
reconnoître ; — les caraélères en font obfcurs ;
•— ceux que l’obfervation a fait découvrir } —
■— douleur fourde i — • pefanteur dans la région
du foie } — douleurs de colique ; — maux de
coeur j — hoquets j — urine plus ou moins ardente
j — quelquefois jauniffe ; -— fymptôme
commun à l'une & à l'autre efpèce 5 — différence
de fîége de l’une &c de l'autre 5 — caufes
qui la produifent. Tome I ,pag. 511 3 522. Comment
cette maladie doit être traitée j — ufage
du«pinercure en pareil cas } — comment le pus
peut forcir lorsqu'il s’elt formé un abcès } —
fiippofé que celui-ci foit à la partie fupérieure
du vifcère > — à la partie concave 5 — celui
qui fe forme à la partie inférieure mince & convexe
eft le feul fufceptible d'un traitement chirurgical
; — peut en inapofer quand il eft dans
le voifinage de la véficule du fiel 5 ■— comme
celle-ci peut tromper quand elle eft diftendue
par une abondance de bile qui ne peut trouver
jffue par fon canal } — circonftances qui peuvent
feire éviter l'erreur, pag. f i t 3 523. L'abcès reconnu
doit être ouvert fans attendre la rémiftion
des fymptômes; — le cauftique ne doit point être
préféré à l'incifion ; — manière de pratiquer celle
ci } ;— conduite confécut-ive à ten ir } — phénomènes
qui fe manifeftent quand la matière occupe
la partie fupérieure du foie , & qu’elle ne peut
fe faire voie vers le bas-ventre;— paracentnèfe
de la poitrine , néceffaire quand le pus fufe dans
-la cavité de la- poitrine ; — effets quand l'abcès
fe forme à la partie inférieure du fo ie ; — abcès
du foie fuccède fouvent aux coups reçus à la
tête. pag. ^24$ p y .
FR A C TU R E ; en quoi elle diffère de la plâie
d'un os } — celle qu'on regarde comme fimple —
dénominations différentes que lui ont données les
auteurs 3 félon h manière dont l’os eft rompu ;
■— fra&ure longitudinale 3 dans h s os longs 3
admife dans le cas de plaies d ’armes à. feu 5—
détail fur tons ces objets ; — quand on dit que
la fraCture eft avec déplacement; — eft com-
plette ou incomplette ; -— compofée ou compliquée
; — caufes extérieures ; — celles qu'on regardé
comme intérieures ; — lignes pris de la
roauvaife difpofition des parties, } — de la crépitation
; — ce qu’on entend par ce dernier terme}
— précaution à prendre quand on a recours à
ce dernier moyen j — pronoftic doit être pris
de toutes les différences 5 — & de fâge des
fujets. pag. 51.$ b fuiv. Traitement établi fur trois
points} — réduire l’os le maintenir, réduit}
— & corriger les accidens 3 -— première indi-’
cation relative aux fractures avec déplacement;
— rédu&ion ; — extenfion 3 contre-extenfion &
conformation font autaat de moyens ufîtes pour
y parvenir ; — manière dè mettre en pratique les
préceptes relatifs à ce Tu jet ; — on maintient la
fradure réduite par l’appareil & la fituation ;—
en quoi confîfte l'appareil ; — pofîtiondumembje;
— détails à ce fujet;— mitigation des fymptômes*
— notamment du prurit 3 — de la douleur 3 -—appareil'
doit refter long tems fans être dérangé ;
— tems où l’ on doit y toucher; — tems qu’il
faut pour la formation du cal félon'l’efpèce d’os
fra&uré ; — gêne dans le mouvement 3 — maniéré
d’y. remédier ; — circonftance où le cal ne peut
fe former. Tome 1 3 pag. 528 & fuiv. Circonf-
tances qui compliquent une fraCture ; — l’hémorragie
, quand elle a lieu , demande les premiers
feeours ; — circonftances relatives à Tattrition
conduite à tenir à fon égard ; — panfement le
plus convenable 3 ■— utilité du bandage à dix-
huit chefs ; — des faignées locales par les fang-
fues j — de l’ élixir de vitriol dans le cas de-
mauvaife fuppuration. pag. 5 3 1 , 532.
