
remèdes en ce dernier cas 5 — la fuppuration •
furvenant 3 on eft foiivent obligé de recourir au
biftouri 5 — conduite à tenir dans les cas relatifs
aux pieds & aux mains. Tome I 3 pag. 441 *
442 ^ 443-
E C T R O P IU M 5 affettio n d es y eu x o ù les
p a u p iè re s re to u rn é e s ne p e u v e n t c o u v rir l'oe il 5
— diftin&ion établie entre le ’ lagophtalmie &
l’e&ropium j — la tuméfaction de la conjon&ive
palpébrale eft la caufe la plus ordinaire de cette
maladie j — autre caufe fecondaire 5 — le récent
n'a rien de fâcheux 5 — le chronique eft rebelle
à tous les remèdes, pag. 443 3 444. Remèdes à
prefcrire dans le premier cas 5 — les plus convenables
dans le fécond 3 —■ emploi des cathé-
rétiques 5 — des tarifications 3 — conduite à
tenir dans le cas où l’e&ropium eft occafionné
par la préfence d'une tumeur enkiftée 5 — ce qu’il
convient de faire dans le cas de défunion des paupières
vers le grand angle 5 — conduitede Ledranj
— l’eCtropium qui provient d'une cicatrice eft
réputé incapable 5 — incifion que les anciens
confeilloient en pareil cas 5 — avis de Celfe à
ce furet 3 ■— opinion de Fabrice d'Aquependente 3
de maître Jean 5 — conduite à tenir dans le cas
de bourfoufflement de la membrane interne des
paupières 3 — faignëe locale 3 félon la méthode
de Woolhoufe. pag. 444 3 4 4 5 ,4 4 6 .
É JA CU LA TION EMPÊCHÉE 3 ce qui l’oc-
cafionnoit chez un malade dont la Peyronie fait
1 hiftoire 3 — duretés en forme de chapelets qui
l'occafionnent fouvent 3— phénomènes qui ont
alors lieu 3 — difficultés de la guérifon en pareil
cas. Ibid.
É LE C TR IC IT É 5 maladies chirurgicales fur
lefqilelles on a tenté ce moyen 5 — tumeur fquir-
reufe guérie par un coup de tonnerre, pag. 447.
É L É V A T O IR E 3 u tilité de c e t in fin im e n t dans
les cas d e d épreffion d es os d u crân e 5 — ceux
u fités c h e z les an cien s 3 — c o rre c tio n d e J . L .
P e tit 5 — ad d itio n s d e lui. Ibid.
ÉLÈVES 5 les anciens les p ren a ien t à demeure
chez eux 5 —» comment de vroit commencer
l ’éducation des élèves 3 — comment la chofe fe
paffe actuellement -, — élèves plus favorifés que
d'autres à ce fujet. pag. 448.
E M B A U M E M E N T 3 plus o rd in a ire c h e z les
peu ples d e l'a n tiq u ité q u 'aC tu ellem ent 3 — p e rfectio
n o ù ils é to ie n t fu r ce p o in t 3 a tteftées p a r
les m om ies d 'E g y p te 5 — com m en t o n o p é ro it;
— quelle eft la pratique d’aujourd’hui.pag. 449 ,
456.
EM BO IT EM EN T ; manière de tenir l’oeil
couvert lorfqu’ il faut faire une incifion aux paupières.
Ibid.
EM BRIOTOMIE , EMBRIUSCIE, la vraie
lignification de ces termes. Ibid.
ÉMOLLIENS 5 remèdes qui relâchent la texture
delà fibre 3 — dans quels cas ils conviennent}
— leurs clalfes 5 — l’eau eft la fubftance qui jouit
le plus de cette vertu 5 — enfuite l’huile 5 — cette
propriété eft peut-être moins attribuable à l’eau
qu'à la fenfibilité dont jouit la peau 5 — de-là la
raifon pourquoi la chaleur aide l’effet émollient,
Tom. I 3 pag. 450 , 451.
EMPHYSEME 5 fa caufe la plus ordinaire eft
une rupture du tifiu du poumon par une pointe
d ’os j — comment cela arrive 3 — accidens alar-
mans qui accompagnent cette cireonftance 5 —
comment il fe diftingue de toute autre maladie.
