de veftîepar le vagin ; — différence ; — variétés ■
des polypes quant à leur confiftance j — leur
volume 5 — la préfence d’un dans la matrice nera-
pêcbe point la formation d’un autre j— ne s’op-
pofe pas toujours à la conception. Toiv. I I ,
pag. 233 3 234. Moyens propofés pour détruire
les polypes de cette claffe 3 — cauterifnion con-
feiîlée par Verduc ; — fcdfion par Ætius &
autres 3 — obfervation à ce Dionis > Juncker 3 — en qufouij ete l;l e— c otonrffiifoten 5 p—ar •
accidens qui peuvent s’enfuivre 3 — circonftances
qui peuvent la favorifer 5 — en quoi la ligature
confifte 3 — premiers eiTais ; — accidens 5 —■
Levret les prévient > & par quel procédé 3 —
înconvéniens qui quelquefois l’accompagnent ;—
pinces que ce praticien fubftitue à les tuyaux 3.
— curette pour foulever la malle polypeufe j —
tiges d’acier que leur fubftitue David; — emploi
de ces tiges ; —-procédé de Default. pag. 2.3j ,
236. La ligature eft la méthode la plus fuivie
actuellement j — accidens légers , quelque fais
graves qui l’accompagnent phénomènes qui
s’enfuivent 5 — écoulement qui fuccède à la ligature
; — defcente qui fouvent fuccède à la ligature
du polype dans le vagin. 237.
PORREAUX ; différence de ces excroiffances
d’avec les hyperfarcofes y— ont communément
une bafe en forme de pédicule, & un corps ou
tête plus ou- moins frangé ; — fingulière propriété
qu’ils.^ ont de vivre & végéter par eux-mêmes v
— leur formation paroît devoir être attribuée à
une élongation particulière des vaiffeaux que l’irritation
vénérienne d. termine ; — regardé communément
comme l ’ indice d’ une infection vénérienne
; — on ne fe détermine à les traiter que
lorfqu’on a remédié fuf&Iamment à - l’infeétion
vénérienne ; — deux méthodes de les traiter loca-^
lement, la cautérifation & la fe&ion;.— la ligature
moins préférable en ce qu’elle eft fouvent fuivie
d’ accidens ; — en quoi confifte la première méthode
; — s’enflamment & fuppurent quelquefois
fponcanément quand ils font un j^eu volumineux ;
— on peut en pareil cas les guérir avec une
poudre cathérétique ; — quand- on doit les conduire
à cicatrice, pag. 23.7 , 238.
PORTE AIGUILLE ; compofition de cet infirmaient
; — fon utilité- Idem.
POUSSOIR ;.. infirmaient qui a fon nom de fon
uCage, qui eft de pouffer les dents'ou leurs racines
au-dehors ou au-dedans > ■— compoficion y —
manière de l’employer à la mâchoire inférieure,
à la Epérieure. Ibid.
PR ATIQUE ; définition 5 — doit être regardée
comme le creufet ou les dogmes de l’art s’épurent
; — quand on peut efpérer tout le fruit
qu’on en attend ; — comment elle peut s’acquérir;
— remarque de Baglivi > —^ il eft faux que pour
êtrebon praticien, il faut avoir beaucoup travaillé ;
— preuves ; —- la théorie , l’expérience & l’ obfervation
doivent être liés d'un noeud indiffoluble
dans la pratique ; — utilité de la théorie 3 — ce
que fait l’expérience • part que l ’obfeivation y
a. Tome I I , pag. 238 , 235).
PRATICIEN; en quoi il differede l’obfervateur;
— celui qui eft inappréciable aux yeux de la
raifon ; — prétention de la plupart ; — fe forme
par l'exercice ; — doit avoir i n grand fonds de
connoiffance dans les loix de l’économie animale;
— le praticien ne peut être regardé comme tel
aux premières époques de fa vie ;—- raifons ; —
l’âge fait eft celui le plus convenable à l’ exercice 3
— la- vieilleffe ne peut être utile que pour le
confeil. 239 , 240.
