d e p ra tiq u e r dans la cap itale ;— p ré ro g a tiv e s d o n t
jo u iflo ie n t ceux q u i en é ro ie n t rev êtu s. Tome 1 1 ,
pag. 44. A rrê t d u confeil d 'é ta t d u ro i qu i o rd
o n n e q u e les élèves fe ro n t ten u s d e p ren d re
d es in fcriprio n s aux é co les d e S t. C o rn e 3 —
d ifferens co u rs que l'o n d o n n o it dans ces e c o k s 5
-— il falloir q u e les élèves en o u tre p ra tiq u a ie n t
fix ans consécutifs c h e z un m aître ; — avantage
q u e l’é lè v e tro u v o itd a n s une p areille di p o fitio n.
pag. 4 5 4 6 . M a n ière d o n t l'é lèv e é to it re ç u &
a d tesq u 'il fu b iffo itau x d ifférentes é p o q u es d u teins
em p lo y é à c e t effet ; — ceu x q ui avoienc trav aillé
p e n d a n t fix ans dans les h ô p ita u x avec le titre
4 e g agnant m aitrife ap rès un exam en fu ffifa n t,
é to ie n t difpenfés des a êtes d e licen ce j — la ré ce
p tio n n 'é to it p o in t le te rm e d es ép re u v e s auxqu
elles les c h iru rg ien s é to ie n t affujettis ; — ftatuts
p a rticu lie rs p ro p re s aux g ran des villes d e d é p artem
e n t. pag. 47 48.
M A R IS C A ; q u e lq u e s a u te u rs a d o p te n t ce
te rm e p o u r d éfig n er le g o nflem en t d es h ém o r-
rh o ïd e s 3 — A ftru c l’em ploie p o u r d éfig n er les
ex cro iiïan ces en fo rm e de fies q u i p aro iffen t à
l’e n to u r d e l’anus 3 — leu r n a tu re ; — c om m en t
o n p o u rra diftingiier ces d ifféren tes excroiiïances
les unes d e s au tre s > — tra item e n t, pag, 4 9 .
M A T R IC E 5 fu fcep tib le d e b eauco u p d e m ala
d ie s chiru rg icales ; — d iftinétions à éta b lir e n tre
elles > --— u lc è re 5 — çaufes 5 — e n d ro its qu’ils
o c c u p e n t com m u n ém ent ; — bén in s o u m alins ;
(ignés ; «r- douleurs ; — écoulement 5 — affec-
tionsnerveufes; =— fièvres 5-— entraînent fouvent
l’ erofion du reêlum & de la veflie 5 — le malin
eft incurable ; — traitement palliatif.^#, f o , j i .
Rupture ; — arrive le plus. fouvent à la fuite des
violens efforts que la femme fait pour expulfe l’enfant
;.— fituatjon critique de la femme ; — quelles
expériences reftent encore à fa ir e ;— la rupture
peur arriver à tous les tems de la groffeffe par
une violence extérieure j — citation à ce fujet}
— comment elle arrive dans un accouchement
.qui dure Iong-tems 5 — obfervation de Denmam
qui vient à l’appui de notre affertion ; — cir-
iconftances où la rupture arrive au fond de la
matrice ; — peut être longitudinale ou tranfver-
fale 5 — raifons de toutes ces différences j— cir-
/confÊnces qui ont déterminé quelques - uns à
croire que les efforts de l’ enfant dans le fein de
fa mère étoient la caufe première de la rupture
de la matrice ; — véritable caufe 5 pourquoi
elle arrive plutôt au col de la matrice qu’en tout
jautre endroit, pag, 5 1 , j2 . Les premiers auteurs
fe font peu étendus fur les lignes ç — ceux qui
/ont communément lieu ; certitude qu’on ob-
rientpar le toucher ; —- c e que les douleurs offrent
jdorsde particulier;,-^ indication que la rupture pré-
fente — l'opération céfarienne confédérée comme
moyen urgent} — obfervation confirmative fut
f s point ; çonduite que tint Lamotte dans un
pareil c a s } — remarque intérefïante à ce fujet •
— conduite à tenir, fuppofé qu’on ait fait l’opération
céfarienne} — corollaires. Tome I I sp. y 3
54. La matrice eft (ujette à devenir fq irreufe
en tout ou en partie } — à la fuite de quelques
maladies inflammatoires ou autrement} — obfervation
de la femme de Luçon j .•—• le fquirre total
I eft une afféêtion très-rare ; — celui du col plus
fréquent, notamment chez les femmes qui font
lut leur retour > — pron c ftic ;— remèdes pref-
crits par les anciens d’après la théorie qu’ils
s'etoient formée j — le fquirre bien confirmé eft
incurable.*, -— traitement à fuivre quand les cir-
; confiances font favorables, pag. 5 4 , 55. Hernie
d e là matrice n’ a guères lieu quç dans le cours
de la groffeffe 3,— obfervation de Sennert ; —
demande plus que toute autre à être retenue;
—- inconvéniens des adhérences qui lui fuccèdent.