FREIN y vice de celui du prépuce chez certains
fujets ;•— trop court donne lieu à l’ hypof-
padifme; —--manière de remédier à l’hémorragie
dans le cas de rupture ; - i~ opération néceffaire.
lorfque la circonftance rend le coït difficile; —
en quoi elle confîfte. pag. 533.
FRIC TION ; cas qu’en faifoient les anciens,,
leur effet fur la circulation — fur- la fanré 3 —
explications prifes de la difpofition & des facultés
des parties qui réprouvent — leur effet fur la
peau , coniidérée comme partie tènfiblê 3 —
comment, s'exécutaient les friétions gymnaftiques}
— leur application aux maladies à' guérir j —•
efpèces établies d’après la manière de les faire 3
— exécutées avec des corps fecs ou humides
— leur utilité dans Toedématie ; — l’atrophie ,&c.
-— attentions qu’ on doit avoir en lès mettant en
ufage.pag. 535 (i fuiv.
FRONDE ; fon ufage ; — comment on 1‘âpplt
que. Ibid.
FR O N T A U X ; (fînus) loi établie fur l’application
du. trépan fur eux ; -— préjugé... Ibid.
FUMIGATIONS x diftinguées en sèches & en-
humides ; — comment, fe font, ces-dernières &
avec quellesfu’bftances — inventions à cet égard;
— celles qu’on défigne fous le nom de sèches}
’ — recommandées, dans les maladicS.de poitrine.
Eaë ' 5 37* G
G A LE ; genre d’éruption qui fe manifefte au
dos de h main , aux poignets 3 au jarret, &
furtout au ventre ; .— auteurs qui . la regardent
comme due. à la préfence de quelques infeCtes.
—r fe propage par le contaél ; le foufre eft le
médicament qui la guérit d’une manière la plus
efficace; — moyens préliminaires utiles en pareil
cas ; — application mercurielle qu’on peut lui
fubftituer quand il manque fon effet 3 —- emploi
de la. dentelaire — maladie que fa difparition
fubite peut produire, pag. 538 « fuiv»
GANGLION ; genre de tumeur qu’on carac- j
térifeainfi 3— leur compreffion manifefte au doigt 1
une élasticité qui en fait le caractère diftinétif 3
_la compreffion comme moyen, curatif a. un
fuccès plus marqué que tout autre mqyen-; —
manière de la fa ire ;— fi elle ne reuffit point ,
il faut en venir à l ’opération; —r en quoi .elle
confîfte ; — obfer varions à ce fujet. Tomé 1 3
vag. 543'
GANGRÈNE ; état des parties à qui cette
dénomination convient 3 — fouvent la fuite d’ une
inflammation'portée à fon plus haut terme 5 —
le fphacèle 'éft fon dernier terme };— caufes
éloignées de cette affcCtion , — les autèurs regardent
l’inflammation comme la preihière ; —
développement de théorie néceffaire pouf comprendre
le réfultat ; — l ’éréfipèle eft l ’efpèce
qui fe termine le plus facilement en gangrène ,
— fans doute parce qu’elle n’attaque que des
perfonnes cacochymes & chez qui le principe
vital a- peu d’ énergie ; — inflammations fpéci-
fiques en font fouvent accompagnées;— peut
provenir d’un obftacle mis au cours du fang
vers quelques parties, 'pag 543 6’ fuiv. Des con-
tLifions précédentes qui, font avec deftrudlïoh
de l’organifation ; -— cfun froid violent ; — dif-
pofîtions du corps qui la favorifent;— celle-ci
peut-être conftitutionnelle ou accïdentielle ; —p
‘ caufes qui déterminent cette dernière, pag. 543,
546. Sa marche & fes fymptômes lorfque l’in-'
flamation la précède; — différences qui ont lieu
dans la gangrène féchè 3 —- genre que les auteurs
appellent gangrené blanche ; diftinguée en
locale & en générale ; — ce qui donne lieu d’admettre
1 cette dernière 5 — phénomènes qui ont
lieu, quand celle- ci attaque lé ferotum;— celle
occafionnée par l’ ufage du feigle ergoté rapportée
à la claffe des locales, pag. $47,, 548. Comment
les parties gangrenées fe feparént fpontanémem ,
— inflammation qui furvient. entre .les. parties
faines & celles qui'doivent tomber par la p ou r -.
