vers cette région ; —• plaies de cette région)
pofition qu’on doit donner en pareil cas à la tête ; .
— traitement local 5 — conduite relative à la !
diverfité des cas j — celles par armes à feu
offrent beaucoup plus de dangers 5 — ■ maladies
relatives aux vertèbres de cette partie j — cas
relatifs à leurs fraêlures 3— à leur luxation }—
obfervation de .J. L. Petit relativement à un cas
de cette e fp è ce , — conduite à tenir pour le 1
traitement. Tome I 3 pag. 339.
COMMOTION ; ce qu’on doit généralement i
entendre par cette dénomination 5— fes effets i
varient félon la nature de l’organe qui,l’éprouve, i
& de la caufe d’où elle dérive 5 — celle du j
cerveau 5 — de la moelle de l’épine 3 — de l’en- :
femble du fyftême des nerfs ï — circonflances qui
la rendent plus fâcheufe 5 — du fyftême nerveux
paffe ‘‘à cehu de la circulation j -— indications1
générales tendantes à la curation, pag. 342., 343.
COMPRESSES > celles des anciens étoient ;
faites avec du lin cardé 5 — (impies } — cem-
pofées j -— leurs différentes dénominations &
ufage. pag. 344.
COMPRESSION > confédérée comme maladie,
peut dériver de différentes caufes 5 — devient :
un excellent remède entre les mains d’ un praticien
habile , fi on l’envifage fous le rapport,
de la curation ; — détails à ce fujet. Ibid.
CON CR É TIO N ; ce terme applicable à toute
coagulation opérée hors des voies de la circulation
3 — en quoi diffère le calcul de la concrétion ;
-r| il s’en forme par tout le corps 5 — font fou vent
caufe des maladies fort graves } — celles curables
par les moyens chirurgicaux fe forment dans le
canal auditif 3 les voies lacrymales , les bronches,
les environs des conduits falivaires , les canaux
biliaires , le re&um, le vagin & les articulations
> <— quelques détails à ce fujet. p. 344,345.
CONDUCTEURS î inftrumens deftinés à introduire
les tenettes dans la vefiie lors de l’opération
de la taille ; — ont varié dans leurs formes}
— détails fur leur, ftruéture > — manière de s’en
fervir. Ibid.
C O N D Y LOM E } quelle excroiffance on doit
défïgner ainfi ; — on pourroit rapporter au
condylome , confédéré comme genre , les
crêtes , les fies , les marifeas, les thymus , &
autres élévations de ce genre de nature vénérienne
, — leurs caractères } — leurs corps fe
détruifant par la fuppuration, ils laiffent une
hafe qui offre fouvent les apparences du chancre}
— citconftances qui amènent ces changemens}
— on ne doit point les traiter comme maladies
particulières} — changement qui leur furvientjpen-
dant le traitement mercuriel} — quand il convient
de les couper }— -comment on pourroit les lier;
—1 ils demandent qu’ on force la dofe des mercuriels
vers la ün du traitement, pag- 345,
CON FO RM A TION } vices que l’on range fous
cette dénomination. Tome I , pag. 346.
CONGESTION 3 ce qu’on entend par ce mot.
Ibid.
CONSOL IDATIONS, CO N SO L ID AN S } termes
relatifs à l’opération par laquelle on porte les
plaies & les ulcères à la cicatrifation ; — remèdes
qu’on peut regarder comme tels. Ibid.
C O N T R E -O U V E R TU R E 3 on l’opère par
rinftrument tranchant ou le cauftique. pag. 347.
CONTRE-COUPS } peuvent avoir lieu dans
les différentes régions du corps 3 — plus fréquens
à la tête 3— obfervations à ce fujet, où l’on voit
les effets de la percufïion de cette partie être
tranfmis dans des régions fort éloignées. Ibid.
— ou bien fur la poitrine 3 — obfervation de
Louis qui le conftate 5 fur le ventre 3 — obfervation
de Duvergé à ce fu je t} — aux extrémités.
pag. 348.
CONTRE-FISSURE ; Celle eft lé premier
auteur qui en ait parlé clairement ; — comparai
fon de Soranus à ce fujet 5 — Paul ne l’admet
point 5 — fes raifons 3 — fauffeté de fes affer-
tions. Ibid.
CO N TO N D AN T , étimologie & lignification
de ce terme, pag. 349.
CON TUSION 5 effet de l’inftrument contondant
5 -r— elle ne peut avoir lieu fans rupture de
beaucoup de petits vaiffeaux , affaiffemenc d’un
très-grand nombre d’autres, & perte d’organifme
de plufieurs 5 pourquoi la peau refte alors
entière 5 — d’ou provient l’échymofe 5 — elle
fuccède fouvent à la contufion 3 — comment cela
arrive 5 — exemples pris de l’oe i l } — formation
des boffes 5 — le pronoftic doit être établi fur
la nature de l’ inftrument, la force avec laquelle
il a été -porté 3 — circonflances où l’on en a peu
à craindre } — cas contraires. Ibid. Diftinguées en
internes & en externes 5 — comment elles fe gué-
riffent fpontanément 5 — remèdes que néceflitent
les contufîoris internes j — ceux applicables aux
externes 5 — l’incifion eft néceffaire dans les cas
d’épanchement 3 — comment les parties, reviennent
à leur premier ton j — cas où la ponélion
eft préférable à l’incifion } celles des parties
ligamenteufes & membraneufes donnent lieu à
beaucoup d’accidens. pag. 350, 3J1.
COQUELOURDE 3 vantée dans les cas vénériens.
pag. K
CORPS ÉTRANGERS 3 fubftances qu’ on dé-
figne ainfi ; — diftingués en deux claffes} — nés
aü-dedans du corps ou venus du dehors 3 — on
en doit faire l’extra&ion le plutôt poflible 3 —
ceux qu’on peut extraire fans faire aucune ouverture
} — oe qu’il importe 2 favoir quand on