PROGNOSTIC ; définition 3— Hippocrate eft
l’ auteur qui fe foit le plus illuftré.dans ce genre
de connoiffances ; — fes prénotions &c prédirions
renferment des faits qui étonnent encore aujourd’hui
i — • fur quoi le prognoftic s’établit3 —
comparaifon d’ un praticien inftruit avec celui qui
ne l’eft point ; — fuite d’ axiomes relatifs au
prognoftic , & qu’on trouve dans divers endroits
du père de la médecine , — les connoiffances
anatomiques facilitent beaucoup le chirurgien
dans l’ art de tirer fon prognoftic. pag. 240,241.
PRO STA TE ;. glande qui eft ainfi défignée &
dont le gonflement oceafionne fouvent une rétention
d’urine ; — changemens qu’elle opère alors ■
fur le canal de l’ urètre , notamment fur la forme;
— . efpèce de valvule qu’elle fait à l’entrée de
l’urètre ; — fa confiftance devient plus ferme
quand elle fe tuméfie 5 — quand en fondant on
peut préfumer le gonflement de cette glande plutôt
que la préfence d’une pierre ; — manière de
s'affilier de l’ état de cette glande 3 — circon-
fpeCtion qu’ il faut avoir en fondant en pareil cas 3
roade flexible préférable à toute autre 5 — • obfir-
vation.d’Hunter fur la meilleure manière de diriger
la- fonde en pareil cas ; — moyens de diffiper
l’engorgement de la ghtïàe. pag. 24 1,24 2 .
PROTHÈSE ; application de ce terme aux
moyens mécaniques deftinés à remplir les fon-
étio 's des parties qui manquent 3 — exemples.
P j M 3*
PRURIT 3. ;il eft fouvent l’effet de petites éruptions
éréfypélateufes-fur la peau; — moyens
propres à y remedier. pag. 244.
PSOAS ; tiffu cellulaire qui l’environne fujet
à une inflammation q u i , le plus fouvent, fe termine
par la fuppuration ; — phénomènes qui
accompagnent cette circonftance ; — méprife ou
l'on tombe quelquefois à leur égard 3— lignes
qui annoncent "la fuppuration;-— comment la matière
parvient infenfiblement à fe faire jour audehors
3 — quand le pus féjourne près de l'anus ,
le plus fouvent la matière fuit le trajet de l’artère
fémorale; — erreur ou.elle peut alors faire
tomber; — moyens d« s’en préferver. Tome 11,
pag. 243. Conduite à tenir relativement à la gué-
nfb 11 ; — cas où l'on pourroit provenir le mal 3
— pourquoi on ne doit point différer à donner
iffue à la matière quand elle eft évidemment apparente
3— -manière de fe conduire en pareil cas.
pag. 244*
PSOROPHTALMIE ; en quoi confifte cette
maladie des paupières 5 — détails anatomiques
propres à en faire connoître les caufes 3 — fuccède
fouvent à l'ophtalmie 3 — où fe borne l’ulcération
; — quand on la peut regarder comme
opiniâtre ; —- erreur où peuvent tomber les {praticiens
fur le traitement ; — fouvent compliqu e
de diathèfe fcrophuleufe 5 —- cas que Stork faifoit
alors de fon extrait de ciguë 3 ■— Fothergill affure
qu’il ne réuffit pas toujou s ; — iF préfV roit le
quinquina 3 — dans quel cas les pilules de Bel-
lofte peuvent être de quelques avantages 5 — à
quoi s’en tenoient précédemment les ocuîiftc s 3 —
Rhafes va plus lo in — St.-Yves continue en infiftant
fur la méthode cathérétique ;— ufage de la pierre
infernale; — manière d’éviter h s accidens dont
fon emploi pourroit être fuivi ; — pomade de
précipité moins fujette à inconvén<ens;— Ware
emploie l'onguent, citrin ; — le mal eft fujet à
retour, pag. 244 , 245.
P T E R IG IO N 3 affeCtion p articu liè re d e l ’oe il à
laquelle c e tte d én om in atio n co n v ie n t 3 — en quoi
elle confifte 5 — différentes d énom inations q u e les
auteurs lui o n t d o nn ées ; — o n la c o n h o it en
France fous celle d ’o ngle ; — tro is efp èces re connues
, le m em b ra n e u x , l’ad ip eu x & le v a riqueux
3 celui-ci eft le p lus fâch eux d e to u s; — d ’o ù
il prend le plus com m u n ém ent naifl'ance 3 —
oblèrvation d ’A crell à ce fu jet ; — fu r q u o i d o it
être é ta b lie la cu re de la m aladie 3 — pratique
d e m aître Jean 3 — rem èdes p rélim in aires
qu’il em ploie ; — q u and on p e u t re c o u rir au p ré cipité
ro u g e.; — c o lly re liquide q u e quelques-uns
préfèrent 3 — p ie rre infernale ; — le m oyen le
plus p rom p t eft l’excifîon 5 — m an ière d e la p ra tiquer.
