
jours très inquiétantes ; — plaies contufes font
encore plus facheufes; — traitement le plus convenable
en pareil cas ; — obfervation faite à un fem-
b-lable; — les fimples contuiîons de l’oeil » quoique
d'abord peu graves , peuvent néanmoins avoir
des. fuites rrès-fâche nies ; — traitement analogue à
celui des plaies contufes ; — remèdes les plus convenables
; — attentions générales à avoir dans les
affections traumatiques des yeux. Tome I I }p. 103 ,
IQ4. La félérotique eft fujette à fe tuméfier & à
produire ainfi des excroiffances qui fouvent parviennent
en peu de tems à un très-grand volume;
— obferyation de^Reufner à ce fujet caractères
qu’offrent les tumeurs Amplement fongeufes ;
■— nature des cancéreufes j — lés cathéritiques,
Ja ligature &• Texcifion font les trois moyens
quJon à propofé pour;,les détruire 5 — obfervation
d’une fongueufe guérie par le premier moyen
en peu de tems;-— obfervation d'une autre fatiguée
par les cathérétiques, qui auroit pu guérir par
la lig a tu re ;— l'excifion eft la plus prompte &
la moins fujette à accident ; — méthode de la
mettre en pratique, pag. 107. Le carcinome de
l'oe il vient fouvent à la fuite des violentes ophtalmies
qui ont été traitées par les aftringens violons
; — certains ftaphilomes en prennent fouvent
les apparences >— ïymptômes apparens; — la première
notion relative à l’extraction de l ’oeil en
pareil cas fe trouve dans l ’ouvrage de Bartiehj
7— moyens que l'auteur propofe 5.— procédé de
Fabrice de Hilden 5 — confeils & pratique des
praticiens qui leur ont fucçédé ; — méthode que
fuivoitLoui^ ;.— avantage.7>tfg. 10 8 ,10 9 .Manière
cie remplacer u,n. oeil perdu par un d’émail, p. 105).
(S lL SIiyîPLË DOUBLE; 'ce font autant de
bandages ùfités dans la pratique des maladies
des yeux. Ibid.
OESOPHAGE; maladies fpontanées ou accidentelles
qui peuvent s’oppofer au libre exercice
des fondions de cet organe ; — obftru&ion
peiit dépendre des différentes causes difficiles
a. appercevoir ; i b refferrement fpafmodique>. —
chronique; — progrès.de ce dernier;— fes diffé-
rens lièges ;■ — phénomènes ; — ■ ce qu’on trouve
communément en pareil cas fur les cadavres f -—
regardée comme in cu rab le ,— cas où une dilatation
mécanique pourront avoir quelques avantages
; — obfeivation curîeufe de Munckley ; —
la premiè;e .indication eft dé fuppléer aux fonctions
que l’oefoph ige doit* remplir ; -— obfèrva
tion de Default à ce fujet; — utiiité des fondes
de gomme élaftique ; r^. ulcérations qui ont lieu
fans aucune diminution de diamètre du canal;
— obfervatio; rare d’ uii vice de cette partie;
caufe à laquelle on peut le rapporter ; — autre
vice de l’organe. ,109 y 1 iq^ 1 1 1 & Juiy.
OESOPHAGOTOMIE"; raifons qui ont fait
croire que. toute opération faite fur 1’oefophàg.e
ne pouvoir avoir que de mauvaifes fuites ; —
celles qui déterminent néanmoins à fe mettre
au-deffusjâes préjugés à cet égard; — tentatives*
de Guattani fur les animaux ; — fur les cadavres;
— faites en France avecfuccès depuis;— raifons
de Guattani, prifes de la difpofition des parties
pour faire recevoir cette opération, — pro'cédé
qu'il conf&ille pour la mettre à exécution; —
préceptes dé pratique ; — traitement fecondaire.
Tome I I . pag. 1 1 3 , 1 1 4 , I l 5.
