
pourquoi celles-ci font moins fujettes à avoir la
pierre 3 — les manières de pratiquer l’extraéiion
de la pierre chez elles fe rapportent à la dilatation
& à l’incifion 5 — manière de mettre la
première de ces méthodes à exécution 5 —- quand
.celle-ci peut avoir lieu 5 — pratique variée quant
à la fécondé depuis Celfé qui le premier , en
a parlé jufqu’à nos jours ; — incifion de l'urèthre
dans toute fa longueur & d'un feu*'côté 5—
incifion de chaque côté ; — méthode de Louis 3
■— de Flurant 3 — inconvéniens ; — haut appareil
préférable en pareil cas 5— taille par.de vagin 3
— cas particulier rapporté par Toiet. Tom. I I >
pag. 384 , 385 y 586. Extraction de la piefre
arrêtée dar.s le canal de l’urèthre 5 — pratique générale
3 — procédé à fuivre quand la pierre occupe
la partie membraneufede Purètbrej — quand elle
eft logée dans la partie fpongieufe 3 — quand elle
répond aux bourfes 3 — quand elle eft vers la
région du gland. Ibid. Manière de procéder à
PextraCtion des pierres formées dans ’ le tiflu
cellulaire du périnée ; — variété: de ces pierres j
-—lignes j font le réfuitat de fiftuies .5i— opération 5
— comment on procède à l ’extradfion des pierres
entre le prépuce & le gland 5 — ce cas arrive
fouventchez les enfans;— variété dans le volume
de ces pierres, pag. 387 , 388.
TENAILLES i INCISIVES 5 moyen deftiné à
couper les efquilles & cartilages ; —■ efpèces 5
— cifoires fout préférables ; -— autre tenaille inciliv'e
pour couper les ongles des pieds & des
mains, pag. 389, \
TENDONS j affeCtions auxquelles ils font fujets ;
— rupture 5 — plaies font peu douloureufes quand
ces oiganés font divifés en entier. Ibid.
TEN E T T E S 5 ufage de cet inftrument 5 •—
compofition 5 -r- doivent être d’une trempe ni
trop dure ni trop molle 5 — celles actuellement
en ufage. pag 389 & fuiv.
T EN T E . Lès anciens en faifoient grand ufage
dans le panfement des plaies 3 — inrentidn qu’ils
avoient èn y ayant recours 3 — auffe genre de
tente faite avec des morceaux de linge non
échârpi 5 — autre faite avec l'éponge préparée
ou la racine de, gentiane , — beaucoup de praticien^
\ont prôfcfit ce moyen de la pratique.
pag. 390. ; "
THÉRÉBENTINE 5 entre le plus Couvent dans
la compofition des emplâtres> — qualité irritante
qu’elle.a & par laquelle elle devient fttmûlan.te5
'elle fert à éteindre le mercure, pag. 390 3 391.
TE S T ICU L E ; maladies auxquelles ils font
fujets 5 — leur dépériffèment peut avoir lieu à
différens périodes de la vie. 5 —r dans le cas de
hernie 3 — différentes maniëre'sJfelon lefquelles ce
phénomène arrive, pag. 391; •
1 T É T A N O S j n’ eft d’abord qu’ un accident
dangereux , mais qui devient enfuite redoutable;
— phénomènes de celui qui commence,-— douleur
qui lui fum en t5 — contraction des mufcles
de la mâchoire 3 — douleur du bas du fternum ;
— effet fur les mufcles des extrémités inferieures j
— fupérieures 5 -— fpafmes du vifage. 3 — les fym-
ptômes fébriles paroiffent rarement alors ; — a
toujours été regardé comme une maladie mortelle
5 — eft neanmoins fufceptible de guérifonj
— amputation du membre regardé comme remède.
Terne I I 3 pag. 491 , 392* Fortes , do fes
d’opium utiles en pareil cas 5 — on en, a quelquefois
porté la dofe jufqu’ à trente & quarante
grains dans les vingt-quatre heures 3 —- fes bons
effets ne fe fou tiennent pas 5 — quand on peut
en diminuer les dofes 3 — la, difficulté’d. avaler
nuit fou v en tâ -fon ufage 5 — mufe & camphre
regardés comme auxiliaires 5 —- ne produifent pas
toujours des effets fort évidens 5— bain tiède 5
— obfervation fur fon ufage 3 — bain, froid 5 —
efficacité dans plufieurs c a s , -r-la meilleure méthode
de l’adminiftrer 5 — v in , quinquina, regardés
comme auxiliaires 5 j— ufage dü mercure ;
inutilité des remèdes vulgairement employés.
pag. 392 & fuiv.
