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de dureté & d e c a llo fité j— extirpation. Tome IIy
p. Z l l y 212.
PLOMB j agit puiffamment fur le corps quand
il eft fous forme de chaux j — préparations utiles
dans beaucoup de maladies chirurgicales du genre
inflammatoire >— comme dit Goulard quand elles
tournent à la fuppuration 5 — va jufqu’à les
vanter lorfqu'elles menacent de gangrène ; —
fâcheux effets que le plomb peut occafionner
pris intérieurement.; — excellence du fucre de
faturne fur toutes les autres préparations » —
la folution aqueule eft la meilleure manière de
remployer ; — prefcription ; — eau végéto-
minérale ; — attention qu’il faut avoir quand on
y a recours, pag. 213.
PLUMACEAU j étimologie ; — fubftance
qu’on caradérife ainfi. pag. 214. .
PNEUMATOCE LE 5 par quoi cette tumeur
eft formée ; — ne doit point être confondue
avec l’ëntérocèle j— fa formation eft établie fur
les mêmes principes que ceux de toutes les
maladies emphyfémateufes qui viennent lentement*—
r cas où il arrive plus promptement ;
fait rapporté par Monro ; ■— peut être feinte par
efprit de cupidité ; — comment on peut diftinguer
celui-ci ; — fubftances à prefcrire quand il dérive
d’ une diffolution générale 5 — quand la caufe
eft lente, pag. 214 , ziy.,
PNEUMATOMPHALE s ce qu’on doit entendre
par cette dénomination. pag. 21 y.
P ÉD A R TH R O R A C E ; nom donné au fpina
ventoi'a qu fiège fur les jointures. Ibid.
POIGNET j moyens qui fortifient cette articulation}—
luxation qui peut y avoir lieu ,
— celle qu’on dit avoir lieu fur les côtés ne
peut exifter fans la rupture, des ligamens, quelquefois
même des apophyfes ftyloïdes 5 — lignés
de celle en avant 5— lignes des autres efpèces j
— moyen de réduction. pag. z i6 .
POIL ; maladies de mammelles qu’on caradé-
rife ainfi 5 — erreur relative à cette dénomination}—
quelquefois les deux mammelles font
toutes ies deux affedées} — lieu que l’engorgement
o c cu p e }— caufes qui peuvent les produire}
— phénomènes. Ibid. Traitement à fuivre,
fuppofé que l’engorgement foit léger j — moyens
plus efficaces quand l’engorgement eft plus profond
& plus étendu} — ce qu’il convient de faire
quand il paffe à la fuppuration} — foins particuliers
que demandent les crevaffes du mammelon }
— la tumeur tient fouvent plus du caractère
de l’épanchement que de l’engorgement} — conduite
à tenir en pareil cas -; — il conviendra alors
de faire nourrir un enfant plus vigoureux pour
qu’il puiffe tirer une plus grande quantité de
la it } — duretés qui reftent fouvent en pareil cas.
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PO ITR IN E } détails anatomiques fur cette
capacité. Ibid. <*
PLAIES } propres à cette partie, diftïnguées
en celles qui n’affldent que les tégumens 8c
les mufcles}— celles qui pénètrent dans la cavité
fans affecter aucun v ife è ie } — celles où les
poumons ou quelques autres vifcères font affedés.
