
T A B L E
p a rti -, — q u and on p e u t fe p ro m e ttre un fu ccès ;
— commotion du cerveau ; — quand elle arrive;
—- les premières notions de ce qui fe paffe alors
dans le cerveau font dues à Littré.;— obfervation
qui donne lieu à fon opinion j — elle eft d’ une
conciliation difficile avec les notions que 1 anatomie
fournit. Tome I I , pag. 4 0 6 ,4° 7* Ea commotion
fuccède quelquefois à une fecoufte très-
légère ; — obfervation d ’Hippocrate qui le confirme
5 — on l’ a vue furvenir à un coup reçu
ailleurs'qu’ à la tête; — la commotion eft fuivie
de déforctres dont la violence diminue à mefure
que le rétabliffement s’opère ; c e u x qui font
les plus ordinaires, — ceux qui luccèdent quand la
commotion eft légère ; — aux accidens primitifs
fuccèdent les fecondaires ; — expofition de ceux-
ci ; — quand l’apoplexie qui a lieu alors eft fou**
droyante; — embarras où le trouvent les praticiens
quand les fymptômts primitifs 1e confondent avec
les confécutifs ; — fi l’ on en croit Bell le pouls
& la refpiratio’n fourniffent alors un diagnoftic
certain, pag. 407 3 408. La commotion n'exige
que des fecours généraux , — méthode évacuative
de Fifcher ; — les obfervations de Bertrandi ont
porté à fuivre une toute autre méthode; — ufage ;
des purgatifs & des ftimulans ; — d’ un veffica-
toire fur la tête ; — développement des lignes
qui annoncent un fuccès ; ■— traitement de la
commotion eft plus médical que chirurgical ; —
la contufion du cerveau n’a de& effets que fecon-
dairement à la contufion ; — comment elle a
lieu ; — quand elle fe réfout d’elle-même 5 —
différens faits intéreffans à connoître à-ce fujet;
— quand elle eft annoncée , c’eft par une fuite
de fymptbmes femblables à ceux qui accompagnent
l’inflammation des- méninges ; — les fuites n’en
font pas toujours promptement fâcheufes ; —
dégénérefcence chronique du cerveau qui en eft
la fuite ; — contre - coups qui ont lieu dans la
fubftance même du cerveau; — obfervation à ce
fujet ; — remarque fur l’ufage du bandage dans
les plaies de tête. pag. 4 0 8 ,4 0 9 >410. Diver-
fité des affe&ions traumatiques de la face ; —
la règle générale eft de chercher à diminuer les
difformités-auxquelleselles donnent lieu; — font
quelquefois fuivies* non-feulement de quelques
accidens fâcheux , mais même de la mort ; —
preuve prife dans B on n e t;— & autres^— comment
on traitera les plaies de la région du front;
— ufage des languettes agglutinatives ; — cas où
il y a fra&ure de la première table ; — corps gras
ne doivent point entrer dans' le panfement;—
caractère de la cicatrice, pag. 411 . Plaies du
fourcil font faciles à réunir; — cas où il convient
d’infifter fur les laignées ; — l ’orbite peut être fracturée
dans celles par armes à feu ;— inflammation
va fouvent du péricrâne au globe de l’ oeil ; —
conduite à tenir en pareil cas 5 — traitement des
plaies par incifion aux paupières ; — cas qui
demande la future entrecoupée pourquoi lesplaies
faites par un inftrument piquant font plus
fâcheufes que d’a u t r e s ;— • circonftançe la plus
fàcheufe; — exemples ; — affeCtions traumatiques
auxquelles les yeux font expofés ; — 1 confédérations
des cas relatifs aux autres circonftances ;
— fait ;— conduite à tenir dans le cas où la plaie
feroit proche le conduit auditif. Tome I I 3 p. 412,
413. Difficulté que préfentent les plaies qui in-
téreffent l’ intérieur de la joue ; — obfervation
intéreffantede Ravatton,— : comment elles doivent
être traitées ; — conduite à tenir dans le cas de
plaie d’armes à feu ; —»complication de la léfion
de la glande ou de fon canal ; *•» fiftules qui en
réfultent ; — celles qui offrent le moins de difficultés
; — méthode comprefîive ; — procédé plus
difficile dans les cas où le canal falivaire fe trouve
intéreffé ; —r on doit chercher & rétablir l’intégrité
- du Canal ; — moyens employés pour y
réuffir ; — méthode du féton préférable à celle
de la perforation de la joue. pag. 414. Plaies de
la langue fuccèdent le plus fouvent aux chûtes
fur le menton ; — arrivent dans les accès d’épi-
lepfie ; — ufage des points de future en pareils
cas ; — obfervation intéreffante de Pibrac à ce
fujet ; — conduite à tenir dans le cas de fraéture
des os maxillaires fupérieurs. pag. 415.