pag. 5 5 , 56. En quoi la defcente diffère de la
hernie î — trois degrés à établir dans toute defcente
de matrice 5 ■— ligne du premier degré;
— la matrice defcend plus ou moins dans le vagin;
— apparence qu’elle préfente ; ■— quelquefois elle
tombe plus b a s , notamment chez les femmes
greffes 5 — apparence du fécond d e g ré ; — du
troifièmé ; — caufes de la maladie } — rarement
les filles y font fu jettes ; •— lignes 5 — ceux qui
font propres à la précipitation } — > la réduction
dans la plupart des cas eft facile j — plus difficile
dans la précipitation 3 — pofuion nécefiaire à
donner à la femme 5 — la précipitation arrive
quelquefois au plein terme de la greffeffe-j — il
faut en pareil cas chercher à en tenter auffitôt
la rédu&ion } — cpnduite à tenir en pareil cas;
— quelques praticiens ont ofé ici faire une inci-
fion à la matrice pour extraire l’enfant }'— indication
qui fuccède à la première hiftoire des
peffaire.s » —- attentions que doivent avoir les
femmes qui ont des descentes & des hernies.
pag, 56 , 57. En quoi confifte le renversement
de matrice } — diftingué en complet & en incomplet
3 — notions d’Hippocrate fur la première
efpèce } — , arrive prefque toujours au moment
de la délivrance 5 — la matrice en fe renverfant
ne tombe pas toujours en totalité dans ie vagin;
— le renverfement eft Souvent Secondaire à l’aélion
d’ un polype qui , Sorti au dehors , tire après lui
la motrice ; — comment les pertes peuvent également
l’occafionner ; — comment on diftingué
le renversement qui eft confécutif à la délivrance
; — Agnes qui annoncent Texiftence de
la maladie 3 — accidens qui fouvent en dérivent;
— la réduâion eft le Seul moyen de les calmer;
>— cas ou l’étranglement qui Survient s ’y oppofe}
— néceffitéen pareil cas de l’extirpation; — la difficulté
de cette réduction dérive quelquefois du trop
d’embonpoint;. — pratique à fuivre en pai. il cas»
^m an iè re d’ opérer la réduction, pagPtj 7 , j8*
C e qu’ on entend par déviation de matrice;——
antro verfion & retro-verfion ; •— la fituaiion de
la m atrice dans la g reffeffe n ’eft jam ais b ien
droite ; — caufes au x qu elles les a u te u rs o n t
rapporté les déplacem ens d e c e g en re ; — L e v re t
l’a tirib u o it à l’a ttac h e d u p lacen ta à un a u tre
endroit q u e le fo n d de la m a tric e ; — ré p o n f e ;
— détails fur la caufe la plus p ro b ab le e x p lication.
