
les lignes qui l'annonçant ; — on diftingue ceux-ci
en(ceux qui l’annoncent ;-— ceux qui indiquent
q uelle eft faite ; — & ceux qui donnent à croire
qu’elle fe fait s — détails à cefujet -, — paffages
qui attellent combien Hippocrate étoit attentif
à tout ce qui pouvoit annoncer une métaltafe
faluraire ; — comment la métaltafe formée peut
fe terminer. Torrt. I I t pag. 74 , 7T-. ^ Êr a
fuites d'autant plus inquiétantes qu’elle fe tait
fur des vifcères effentiels à la vie ; — moyens
préfervatifs auxquels les praticiens doivent porter
toute leur attention, pag. 76.
M É TH O D E , ce qu’on entend par ce terme
dans la pratique j — fur quoi elle eft bafée ; —
indilpenfable dans la pratique ; — preuve ; — ce
qu’eft la méthode au plus grand nombre des
chirurgiens axiome tranfmis par les anciens
fur la méthode j — en quoi elle confifte dans la
pratique opératoire, pag. 76 , 7 7 .
MOLE i la mole & les faux germes font les
mêmes à leur origine ;.— en quoi elles diffèrent
entr'elles ; — eft le produit d une groffeffe qui
ne peut venir à terme;— comment elle fe forme ;
.— f0n organifation varie beaucoup ; — ce qu’ on
doit penfer de celles qui ont lieu chez, les filles
& les femmes ftériles ; r— celles de nature parent
chimateufe font fujettes à des prompts accroif-
femens ; — ont quelquefois en elles une cavité
pleine de férofité ; -t- féjourne plus ou moins
long - tems dans la matrice ; — communément
expulfées au troifième mois de la groffeffe'; —-
lignes qui l’annoncent ; -— le meilleur eft le toucher
; — - eft rejettée au-dehors par le même mé-
canifme que l’enfant à l'époque d e l’accouchement ;
— manière d’en accélérer 1 îffue quand elle tarde.
pag 78 > 79-
M O X A t fubftance qu’on défigne ainfi ; —
emploi de cette fubftance comme cautérifant;
— ufité dans tout le Japon ; — détails relatifs
à ce fujet. pag. 81 , 8a.
MYDRIASE ; manière dont Celfe la définit;
fuiyient fouvent chez ceux qui font reliés
long-tems dans l’obfcurité ; — obfervation de
Boyle à ce fujet ; — a quelquefois lieu chez les
enfans attaqués des vers ; — eft idiopathique ou
fymptomatique, — indication qu’offre la première
; —- moyens de curation, pag. 83 .
N
N É C R O SE ; maladie d’ un os dans laquelle une
portion morte de fon tout fe fépare du vivant ;
— comment la caufe agit en pareil cas ; — fort
quelquefois par parcelle infenfible ; — cas où la
portion eft plus évidente ; x j obfervation à cet
éeard ; :— attaque non - feulement les os cylindriques,
mais auffi les plats ; —r obfervations fur.
CSS cas ; — caufes auxquelles on peut l’attribuer,
— confirmées par les obferYations 8t expériences
de T r oja ; — lignes de cette maladie, bien certains
que quand la maladie eft déjà fort avancée.
Tome l , pag. 8 4 , 8p. En quoi confifte l’ indication
curative ; — la nature agit fouvent plus
efficacement que l'opérateur ; — preuve tirée
d’une obfervation du D. Mackenlie ; — ce qu'il
y a à faire à en pareil cas. pag. 86.
NÉPHROTOMIE ; cas où l’on a regardé cette
opération comme praticable ; — raifons fur le -
quelles on s’appuie pour en prouver la poflibilité
dans le premier cas ; — allégation faite d’après
Hippocrate;— on ne peut en rien conclure ftnon
que cet auteur a confeillé l’opération lorfque le
rein étoit abfcédé, & que le pus fe portoit an-
dehors ; — le plus ancien exemple d’opération
de ce genre, faite lorfque rien n’ indiquoit au-
dehors le lieu où l'on devoit la faire, remonte
à celui de l’archer de Bagnolet - variations de
récit fur ce fait ; — le fécond plus certain eft
celui d’Hobfon , conful Anglois a Venife. p. 86,
87. L ’analogie n’eft point favorable à l’ opération;
— motif pris du défaut de lignes qui indiquent
la préfence de la pierre ; — difficultés prifes de
l’ incertitude du lieu que la pierre occupe ; —
aflurance plus grande dans le cas où la pierre a
occafionne des abcès à la région des lombes,
pag. 88.