T E T IN E ; quand on doit avoir recours â cet
inftrument ; — meilleurs à mettre en ufage en
pareil cas ; — pompe afpirante. Ibid.
THÉOR IE ; fa définition ; — fon utilité dans
l’art de guéiir ; — connoiffance qu’elle fuppofe;
— • fuppofe de plus l’efprit d’ obfervation ; — 011
lui rapporte les meilleures notions.en chirurgie;
mène à la pratique par la voie la plus sure;
— fur quoi elle doit être fondée pour qu’on en
puiffe retirer tous lés avantages ; — celle dont on
doit faire peu de cas; — défaut où font tombés
les modernes à ce fujet ; — raifons de leurs écarts;
-^-expofé des erreurs de l’homme fur çe point.
pag. 416. La théorie eft générale ou particulière;
— objet de l’ une & de l’ autre ; — point de
rapport de la première. avec celle qui fert de
bafe à la médecine ; — objet de,Ta fécondé.
Paë ' 4l 7r
THÉORICIEN ; quel eft celui qui mérite cette
qualification; — ce qu’ il faut faire pour la mériter
chacun prétend avoir la fienne ;
abfurdité de la plupart ; —- qualité du vrai théoricien
; — manière dont il procède dans l’expoie
des faits. pagt 416 3 418.
TE IGNE ; quels font les fujets qu’elle attaque
le plus fréquemment ; n’ a point d’ efpèces 3 mais
bien des degrés ; — remèdes généraux ; — on
confeille communément* d ’enlever les cheveux
jufqu’à leurs racines au moyen d’un emplâtre de
poix ; — ce qu’on doit penfer de cette méthode;
— opinion d’Evers à ice fujet ; — 1 fon procède;
>— manière d’arrachement,, telle :qu’elle eft. encore
. ufitee
D E S MA
ufitée aujourd’hu i; — méthode de différens
auteurs. Tome I I 3 pag. 418.
TH ÉRA PEU TIQU E , définition de cettepartie
de l’art de guérir ; — quels font les moyens que
la chirurgie emploie; — fes machines , fes inf-
trumens ; — le bon emploi de ces moyens conf-
titue le bon chirurgien, pag. 419. ■
THLASIS ; ce que Galien & Hippocrate expriment
par ce terme qu'ils orit employé les
premiers. Ibid.
THROMBUS ; définition ; — comment il. fe
forme ; — n’èft point dangereux y remède le
plus fimple^ qui .lui réuffit; — eft. quelquefois
accompagné d’ inflammation' & de fuppuration ;
—r comment on prévient celle-ci. pag, 42b.
TIRE-BALLE ; efpèces imaginées ; — ufages;
— le plus grand nombre eft inutile. Ibid.
TIRÉ TO N D ; defcription de cet inftrument ;
-r manière de s ’en fervir ; — inconvéniens.
pcg- | j | |
T IR E -TE TE ; motifs» qui ont fait imaginer
c?t inftrument ; — pratique des anciens avant
cette époque étoit très-meurtrière ; — fait qui le
prouve ; — .c’eft pour éviter les accidens qui s’en-
lijivoient que .Mauriceau inventa cet inftrument ;
— fes vues étoient loin d’être remplies par les
opérations que néceffitoit l ’emploi de cet inftrur
ment; -r- moyens que les accoucheurs imaginèrent
à , k même époque ou après ; — invention de
Levret. pag. 4 2 1 3 422.-.
TOPIQUE ; définition ; — • font du reffort de
la chirurgie. Ibid.
TORTICOL IS ; maladie dont les anciens n’ont
point parlé 3 & que les modernes défîgnent fous
le nom de caput obftipum 3 — ne doit point être
. confondue avec les affrétions rhumatifmales de
cette partie ; — fait rapporté par Tulpius; — fon
opinion.; — autre décrit par Job Meckren ; —
opération confeillée par Sharp ; cas favorables
à.l’exéciition de cette opération font fort rares’}
dérive quelquefois d’une affeétion des tégu-
Rièns ; — • hiftoirèd’un cité par Gooch ; — incifion
dp premier qui réuffit ; — précautions à prendre
après toutes ces opérations, pag. 424.