— moyens d ’y remédier. Ibid. Les incifions recommandées
alors font fouvent infuffifantes ; —.
l ’air qui féjourne dans le parenchyme des poumons
, & qui ne peut fo r t ir , vu la petitefle de
la plaie extérieure eft caufe des accidens ; —
citations qui le confirment 3 — paracenthèfe du
thorax confeilléeen pareil cas par Herfon 3 exécutée
avec fuccès fur un jeune homme, p. 452,
453. Circonftances où l’emphysème peut paroître
dans le cas d'ulcération aux poumons } — un
violent effort de la' refpiration l'a quelquefois
produit 5 — comment il fe manifefte alors 5 — a
paru quelquefois dans le cours des maladies
trides’5 — cas où le partiel furvient pag. 454.
EM i’lÈME} terme générique qui defigne toute
colleétism de pus 3 — appliqué cependant à celle
qui fe forme dans la poitrine 3 — lignes qui Tin-'
diquent. pag. 457.
EMPLATRES 5 topique d’une confîftance tenace
, deftiné à être appliqué fur la peau 5 —
leur bafe 5 — ils font très-ufités dans la pratique ;
— ils font fouvent employés comme défenfirs &
adhéfifs 5 — n’ agififent dans lè traitement de la
teigne que par leur qualité applicative 3 — différentes
propriétés qu’ on leur a reconnu 3 — ceux
qui font fpécialement deftinés à certaines parties)
— leurs différentes formes 3 — efpèces. pag. 455,
4 L6- '
E N C A N T H I S tum e u r que les Grecs ont
défignée fous ce nom 3 — deux efpèces — phénomènes
) — remède propre au bénin 5 — opération
qui eft quelquefois néceflàire. Ibid.
ENC É PHALOCÈ LE 5 maladie du cerveau
qu’on cara&érife ainfi 3 — fon cara&ère 5 — obfer-
vation qui en confirme le diagnoftic ; — propre
aux enfans 3 — fait relatif à un adulte 3 — hernies
accidenteles de ce genre ‘ à- la fuite d’exfoliation
au crâne 5' — lignes fur lefquels il faut s’arrêter
en pareil cas. pag. 458 , 459.
EN C L A V EM EN T 3 état qu’on doit fpécialement
cara&érifer ainii j chez une . femme en
travail 3 — deux efpèces diftinguées par les auteurs
3 — l ’opinion de Roederer à ce fujet n’elh
point celle du plus grand nombre des praticiens;
peut avoir lieu qu'au détroit fupérieur ; —
(imitions différentes où eft alors la tête; — idée
de Levrec fur l'enclavement ; — circonftances
Décédai res pour que la tête s’enclave réellement;
— quelle forme l a tête prend en s’enclavant ;
— né peut avoir lieu dans un badin bien conformé
; — phénomènes qui ont lieu fttr une tête
qui eft enclavée depuis long-tems ; — fâcheux
pour la mère comme pour l’ enfant. Tome 1 3
p i f . 4J9 j 460. Méthode que les anciens fuivoient
en pareil cas ; — la cruauté de leur procédé ceffe
à l’apparition du forceps ; — manière d’opérer
quand la tête , la dernière à fo r tir , eft, enclavée
& même fépârée du corps au détroit fupérieur ;
— ufage du tire-tête en pareil c a s ; — enclavement
des épaules; — conduite à tenir lorfqus
l’obftacle vient d’un épanchement dans la poitrine
ou le bas-ventre, pag. 461.
ENFANT ; conüdéré quant à fon volume dans
la fonétion de l’accouchement; — détails né-
ceffaires à connaître relativement à la tête
forme que celle-ci a à l’époque de l’accouchement;—
les cinq régions qu'on y diftingue ; —
efpaces membraneux ou fontanelles néceiiaires à
connaître aux accoucheurs ; — fon articulation
avec le tronc & les mouyemens dont elle eft
fufceptible. pag. 4 6 2 , 463. Conduite à tenir à
l’égard de l’enfant nouvellement né-; — manière
de le vêtir ; — de le nourrir; — coloftrum eft
la meilleure fubftance qu’on puidelùi accorder ;
— conduite à tenir dans les cas où l’enfant feroit
afphyxié, — dans ceux où le cuir chevelu eft
très-tuméfié , — quand les os font fraélurés.
pag. 46$.