OMOPLATES ; ne font point fi fujettes à
être fracturées que les autres os du corps ; les
fraCtures ont lieu en long , en travers , ou obliquement;
pourquoi ces fraCtures font rarement
avec déplacement; — Pépine dans la fraCture
en long partage toujours le défordre ; -77 fraCture
en travers toujours au-defïotis de jl’épine ; —
comment on peut la reconnoître; —-eft quelquefois
compliquée avec celle des côtes voifines.
pag. r i y , 116. Offrent les mêmes indications
que les fraCtures dés autres c a s ;— conduite à
tenir quand il n'y a point du déplacement ; — fi
la fraCturè eft oblique ou tranfverfale fous l'épine >
— fi quelques.fragmens chevauchoient les uns
fur. les autres ; — quel feroit le meilleur bandage
j — la fraCture de l’acronion aijee à dif-
tipguer; —: apparences ; — pofition oti doit etre
le bras pour pouvoir facilement replacer les pièces
d’os qui fe feroient écartés;-— taxis; — pantè"
ment ; — conduite à tenir dans le cas^ou il
fe formeroit quelques dépôts ou quelquepan-
chement fanguin comme après les plaies d’ armes
à feu .pag. 116*
.. ONGUENT.; en quor diffère des . emplâtres
& Hnimens ; — différentes manières-.de les appliq
u e r ;— leurs mauvais effets fur les plaies &
ulcères ; — onguens fimples-; — fatprnin ; de
gomme élémi ; ■— mercuriel ;■ — cicrin ; — bafilfc-
cum; — de’ fôufre ;— de verd-de-gris devine»
r—. de précipité rouge ; —- épifpaftique ; — anodin
ner vin. pag. i l 6 y 117 , 118—
ONYX ; épanchement de pus entre les feuillets de
la cornée tranfparentê ; — apparences diverles
dénominations données par les auteurs ; ulcère
qui en réfulte, toujours lent à? fe mondifter. Ibid.
O PÉR A T IO N ; conftïtue la grande habilite
du chirurgien ; — elle eft, un moyen extrême
auquel il ne faut recourir que dans les cas
ies plus graves.;— le fuccès des, grandes opérations
eft toujours un triomphe pour le chirurgien »
maisTouvent auffi il eft à .la jio n tp de la chirurgie;
— -abus qu’on en a 'Jfa^t.i— Tynthèfe ; —
dierèfe ; — exëièfe; — protëfë;— règles à obferver
avant l’ opération ; — par rapport à fa néceflité
au tems ; — au lieu ; — aux chofes a prévoir ; —
lumière ;. — fit dation du malade ; — aides ; — pendant
l’ opérât i on' ; -^eito y -— tuto y — bCrjacunde y
: explication de ces mots; après l'opération
manière de coucher lés malades;— régime ; —
pourvoir aux accidens. Tome I I . pag. 119 6*
fuiv.
OPHTALMIES; genre d’ inflammation que
les anciens ont caraCtérifé àinfi ; — ftruCtiiire de;'la J
conjonctive ; — il eft rare que l'inflammation n’o c cupe
que l’intérieur dé l’oeil ; — caractère de i
la douleur lorfque cela a lieu ; — apparences qu'of- :
frela pupille;— phénomènes généraux qui fouvent
s’enfiiivent ; — autres qui fuccèdent à ceuît-ci
uand la ftefe tourne à la fuppuration ; — l’iii-
ammatîon qui n’eft qu’extérieure a des fuifès
moins facheufes ; — âpparrences qui ont lieu fur
la cornée tranfparente ; — caufes diftinguées en
internes &: en externes ; — influences épidémiques
de l ’air qu’on peuc'ranger dans cette dernière,
claffè.; — -.autres de ce genre; d’ou dérive la
yénérienhe.; — foncàraCtère./»^. 122,123. Attention
à faire , fuppofé que la caufe foit mécanique;
-— manière d’èxtraife les corps .étrangers
, — topiques; — faignées» -— fangfues ; -—
feCHon de l’artère temporale lui eft préférée;
— ouverture des veines angulaires ; — purgatifs ;
— délayans ; — l’engorgement rélïfte quelquefois
à tous ces moyens ; — il devient tellement
variqueux que le blanc de l’oeil en eft tout
couvert ; — faignées locales qu’on pratique en
pareil c a s ;— pratique autrefois ufi.cée en Allemagne
; — la meilleure pratique à fuivreen pareil
car; — utilité des véficatoices dans les opthalmies
chroniques, utilité des dnftiques ; — emploi de
la teinture thébaiqûe:; — des mëreuriaux, notamment
dans l’ophtalmie de nature vénérienne ;
— opiniâtreté de la fcrophuleufe ; — utilité de la
ciguë dans c e lle - c i, confirmée par Fothergill.
pag. 223 , 224, 225. L’ophtairnie chez les vieillards
demande qu’on inhfte plus fur les purgatifs
que fur la faignée ; — ufage des répereuftifs ;
cas qu’en faifoit Rivière ; — emploi des. légers
diaphoniques., remèdes les plus convenables
chez les en fans cacochymes ; — dans le cas où
il y auroit aine tache fur la cornée ; — topiques
utiles en pareil cas ; — • moyens de s'oppofer à \
la périodicité des ophtalmies- pag. 12 6 , 127.