NE Z;'d éfordres qui lui arrivent par les plaies
& autres affeélions de la peau ; — moyens de
remédier aux premières ; — quelques auteurs
difent qu’ un nez féparé peut reprendre ; —
moyens ufités par Ealiacot pour réparer un nez
emporté par un autre de même fubftance ; — la
peau de cette région eft fujette à fe bourgeonner;
— moyens de curation que fuggère la variété des
cas ; — fraélure des os du nez ; -— raifons par
lefquelles ils font plus difficiles à fracturer que
tout autre de la face ; — efpèce qui a lieu ; —
accidens' ; — comment on les connoît ; — comment
on leur remédie ; — comment on redreffera
la cloifon lorfqu’elle eft dejettée panfement.
pag, 88 , 89.
NODUS ; genre de tumeur propre aux os,
— ne demandent d’ autre traitemeut que celui
qui dérive de l’infeéüon des humeurs auxquelles
on l’attribue. 90.
N O Y É S; quelle eft la caufe de !a ^nort chfz
eux; — a fixé l'attention des praticiens depuis
l’enfance de l’art; — fauffes notions qu'on a eues
fur e lle ; ^ travaux des modernes à ce fujet;
expérience de Louis pour l'établir ; — répétée
par le DL Goodwin ; — ces expériences ont pour
but une pratique moins meurtrière que celles
qu'on avoit autrefois ; | | i ce qu’on doit tenter
fur une perfonne récemment retirée de l'eau;
infufflation dans le nez > dans la bouche; —
préférence donnée à l’air vital fur i'atmofphe-
rique ; ^ obfervation du DL Cogan fur, la vélo-
' • -cite
cité de la pulfations du coeur fondant les procédés
del’infufïUtion; — manière de la faire avec '
lé tube dé Monro ; — p rocédés;— fouvent l’air
ne peut fe faire voie jufqu’aux dernières ramifications
des bronches; ; -—• conduite que tient
alors le Dr. Goodwin —- Tom. 17, p:g. 90 ,
01, Ç)i3 93. Phénomènes qui fe rrianifeftent à
fa fuite de l ’emploi de ces moyens quand la vie
n’eft que fufpendue; -— indication prife de Fir- j
ritabilité des inteftins; — obfervations de Louis\<
à ce fujet; —'machines fumigatoires inventées
pour l’e x c ite r ;— irritation des narines au moyen
ü’une barbe de plume; — utilité que pourroient
avoir les commotions éle&riques; — nlence des
auteurs fur elles; —- obfervations d uD r. Abylgard ;
—•l'opération de la bronchotomie propofée pour
donnerpaff&ge àjl’air ; —* rejettée d’apres de juftes
motifs ; —* combinaifons des moyens cités fouvent
néceffaires ; — phénomènes qui indiquent le
retour à la v ie ; — conduite à tenir à leur
égard, pag. 93 , 94 9 f.
N y C T A L O P IE ; fingulière maladie qu’on défigne
fous ce nom ; — les anciens font divifés
fur fon caraâère ; — ce que les auteurs ont dit
fur elle ; — notions qu’ont ajouté les modernes.
5>JNYMPHOTOMIE
; opération faite fur les
nymphes pour les retrancher en tout ou en
partie ; — ufitée chez les Abiftins; — pratiquée
par Mauriceau;— fait. pag. 93 3
o
OB SER V A TION ; fa définition; — doit-être
fondée fur l’expérience & le mécanifjne connu
des parties matériaux qui doivent la formsr;
— doivent êtreëpurëi;— ceux-ci donnent fouvent
lieu à des théories monftrueufes & à -fine pratique
meurtrière; — obfervations de Quefnài
qui le prouvent manière dont infehfîblement
l’art eft parvenu à quelque chofe' de certain fur
ce point ; — exemple pris des-coups reçus à la
tête; — des différentes plaies ; — manière dont
on parvient à la certitude .. en chirurgie ; — ce
que fait l’hiftorien ; — le devoir de l'obferva-
tuur; ce qui relie à faire à celui qui expéri-
mén/è. I-h^crftntnent les faits deviennent des
matériaux ; ;— ceux qu’ on donne comme tels
Ue le font pas toujours; — fuperiorité 'de l ’ob-
fervation où l'on prend la nature pour guide.