riture ; — dïverfité d’opinion fur la caufe de Ja
réparation, pag. 549 , 550. Signes auxquels on
reconnoit la préfence de la gangrène;.-— bafes
ui doivent appuyer le pronoftic; — traitement
e cette maladie, pug. 5jo , Moyens généraux
; — évacuans antipftlogiftiques ; — toniques
& antifeptiques ; — détails fur l’ uiage & l’efficacité
des moyens renfermés dans ces deux
elaffes ; — utilité des anodins ; — de l’opium ;
— efpèce de gangrène dans laquelle Pott en
vante les vertus.pag. 551 b fuiv. Moyens locaux;
— cataplafmes , fomentations dè nature émolliente
— difeuffion à. ce fujet 5 —- fcarifications
& rëfeélions des parties gangrenées ; •— comment
les premières doivent être faites ; — prudence
qu’il faut avoir en les employant, pag. 354 b
fuiv. Ufage des cauftiques ; — du cautère a&uel ;
obfervations à çe fujet.
| G A N T E L E T ; forte de bandage qu’ on applique
[ fur la main. Tome 1 3 pag. 557.
GARGARISER ; en quoi confîfte cette aftion ;
médicamens qu’ on emploie en pareil cas font
appelles gargarifme ; — gargarifme commun , —
acéteux; — émollient 3 — volatil adouci fiant 3— ■
vulnéraire ; — antifeptique ; — aftringent ; —
mercuriel pag. 5 5 8 , 559.
GARGOUIL LEMENT 3 bruit que fait l’in-
teftin forti quand il rentre dans le ventre.
pag. g 60.
G A R O U }. fon application fur la peau produit
un. effet exutoire ;; — manière d’employer cette
-écorce pour qu’elle rempliffe ce but 3.— ufige
intérieur, pag. yéo , $6i.-
GASTR.ORAPHIE ; fiiture faite au ventre;:
— comment on pratique cette opération; — en
quoi1 confîfte le panfement 3 — hiftoire d’une pratiquée
par un médecin Indien & avec fuccès.
pag. 561..
GA STR OTOM IE 5 ouverture fa»ce au ventre
pour remplir une indication curative , — la lithotomie
».l'opération céfariènne font de ce:genre ; — ■
elle a été pratiquée pour extraire des corps étrangers
volumineux' qui étoient arrêtés dans l’e fto -
mac 5; — dans les inteftins 3 on la confeille dans
le cas de paffion iliaque 3.— difeuffion à ce fu je t,
pag.. 56Z- h fuiv.
G EN C IV E > maladies auxquelles elles font
fujettes ; — . abcès, -r- ils dérivent fouvent du
mauvais état des dents ; -— comment on recon-
noît les abcès cachés fous leur tifïu 3-— fe font
quelquefois jour à travers la fubftance de la
gencive 3 — pratique à fuivre quand on eft fur
de la préfence du pus ; — cette pratique ne con-
viendroit pas dans le cas où la maladie fiégeroit
fur les dents incifîves 3 — ■ extraêlion de la dent
en pareil cas pour la replacer immédiatement
après ; —- fomentations qui conviennent\alors ;
— panfement. pag. 565 3 j66 . Excroiffances qui
fe manifeftent quelquefois fur les gencives ;
dérivent fouvent de la carie des dents ; — des
alvéolés ; — cas où la ligature convient; — procédés
; — répullulent quelquefois après l’opération
; — le cautère aâuel eft le moyen le plus*
convenable quand l’ os eft affeété 5 — obfer-
vation à ce fujet. pag. 564 , 567. Gonflement
molaffe des gencives 3 — phénomènes;-— traitem
e n t ;— le local doit être aidé des remèdes-
généraux ; — ■ porté au plus haut point eft fouvent
accompagné de gangrène ; — remarques
de Varr-Svieten à ce fujet. pag. 5 67 b fuiv,
GIBBOSITÉ; inflexon contre nature de l’épine
du dos ; — dénominations propres aux efpèces ; —
paroît être due au développement d’ un virus; —
, accompagné d’ua ramoliffement des os >.— cell^