T Ê T E 3 maladies traumatiques auxquelles cette
partie eft fujette 5 — comment on les peut con-
fidérer relativement aux parties qu’elles inté-
reffent. pag. 394. Plaies de cuir chevelu, quoique
Amples en apparence, peuvent cependant avoir
des fuites plus fâcheufes que celles des tégumens
de. la face ou d’autres régions 5 — celles qui font
les plus fimples 5 — manière dont elles, doivent
être traitées 5 — les piqûres ont une très-grande
tendance a l’inflammation 3— phénomènes qui
les accompagnent quand l’inftrument n’ a pas été
au-delà du tiffu cellulaire 3 — affections générales
qui les compliquent .3 - - .elles ont plus fréquemment
lieu chez les perfonnes d'un tempérament
fec & bilieux 5 — moyens curatifs les plus convenables
en pareil cas 3 -— les çirconftances font
beaucoup plus fâcheufes quand l’inftrument a lé lé
1 épicranium & le péricrâne 5 — phénomènes qui
ont lieu alors 3 — la douleur violente de tête eft
communément alors un indice de la formation
du pus entredé crâne & la dure-mère 5 — urgence
des (faignées qui doivent être plus ou moins
promptes 3 —- : ejetté^s 5 — quand iîf convient ‘de
recourir à l’ inciiion. ja g . . 394 s 395. Les plaies
eontufesfont fouvent accompagnées de fymptômes
auffi fâcheux 3 — variété d’afc&ion félon la divers
fité dans la manière dont l’inftrument a été porté}
— ; conduite à tenir dans le, cas où il y auroit un
lambeau 5 — opinion de Port à ce fujet 5 — ma-
nière.dont on procédera à la réunion du lambeau
dans le cas où il n’y auroi t aucune rai fon qui
mît ôbftacle à fon recollement 5 -— admiffion des
futuresj>ar Pott y — ce qu’il convient de faire
quand la réunion in’e'ft pas èxaéte partout’, & qu’il
fs forme collection de pus 3 — cas où la.réfection
devient néceftairé. Tom. I I , . pag. 39p. ^ 3,96.
Qjand la contufion fuccède à l’attion d’un corps
dur qui agit fur la tète $— quelquefois il n’y a
qu’une meurtritîure 5 — \ d’ autres fois il y<a épanchement
5 —^ boffe5:— apparences qui fouvent
font croire qu’ il y a dépreiiion au crâne 5 — conduite
à tenir quand rien n’ indiijiie que l’ impreffion
du corps contondant s’ eft portée plus loin que les
tégumens 5 — quand les fymptômes perfiftent il
faut fe déterminer à incifer la tumeur j— manière
d’opérer 3 — figures de 1 incifion .fuivant l’occurence
du cas 5 — les plaies de tête ne. doivent
être paillées que le plus rarement poffible 3 ■— il
faut fe conduire d’après les eircohdances. Ibid.
Çirconftances relatives aux lëfions du crâne 5 —-
différ . ntes dénominations données félon la manière
dont l ’inftrument eft porté 5— différentes
efpèces de léfion qui peuvent alors avoir lieu 5
— quand il faut recourir au trépan dans le dia-
cope > — le cas le moins inquiétant eft l’apoke-
parnifmos5 — exemples pris de différens auteurs3
— conduite à tenir alors 3 — accidens qui dérivent
de l’effet d’ un inftrument pointu fur le crâne 3
— d’ un moufle 5— - effets qui dérivent de l’aCtion
d’un inftrument contondant pag. 396 , 397. La
contufîon du crâne eft difficile 'à déc uvrir 3 —
lignes qu’en donne Fallope 3 — ne peu vent avoir
l eu que dans les cas de plaie 3 — : le premier ;
fymptôrne qui à- lieu eit la douleur 3 — phénomènes
locaux qui s’enfuivent 3 — généraux qui
fui viennent 5 ce qu’on découvre après la mort
en pareil caî 3 -^-détérioration de l’os qui accompagne
toujours cette circonftance 3 i—é obfervation
de Pott où le plus grand nombre des cir-
conftances font rapportées, pag. 398. C e qu’ on
entend par enfoncement ou tLfis j a quelquefois
lieu chez les adultes 3 — moyens qu’on a
eonfeillé pour y remédier 3 — fra&ures du crâne
ont reçu différentes dénominations de leur apparence
; — diftingués en celle avec ou fans dé-
preffion 3 — détails fur les Tentes y — elles font
fouvent accompagnées de fuites fâ.heufes &
pourquoi î— lignes qui annoncent une fraélure
au crâne, 3’ -— indice qu’on a pris du détachement
du pé ne ri ne 5 — d’une ligne rougeâtre & Taillante 5
— de l ’ inégalité, .qu’on fent avec la fonde 3 —
erreur où eff-tomqe Hippocrate 3 — confeil de
Celfe ; ■— ceux qu’ ô’n a donnés dans le cas où les
tégumens feroient dans leur intégrité 5 — ufage
du mouchoir mis entre les ' dents du malade 5 —•
dû càtaplafme dé fariné de .graine de lin laide
vingt-quatre heures fur la tête 5 ce qu’ il faut
Lire quand il n’y a aucun fym-ptôme bien urgent 5
fi le nombre des pièces étoit trop grand 3 —
obfervation de Bellafte. pag> 400. Quand l’enfon-
éèrnent peut - -avoir lieu ; dénormnatio: s !