TOUCHER ; définition 5 — à quoi el!e doit
encore s’étendre c ’eft un nouveau fens que
1 accoucheur s’eft créé ; — auteurs qui lui ont
donné une attention particulière 5 -— notions qu’il
donne ne peuvent être de que-que valeur qu’au-
tant qu’on connoît déjà bien tout ce que peuvent
préfenter les parties dans leur état naturel; —
variété d’opinion des auteurs fur la -manière de
placer les femmes quand il faut y avoir recours;
“^opinion de Levret ; — celle aujourd'hui,:en
uj“ 8e î — foins préliminaires ; — procédés:} —
^«miation ; -4- à quelle époque il convient de
différer le. toucher dans le cas de grofjelfecs —
Chirurgie. Tome I I 3 I I e Partie.
T I È R E S . 5é ,
doutes qu'entraînent les lignes avant cette époque ;
— on ne doit compter que fur les mouvemens
de l'enfant ; — ceux-ci font.diftingués en aétifs &
en paflifs; — ce qu'ils fo n t ; —-en quoi confifte
le mouvement de balottement ; — comment on
parvient a le d é co uvr ir ;-— ne doit point êcre
confondu avec le poids d'une matrice hydropique
i»u engorgée- Tom. I l , pag. 4 15 ,4 x 6 . Conduite
| à tenir à l’égard, des filles ; — circonftances où il
ne faut pas & où il faut toucher ; — lois qu'éta-
:blit Ruilch à cet égard ; — le tems où le travail
fe déclare eft celui où il faut le plus toucher ;
— obfervation à faire en pareil cas ; — notion
qu'on retire du toucher ; — application de ce
(moyen à d’autres circonftances relatives à la pratique
de l’ art, pag. 427.
TO U RN IQ U E T ; moyens qu’employoient les
'anciens qui ne le connoiftoient pas ; — inconvé-
iuiens qui en accompagnoient l'ufage ; — manière
dont on a cherché à y remédier ; — J. L. Petit
■ inventé de moyen dont il s'agit ic i; — defcription
; — manière de s'en fervir ; — avantage qu'il
offre ; — inconvéniens ; — inftrument d'Heifter
-en forme^ de tourniquet ; — comment il faut procéd
e r à l'emploi de cet inftrument. pag. 418.
TR É PAN ; on en dt’ftmgue trois favoir ; —
l'e x fo lia tif;— le perforatif; — & le couronné;
— defcription & qualité, pag. 4 3 0 ,4 3 1 .
TRÉPHINE; moyen qu'on employoit avant
qu’on eût recours au trépan ; — dans quel cas il
faut l’employer fur la tête ; — mêmes indications
ont lieu à l'égard du fternum & de l'omoplatte ;
j— les fentes au crâne en nécetîitent toujours
l’ufage ; — opinion des bons praticiens à ce
fuje t; — cas où l'on peut s’en difpenfer; — fon
ufage dans le cas de plaies d'armes à feu ; _-
même lorfque l'os n'eft ni fendu ni fraéturé;_
dans les cas dé douleurs fixes confécutivement à
un coup reçu à la tête ;.-^quelques-uns fe font
contentés d'incifër fur l’os & de le ruginer; -_
obfervation de Maréchal ;;ai- réfultat de tous les
faits ; — quand on peut croire que la douleur fe
diffipera par l'exfoliation ; — on-ne peut fouvent
po-int déterminer la quantité de trous qu’il faudra
faire au crâne, cela dépend 'des circonftances
que le praticien feul peut évaluer ; — détail à
jce fujet ;'— conduite à tenir ; — d ’où l’on prendra
; l'indication, pag. 4 3 2 ,4 5 3 ,4 5 4 . Règles établies
fur l'ufage du trépan ; — on ne l'appliquera point
fur. les future s;— ; raifons ; — crainte relativement
à l’ouverture du finus longitudinal ; :— peu
Jdft cas qu'il faut en faire ; — prouvé par un fait
(allégué par Chefelden ; - d drconftance encore
plus déterminante; — fait' relatif à cet o b je t ;_
.autres -lieux où on a défendu d'appliquer le
(trépan ; — raifon & cas-qu’on doit faire de la
prohibition ; — faits relatifs à l’application fur
des ..finus frontaux, pag. 4 3 4 ,4 3 3 . Procédés ; —
B b b b