Tom. 111 pag. 59. P o fitio n du m ufeau de
tanche en pareil cas 5— D e v e n te r reg ard e l’obli quité
de la m atric e com m e la caufe la plus o rd inaire
des accou ch em en s difficile^; — e rre u r d e c e t
auteur d ém o n tré e telle par l’ex p érie n ce ; —- m oyens
de rem éd ier aux accidens q u i p o urvo ien t fu rv en ir
en pareil cas. pag. 60. R en v erfem en t tranfverfa! }
— a é té co n nu d ’H ip p o c ra te ; — au teu rs qu i en
ont eu fucceffivem ent q u e lq u e s n o tio n s ; —■ le
D. H u n te r s’en eft Spécialem ent o ccup é ; — Agnes
donnés d ’après lu i ; — accidens qu i S urviennent
à c e tte m aladie fo n t b ien m oins en rai ion de
l’é ten d u e d u dép lacem en t q u e d u vo lum e de la
m atrice , com p arés à la ca p ac ité d u baflin ; -—
accidens p aro iffen t d ’une m an ière bien m oins
équivoque q u and la m a trice eft e n g o rg é e 3 —- p u
que fon v o lu m e eft au g m e n té par la groffeffe.
pag. 60 y 61. O b ftrv a tip n s à ce fu je t ; —• on ne
peut o b te n ir le d iag n oftic d e c e tte m aladie q u e
par le to u c h e r ; — m anière d e le m e ttre en p ra tiq
u e ;— d ’où l’on p o u rra tire r le p ro n oftic 3 —
les d év iatio n s d e m a trice o ffren t to u te s des in
dicatioos u rg entes ; — c om m en t on p a rv ie n d ra à
les m e ttre en p ra tiq u e ;■ — p o fitio n d e la ff-m m e;
— te n ta tiv e s ; — c e q u ’il rèfte à faire a p :è s la
réduction., pag., 6-1.
M A T U R A T iF ; rem è d e s q u i a c c é lè re n t la
form ation d u pus } —-ils fo n t la p lu p a rt tiré s de
la claffe d es ém olliens ; cas o ù l’o n em p lo ie
des fubftances plus irrita n te s, pag. 63.
M É D IC A M E N S ; ils fo n t divifés en in tern es
& en e x te rn e s ; — & par ra p p o rt à leu rs e ffe ts,
en a lté ra n s , évacuans & Spécifiques ; — les altérais
q ui agiffent fur les Solides c o m p re n n e n t les
émolliens , les aftringens , les c o rro b o r a n s , les
èonfolidans ; les cic a trifa n s, lés anodins ^ les com -
preflîfs 3 les adhéfifs , les d ila ta n s , les irritàn S ;
‘— ceux q ui agiffent fur lés fluides re n fe rm e n t
les a n ti phl'o giftiefues ,. les ré fol ut ifs 3 les incraf-
fans j.les congulans , les m atu ratifs , les digeftifs
les déterfifs j les h um eétans", les lu b ré n a n s, Je s
hem oftatiques , les révul’fifs , les répercuftifs^ les
antiseptiques , les fep tiqu es. jja g . 63 , 64. C eux
qui Sont com pris dans le s évacuans ex tern es 3 —
les Spécifiques c o m p ren n en t les antivénéri»em ,
les an tip fo riqu es , les an.ticancéreux les an ti-
carieux y les. an th elm inthiq ues & les an tip é d iculaires.
pag. ép.