données aux efpèces pat les auteurs }.— quand
L cdiBminutioii.a lieu> — fi le-défordre eft con- |
> fidérable fur le lieu même en pareil cas; — d’une
' autre part on a moins à en craindre les effets de
la commotion 3 — variété dans les c.irconftances..
Tome U , pag. 400. Contre-coups ; — n’ont point
été unanimement admis par les auteurs 3— Celfe
eft le premier auteur qui en ait par é 3— pafiàg^
de cet écrivain 5— fediftingue en contre-fiffure
& en contre-fçaèture 3 — l ’une & l’autre arrivent
dans quatre oirconftanees differentes 3— leur énu-<
mération ; — comment il arrive par la difpofitioij
des os que le plus grand nombre des -contre-*
c ; ups ont lieu vers la bafe du crâne 5 —- explications
que les phyficiens ont données des contre^,
coups 5 — erreur où elle pourroit mener fi l’on
s’ y fixoit immuablement,: — il eft fouvent im-
poffible de reconnaître l’exiftence des con^.re-^
coups 5’ y-n lignes qui les font foupçonnei- 3—,
conduite à tenir en pareil cas. pag. 40 1 , 402.
Tableau de ce qui arrive quand la réfiitance du
crâne n’abforbe pas la vinknee du coup 5— quand
la fêparation de la dure-mère fuccède à la contufîon
du crâne ; —- inflammation qui eft préli-.
miriaire à cette fêparation 3 —- fes fignes d’après,
Pott 3 — obfervation de cet auteur où ces fignes,
.font mis en évidence 3 — fymp cornes qui annoncent
l’ v tat inflammatoire dés membranes 3 — ces fignes,
n’ont point échappé à Béranger 3 — difficulté de
bien apprécier le dé for dre exprimé par un paffage
d’Hippocrate ; — lesfaignées font l’ancre de falut 5.
[ — ventoufe fearifiée 5 — obfervation intéreffante
à ce. fujet. pag. 4 0 2 ,4 0 3 . Manière dont le cer-
vèay peut être léfé -3 — notions fur les épanebe-
méns} — Celfe en avoit déjà décrit les fuites,
f fâcheufes} — lieux où le fang peut s’ arrêter &
| refter en ftagnation 3 — lieu où fon féjour occa-
fionne prompiement la mort 5 — le fang s’épanche
quelquefois à la fuite de la rupture des plus gros
troncs, pag, 4 0 4 a 405. Les épanchement font
ordinairement annoncés par une fuite de fymptômes
con fée ù tifs 3 — quels ils font 5 —- ces
fympîômes ne peuvent paffer pour fignes univoques
3 — diftinétion à établir entre eux , établie
par I.edran ; — quand cette diftinétion peut être
de quelque valeur 3— quand elle ne faut oit fervir
de bTe à un diagnoftic certain 5 —- circonftances
qui rendent le cas très-fâcheux 3 — degré de certitude
qu’on peut prendre fur la paralyfie qui
occupe, le côté du corps oppofé à celui de la
tête qui a reçu le coup 3 — remarque d ’H ippocrate
à ce fujet 3 — explication prife de la dé-
euffation dés nerfs, pag. 405- , 4 0 6. Degré de
certitude qu’on peut également prendre de l’ apparition
des convul fions 3 — fait pris de Morgagni 3
— difficulté de ftatner fi l’épanchement e f à la partie
antérieure , moyenne , ou poftérieure de la tête ;
— opinion de Petit le médecin à ce fujet 5 —
les épanchemens pourrôient être prévenus fi l’on
étoit sûr des fignes, qui annoncent leur formation 3 4-rde : trépan eft l’ unique,remède 3 — motifs qui
doivent déterminer à prendre promptement un