ENGELURE ; tumeur provenant d’un trop
grand froid ; -— fujete à retour; — phénomènes
qui annoncent les effets d’ un trop grand froid
fur le corps, •— marche dans.laproduétion de la
maladie ; — comment l’engelure lîmple eft carac-
térifée ; — phénomènes de l ’ulcérée ; — la .formation
de la maladie plus facile que la guérifon.
pag. 466. Traitement qu'elle exige dans fon commencement
3 — lorfqu’ elle commence à s’ ulcérer
- lorfque les parties font attaquées fubi-
tement d'un froid trop violent, pag. 467,
ENKISTÉE ; maladies chirurgicales auxquelles
cette épithète a été donnée ; — d’où dérive le
•me ou la membrane de la poche dans les tumeurs
de ce genre , — colleâions de matières auxquelles
en donne encore c e nom. pag. 468.
— —... wi.La j u cjpccea res auteurs
I e °nt diftîngùé ; — détails fur elles. Md... I ’ en quo' e^e diffère de l'écartement ;
1 1, . e diaftafe ; — a fréquemment lieu dans
I ‘ articulation des os du pied avec la jambe ; —
I °n doit toujours fe tenir furfes gardes quant aux j Ultes ’ — conduite à tenir quand on eft appellé
I 111 ™?!"ent de l’accident ; — ce qu’il faudra faire
a ùrurgie. Tome I I „ 11° Parr'ie.
à un terme plus avancé; — utilité du vin aromatique
, des douches de le ffive, des bottines
de peau de chien dans le cas de l'empâtement
confécutif; — cas où les linimens , les bains de
vapeurs à l'efprit de v in , les eaux minérales
■ fulphureufes font à employer. Tome I , pag. 469 ,
4 7 ° - 1 ,
ENVIE tache ou marque de naiffance qu’on
nomme aintï ; — variétés dans leur apparence ;
— moyens propofés pour faire dilparoître les
excroiifances;.— enquoi confifte l'opération. Ibid.
. ÉPANCHEMENT ; en quoi cette dénomination
différé de l’effufion & extravalîon ; — cas
où l'épanchement peut devenir fuHefte. pag. 471.
ÉPHÉLIDES 5 taches de touffeurs qu’on dé-
ligne ainfi ; — les femmes groffes y font fujettes.
Ibid.
ÉPIPHORA' ; définition de ce terme d’après
les anciens ; — fon acception actuelle d’après
Paul; — mécanifme par lequel les larmes affluent
alors plus abondamment;— quels font les collyres
qui conviennent le plus en pareil cas ; —
utilité des purgatifs 5 — traitement qui convient
à celui qui dérive de l’obftruéiion des points
.lacrimaux;-— emploi de la fonde d’A n e l ; __
p ro c é d é 3 les injections ; — 1 incifion. pue. 471
1472.' “
ÉPIPHYSES; ce qu’on doit entendre par cette
dénomination ; — Hippocrate eft le premier auteur
qui ait parlé de la réparation de l ’épiphyfe;
— travaux fubféqut nts des auteurs , — ce qu’on
doit entendre parla réparation fpentanée & forcée
de l ’épiphyfe — détails à ce fujet 5 — a rive à la
fuite des maladies des articulations ; — cas où la
forcé® a lieu ; — détails à ce fujet ; — moyens de
guérifon quand la maladie dérive de caufes internes.
pag. 472 £/ fuiv.
EPITHÈMES ; remèdes qui ont obtenu cette
dénomination ; — diftingués en liquide & en
folide ; — ceux qui font ufités dans les inflammations
érëfipéiatéufes. pag. 474.
EPONGE ; Tes propriétés la rendent très-
utile dans les cas de chirurgie ; — ufitée dans
le traitement des plaies des finus ; — dans quelques
cas d’hémorragie, pag. 4 7 t.
ÈRESIPELE , genre de maladie inflammatoire
qui n’attaque que la peau ; — en quoi elle diffère
du phlegmon ; — phénomènes qui ont lieu lorf-
atte la maladie occupe le vifage,& autres parties
du corps ; — fon fiége dans Je réfeau muqueux;
— caufes qui la déterminent ; — caraélères oui
la diftinguent du phlegmon, pag. 4 7 ; , 476. L’éré-
fip èle, dans les hôpitaux , préfente fouvent un
tout autre caraétère que celle qu’on obferve dans
la ville ; — cette maladie n’a point une march erégîée
& uniforme y— on en diftingue trois efpèces^