Tome IIy pag. 218. Manière de s’afïurer fi une
plaie pénètre ou non dans la cavité de 11 poitrine j
— précepte général relatif à la pofition du
malade lorfqu’ il s’agit de s’affurer de la pénétration
d ’une plaie} — introduction de la fonde j
— du d oigt} — on a été trop fcrupuleux fur
cette néceffité de s’ affurer de la pénétration d’une
plaie} — lumières prifes de l’examen de l'arme
vulnérante} — ufage de l’ eau tiède} — l’iffue
de l’air donne lieu de croire à la pénétration
de la plaie } — manière de procéder en pareil
cas} — l ’emphyfème des environs de la plaie eft
plus ordinaire à celles produites par un inftru-
ment piquant qu’à toute autre} — indices pris
de l’écoulement abondant de fang} — le fangpuit
lui-même donner quelques indices lorfqu’ il fort
très-brillant} — ou mêlé avec des crachats; —
l ’état du pouls & de la refpiration peuvent également
fournir des indices} — fur quoi il faut
fonder le prognoftic. 2 18 , 219. Points généraux
à noter dans le traitement } — emploi de la
compreflton} — ufage du féton & de l’incifion}
— on doit fcrupuleufement veiller fur le régime
des blefles;— notions relatives aux plaies qui pénètrent
dans la poitrine} — lorfqu'il n’ y a d’antre
léfion que celle de l’artère intercoftale } — dilatation
de la plaie} — emploi des moyens relatifs
a la fuppreflion de l’hémorrhagie} —‘ traitement
ultérieur, pag. 220, 221. Plaies ôû le poumon
eft affedé} — d’où dépend le danger de ces
fortes de plaies } — faignées abondantes utiles
en pareils cas } — foins particuliers & fubfé-
quens} — ces plaies font fouvent fuivies de fuppuration
dans le parenchyme du poumon ; —
manière dont, le pus peut alors s’évacuer ; — conduite
à tenir félon la diverfué des cas 5 — il
eft fouvent nécefîaire d’aller à la recherche du
foyer purulent pour arrêter les accïdens} —■
précaution à prendre lorfqu’on fe tourne vers
l’incifion ; — ufage des tenues & des canules ;
— attention que demandeut les léfîoris du fter-
num. pag. z i z . Plaies du coeur & des gros
vaiffeaux doivent toujours être regardées comme
mortelles; — explication de quelques faits relatifs
à ce cas} — circonftances relatives à la léfion
du canal thorachique ; — moyen de guérifon.
pag. 222 y 223. À quels indices on juge que le
diaphragme eft lé fé } — les plaies de cette partie
foit celle de la partie tendineufe ou de tout autre
endroit font toujours dangereufes} — quels font
les fymptômes les plus à ’redouter } — l’étranglement
d’une portion de f eftomac ou du colon
par la plaie eft une circonftance qui les rend
d e s M A
très-graves j —* considérations que demandent
les bleffures du médiaftin} — du péricarde } _
toute plaie de poitrine accompagnée de fuppuration
(e cicatrife toujours lentement. Tom. l l 3
pag. 224.
POLYPES} définition générale} — raifonsdela
dénomination, pag. z i$ . Ceux du nez provienent
immédiatement de l’extenfion ou dégénéréfcence
de la membrane des narines}— defeription de Celfe;
— implantation } — n’occupe qu’une feule narine
quand il eft récent } — parvient quelquefois à
.un volume prodigieux ; —- quel.que foie ce volume
Je polype n’en a pas moins qu’une feule racine.
Ibid. Les premières annonces de la maladie ; —
recherche de leurs caufes par l’examen qu’on
fait des narines} — variété dans la couleur &
la confîftance de l ’excroiffance 5 — il eft douloureux
ou point} —- effets quêK--,:k s volumineux
peuvent produire même fur les os du crâne.
pag. z z j , 326. D’où peut provenir le polype
qu'on nomme mou ou véficulairej— Je dur,
— plufieurs font ftationnaires} — le prognoftic
eft fondé fur la caule & le degré de la maladie }
— variété d’opinion des auteurs fur la valeur
d .*s moyens de guérifon} — les mous plus faciles
â guérir que l§s durs qui font fi’jets à devenir
cancéreux, pag. zzy. Attention préliminaire qu’ il
faut avoir dans le traitement du p olype} —
les moyens locaux font i’exfîcc^tion, la cauté-
rifation, i’excifion , l’extirpation, le féton &
la ligature} -— quand l’exficcation convient} —
la cure ici n’elt jamais radicale } — différens
remèdes liquides ou fecs confeiilés pour cette
méthode } — raifons qui ont d’abord fait valoir
la méthode cautérifante } — préférée pour les
malins par Paul ; ‘— manière dont on procédoit
alors; — tombée en défuétude malgré les efforts
de Marc-Aurèle pour la faire continu r } —
cauftiques fubftitués au fer rouge; — méthode
de procéder, pag. i2 j , 226. L ’excifion remonte
à C e lfe } — le procédé qu’il co n fe ille ;— perfectionnement
que Paul lui ajoute ; — que lui
d -nnent les auteurs fubféquens;— raifons qui
ont fait tomber cette méthode en diferédit; —
cas où néanmoins on pourroit y avoir recoi rs}
.— moyen de l ’employer avec plus davantage.