M E R C U R E ; reg ard é com m e un pd ifo n par
lés anciens a é té d ’a b o rd em p lo y é par les A rabes
dans les affeéHohs d e la peau ; — puis 'dans les
cas de m aladies v é n é rie n n e s} — i! fut d ’ab o rd
em ployé à. trè s-p e tite d o fe >-------le s 1 em piriques
d o n n è re n t dans u n e a ;t r e e x trém ité ; — m ilieu
q u e tie n n e n t les m éd ecin s ; — on le donna d ’a b o rd
e x té rie u rem e n t fous fo rm e d’o n g u e n t, d ’em p lâtre
& d e fum ig atio n ; — c om m en t on fa ifo it 1 ong
u en t ; — in g féd ien s de l’em p làtre ; — m an ière
d o n t on fa ifo it les fum ig atio ns ; — m an ière d o n t
ce s deux d e rn ie rs fu re n t rem placés par les fric tio
n s. Tom.I I .,pag. 6 6 ,6 7 . M é th o d e in té rie u re ;
— le p ré c ip ité ro u g e eft la p rem iè re p rép aratio n
q u ’o n fe hafarde â in tro d u ire dans les p rem iè re s
v o ie s ; — o u v rag e d e M a th io le fur les fuccès de
c e tte m é th o d e >— à ce rem èd e fu ccède les pilules
d e B arberouffe faites d e m e rc u re cru d uni au
d iag rèd e & à l’am b re 5 — au tre s p rép aratio n s
d o n t o n a c h e rc h é à ém o u ffer Ia é tiv ité par
d ifferens m oyens ; — m ercu re d o u x ; — m ercu re
p récip ité jaune ; -— p ré c ip ité per fe ; — p ré c ip ité
d e calom el 3 — avantage d e c e tte p ré p a ra tio n ;
; ’— dragées d e K e y fe r& fy ro p d e B e llé t; — fublim é
co rro fif ; — m é th o d e d e Ÿadm im flrer telle q u ’e lle
é to it u firée â V ien n e , pag. 6 7 & fd v . P rép aratio
n s m ercu rielles p a r tritu ra tio n ; —- co rp s u fité
dans c e tte cu ra tio n 3 — re c h e rc h e s de P ien k ; —
cirC ônfpeéH on q u e d o iv e n t av o ir les m édecins
dans les d ecifio n s fu r les effets d e ces differens
rem èd es, 7 0 . M é th o d e des fiictio n s ; — raifon
q u i o n t fa it re c o u rir à elles ; — c om m en t o n
p rép are l’o n g u en t m e rc u rie l ; — la q u a n t.té d ’o n g
u e n t q u ’on em p lo ie p o u r un tra item e n t v arie
d ’ap rès l’an cien neté de la m aladie & la d ifp o fitio n
du m alade à ê tre affeété p ar le re m è d e ; — m an
iè re d e faire l ’o n ctio n , pag. 7 0 , 71 . E ffet d u
m e rc u re fu r la co n ftitu tio n & fu r les o rg anes
p a rtic u lie rs } — il a g it d e d eu x m anières ; —
lès effets g énéraux ; — fon aétion fe p o rte fu r
les o rg anes o ù fe fo n t qu elq ues fé c ré tio n s 3 —
eft'ers q u ’il p ro d u it fur la b o u c h e ; — ailleurs il
n ’o p è re pas des acçiden-. b ien fâcheux ; — o p inio
n s nées d e l’o b fe rv a tio n d e ces év acu atio ns
— effets v iolens de c e rem èd e ; — m oyens q u ’on
lu i o p po fe alors ; — m oyens de c o rrig e r o u re*
m .édièr aux effets- q u ’on p e u t re g a rd e r com m e
a u ta n t d ’in co n vén iên s. pag. 71 72 , 73. EfRtS'
faluraires du m e rcu re dans d ’a u tres cas q u e le s
v én érien s 3 — influence q u ’en ép ro u v e le lyftêm e
vafculaire ; — le p rin c ip e v ital, pag. 73 , -74.
M É T A S T A S E f u r v ie n t plus com m u n ém ent
aux- apoftêm es , aux plaies 8e u lc è re s qui fo n t
en p lein e fiip p n raticn ; — dén om in atio n s d o n nées,
aux e fp èces p a r les au teu rs ; — fuppofe non-
feu lem en t l’ab fo rp tio n des m a tiè re s , m ais en core
une c ru d ité qui ne p e u t fym patifer avec les lois
d e n o tre éco nom ie 3 —- o p érée par les racines-
des a b forbans 5 — n o uv eau x fymp ornes auxquels*
elle.d o n n e lieu félon que l’h é té ro g é n é ité eft fixée
fu r-te lle o u telle p artie ; — m aladie o ù la m é-
taftafe fu rv ie n t p lus c o m m u n ém e n t;— -la cau fe
p rem iè re eft ig n o rée , & v raift m biablefnent elle
le fera e n c o re long tem s 5 — circo n îtan ces qui lui
; -font p ro p ices ; — il eft u è s-e ffem ie l de c o n n o k re