OPHT ALMOXY STRE ; pètire brofïe inventée
par Wolhoufe pour ratiffer l'oeil ; — fcarifica-
tion de , l'oe il remonté à Hippocrate ; — en
quoi confîfte le procédé a&uel; — en quoi con- .
uftoit celui des anciens; — cas où la facrifica-
tion de l’oe il eft utile ; — Platner la rejette
dans la xérophtalmie ; — rejettée par Heifter.
Pag. 127..
OPIUM \ fes propriétés générales; — fon
ufage dans le cas dis plaies doaloureufe, dans
les crampes & les mouvemens convulfifs-qui
affectent un moignon après une amputation ; —
dans le traitement des ulcères douloureux ; — dans ;
les douleurs néphrétiques-; — celles ocafîonnées \
par un calcul biliaire ; — dans le tétanos, — employé
dans. le traitement des maladies vénériennes
; — la gonorrhée; — la- meilleure forme
d’adminiftration eft en pilule; — çircpnfpeéfcion
•à avoir dans fon ufage; — donné en lav.emenc;
.—? en topique. Tome I I > pag. 12 7 , 128, 129.
O R E IL LO N ; nom donné à l'engorgement
qui furvient aux glandes parotides ; — nommé
mumps parties Anglois quand elle prend fubite-
ment ; — fymptômes qui ont lieu dans ce dernier
cas ; — ils. ne font point de longue durée ;
— quand ils font plus rebelles, ils annoncent une
difpofîtion fcrophuleufe ; — 'remèdes à donner en
pareil cas; — fymptômes accefloiresqui ont quelquefois
lieu chez les enfans,^#. 129, 130’. .
O RG ÉO LE T ; raifons qui ont fait donner ce
nom à ce petit apoftême des paupières ; — apparence
qu'il offre ; — ; vient pliis fréquemment à la
paupière fuperieure qu’ à l'inférieure; — topique
qui lui convient; — procédé à fuivre' quand la
tumeur tourne à la fuppuration ; — ufage du cauf-
tique ; — précautions que doivent prendre les
perfonnes qui font fujettes à cette maîadiei
pag. 130
OS ; organifatiön de cette partie ; — fes rapports
avec celle qu’on obferve dans l.s chairs,
l'expofe à des maladies analogues ; — énumération
de ces maladies; — ce qu'il faut preferire
dans les cas de plaies fimples ; — accidens qui
accompagnent la plaie avec conrufion; — apparences
morbifiques que l'os manifefte en pareil
cas ;-— quand il eft dénudé; -— quand il ne l’ eft
p o in t;— inflammation & fuppuration qui quelquefois
fuccèdent; — effets que peut produ’re
la ûâfe inflammatoire vers l'intérieur de l'os ;
— fuites encore plus fâcheufes quand l'épanchement
a lieu dans le tiffu fpongieux ; — la douleur
eft le feul figne qu’on ait alors pour con-
nQÎtre le maL pag. 131» 132. Incertitude fur
lés fuccès des topiques ; — incifion confeillée ; — -
fi la douleur ne celle point on en vient à la rugine
& au trépan exfoiiatif ; ■— ufage du cautère aétuel ;
— potentiel ; — la fragilité d e l’os eft enraifon de
l'abondante du principe terreux ; — quelques
faits où une pareille fragilité.étolt portée au
plus haut point, pag. 132.
O V A IR E S ;font fouvent le liege d'une hydro-
pifie enkiftye chez les femmes; — plus fouvent
à la fuite de fehirrofîtés de ces organes; —
progrès de la maladie qui eft infenfible dans
fon commencement ; — quelquefois le kirte ne
tient à l'ovaire que par un pédicule très-étroit ;
— quantité confidérable de fluide qu’ il peut tenir ;
— nature de l ’humeur qui eft en ftagnation ;
— d’où dérive la difficulté du diagnoftic. p. 1 32 ,
133. La maladie a toujours été regardée comme
incurable; — obfervation du Dr. Petit - Radel
qui prouve qu'il peut y avoir exception ; — ■
Y y y 2