Pag- 96 • 97■ Comment on fe préferve de l’èrteut
en s'y fixant ; ■— marche à fuivre ; —- défaut que
doivent éviter ceux qui lifent les obfervations, —
ceux dans lefqueîsnë devroieritlpoint tomber ceux
qui les publient, pag. 98.
,J O B S E R V A T E U R ; q u el ,eft le p ra ticie n q u e
I on c o n fid èlje-com m e-tel ; - - - e n , quoi- il .diffère
ae.celui..q.ui1ex p éri:m o n te ;.-Tuqualit.és q u 'il fa u t
Chirurgie. Tome , I I e Partie.
avoir pour devenir un bon obfervateur ; — il
n’eft aucune règle à lui prefcrirs pour le porter
à employer les matériaux; quels font ceux
qu’on peut regarder comme les meilleurs. Tom. II .
p à g . 98 i 99.
O B TU R A T EU R ; inftrument deftiné à boucher
un trou à la voûte du palais;—■ phénomènes
fenfibles chez les per for» nés q»*i font attaquées
de ce défaut; — moyens auxquels on a eu recours
pour (Corriger ce vice ; — pjaque produit un
meilleur, effet ; — moyens de retenir l’ obturateur
; — cinq efpèces de ce genre de machine
que décrit Fauchard; — cas où il faut que l’obturateur
foit en même tems dentier, pag. 9 9 ,
100.
O CU L ISTE 3 tems où l’oculifte & le chirurgien
ne faifoient qu’ un ; — brigandage d’alors ;
— Camanufali eft le premier qui s'occupa de
cetre branche de l ’art d’une manière toute particulière
; — travaux que fon ouvrage a donné
lieu de faire paroître ; comment cette branche
eft revenue à fon tronc ; r diL-là le luxe de la
chirurgie oculaire ; — ignorance des vi&imes qui
par une aveugle, confiance ne. f e , livrent que
trop fouvent au çharlatanifme. pag. 101.
(EDEMÉ ; ce que . lés anciens entendoient
par cette dénomination; -t- apparences que pré-
fentent les parties que la maladie attaque ; —
celle-ci fouvent dérive d'une affe&ion générale
; — quelquefois d’ un vice local , comme
une rumeur qui comprime quelques troncs lymphatiques;
— ce à quoi il faut faire attention
dans le traitement de l’oedème lorfque la caufe
eft locale ; — quand elle dépend d’ une di-athèfe
viciée dans toute l'univerfalicé du fyfiême. laid.
Piqûres confédérées comme moyens curatifs ; —
cas où leur, effet n’eft point fi favorable; —
inflammation - gangrené ; — on doit fe défier des
incifionSj & furtout des piqûres chez les vieillards ;
— ufâge Ûu veficatoire, — femmes enceintes font
fujettes à' l ’oedème des jambes & des cuilfes ;
— confeils à donner en pareil cas genre
particulier qui s’annonce' tout à coup. pag. 102 ,
WË[ 1
(EIL ; fujet plus que tout autre organe à
nombre de maladies plus ou moins compliquées ;
— défaut où font tombés ceux qui ont envifagé
ces maladies d’une manière ifolée; :— les notions
qù’ eri avoient les anciens, étaient plus étendues
que . communément on ne penfe 5 — diflerentes
manières dont cette partie peut éprouver des
détériorations dans fon oganifation ; — affedions
traumatiques font fouvent très-graves d’après
la ftrudure du globe, pag. 103. Genre de
bîeftures.qui peuvent l’ âffe&er ; — méthode curative
appropriée' aux d'ifférens cas ; — lès plaies
faites...;par,' -un .inftrument aigu , (urtout celles
e uUattaquenî les membranes internes font tou