pag. 226, 217. Auteurs à qui l'on doit l'extirpation
} — en quoi elle confifte} — quand il vaut
mieux arrache^ le polype par la bouche que
par le n e z ,— pinces néceffaires à cette m éthode}
*— manière de les introduire & de faire l 'extraction
5 -jpquand la feCtion de la cloifon charnue
au palais devient néceflaire} — procédé de Morand
pour l’éviter, pag. 227, 228. Regardée comme
préférable à toute autre méthode & pour quelle
raifon; — quand l’hemorrhagie eft Spécialement
* craindre} — moyen de l’arrêter ; — la compref-
uon doit être tentée par l’arrière-bouche}- —
manière de la faire ayec une aiguille armée d’un
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fil qui traîne après lui un peloton de charpie ;
— avec une bougie de poche j — infiniment de
Bellocq. Tome I I , pag. 228. Précaution à prendre
relativement aux portions inacceflîbles aux pinces ;
— confeil de Paul en pareil cas } — inconvéniens
de ce procédé;— inftrument verticillé de Levret;
— mèche chargée de confomptif eft préférable 2
cette méthode, pag. 229. Circonftances qui
ont amené l’ufage du féton ; — le fuccès
ne répond point aux efpérances} — & pourquoi
fouvent.même la malignité , pour peu qu’elle
exifte , n’en eft que plus accélérée. Ibid. La
lig ature ,d it-on , remonte jufqu’à Hippocrate} —
Glandorp eft le premier qui en a parlé d’ une
manière bien p ré c ife ;— paffage de cet auteur}
— oublié depuis jufqu’ à Heifter qui l’a rétablie ;
— confeillée également par Dionis pour les
polypes à racines grêles} — fon procédé} — portée
à la perfection par Levret qui a imaginé
plufieurs inftrumens propres à la faire avec la
plus grande facilité } — porte-anfe ; — tuyaux
d’ argent ; — manière d'employer cet inftrument}
— perfection qu’ il a reçue depuis, pag. 229. Difficultés
qu’offrent ceux de la gorge } — obfer-
vaiion d eD a l la r t ,o ù l’ on trouve un procédé
ingénieux qui fut utile dans un cas de ce genre,
a nfî que l’ inftrument auquel il eut recours; — •
fait relatif à Roderic qui avoit un polype de
ce genre } — méthode de Brafdor. pag, 130 , 231.
Difficultés que préfentent ceux qui naiffent dans
le finus maxillaire} — ils font inconnus dans
leur commencement} — à quoi on k s foueçonne;
— conduite à tenir en pareil cas ; — fouvent;
la carie accompagne le mal local} — utilité du
cautère aCtuel } — panfement le plus convenable
} — obfervation de Ledran à ce fujet.
pag. 232. Les polypes de la matrice font fouvent
à pédicules} — fiègent au fond de la matrice
ou à la naiflance du c o l} — manière dont ils
naiffent & croiflent} — phénomènes qu’ils déterminent
dans les fondions particulières.; — dans
la partie même d’ où ils s’élèvent 5 j— leur fortie
dans le vagin eft fouvent lente, quelquefois néanmoins
elle eft fubite ; — accidens qui alors fouvent
l’accompagnent ; — changemens qui alors fur-
viennent dans le pédicule — refferrement qu’ il
éprouve à l'orifice de la matrice ; — il eft quele
quefois tel que la tumeur tombe en gangrèn-
ferrée fortement par lui ; — dans le cas contraire
il dépafîe l’oiiiice & vient paroître à la
veffie ; apparence qu’il offre alors } — celui-
ci eft moins fouvent accompagné d’hémorrhagie
que l’autre ; — difficulté de reconnoîire le pédicule
de celui qui prend naiffance de l’orifice
meme de la matrice, pag. 233. En quoi les polypes
du vagin diffèrent de ceux de la matrice j — l’ un
l’autie font fouvent pris pour une maladie
d’un tout autre caradère ; — pour une defeente;
— différence ; — pour un renverfement complet
de la matrice ; — différence ; — pour une hernie
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