2 4 6 , 247.
PTERYGION; dénomination applicable à une
faillie charnue qui vient aux ongles des pieds &
des mains ; — fa caufe ; — moyens de guérifon ;
— opération, pag. 247..
P TO SE ; en quoi cette affe&ion diffère des
protubérances ; — comprennent les prolapfus
les hernies & les luxations ; — toute ptofe doit
®tre attribuée à une violence, une force qui dé-
placea ou à la foibleffe des forces qui contiennent
— p h énom èn es d e ce s deu x e fp èces. Tom. I I ,
pag. 2 4 7 1 248.
PUS ; au teu rs q u i o n t cru q u ’il é to ir fo rm é
par les vaifléaux fanguins Si au tres fo lid ts diflous
dans les fluides des p arties e n fla m m é e s ;— affin
ité qu’ils é tab iiffo ien t e n tre c e tte fubltance &
le m ucus ^ — ceux q u i o n t d it q u 'il s’e ugcndroiu
dans le fang 3— le u r raifon 3 — rép o nfe à c eu x -
ci ; — qu elq ues-un s rap p orten t- fa fo rm atio n aux
changem ens p ro d u its par la fe rm en tatio n 3 — ce>
qu’eft c e tte m atière d ’après les o b ie m tio . s les
plus ré c e n te s ; — l’inflam m ation eft une co n di io n
effen tielie à la fo rm atio n du pas 3 — q u a lité d e
c e tte fubftance p rife d 'u n u lcère d e bonne n a tu re ;
— exam iné au m icrofco p e 3 — varie fui v a u t les
circonftances qui m o d ifien t l’u lcère o ù il fe fo rm e ;
— q u a lité du pus dans les u lcères q u ’on nom m e
fro id s ; — les caufes qui affeCUnt l’e ta t du fyftévr.e
g én éral altère facilem en t la fu p p uratio n des u lc è re s;
pag. 2 4 8 ,2 4 9 . Q u a lité du pus des ulcères accom pagnés
de b eauco u p d irrita tio n 3 — la p ro p rié té
cara& ériftique du pus eft d’ê tre com p o lë de g lo bules
3— ces globules é ta b 'iffen t une g rande affin
ité e n tre c e tte h um e u r & les autres, qui d é p
en d e n t des fëcrétio n s anim ales 5 — u lté rie u r
d é v elo p p em en t de c e tte dodtvine ; — q u alité d e
c e tte fubftance ; — p eu r ê tre ab fo rb ée &: p o rté e çà
& là dans la enaffe générale d es h um eurs fans
aucun in c o n v é n ie n t m om en tan é 3 — o b je c tio n
p rife d u m aralm e & d e la fièvre le n te 3 — ré ponfe
; — n éceffaire à la fo rm a tio n d es granu?
la tio n s c h a rn u e ;, pag. jip p i
Q
Q U A D R IG A ; b an dag e d e G alien p o u r la
lu x atio n des c ô té s ; — d ’o ù lui v ie n t ce nom ;
— in u fité actu ellem en t. Ibid.
QUINQUINA ; fon ufage dans les cas c h iru rg
ic a u x ;.— en q u o i il eft u tile dans la g a n g rèn e;.
— q u and ce rem èd e p e u t n u ire ; -— eft d ’une
g ran de reflou rce lo rfq u e la c o n ftitu tio n eft affoi-
bl’ie par la d u ré e d e la fu p p u ratio n 3 — fon e f f icacité
dans les cas d ’u lc è re s fe o rb u tiq u e s 3— d o it
ê tre em p lo y é à g randes do fes ; — plus efficace
d o n n é en fubftance ; — fon ufage u lté rie u r, p. iyz.-
R
R A C H I T I S ïe n q u oi c e tte affeétion c o n fifte ;
— rem s d e !a vie o ù elle p a ro ît le plus fo u v en t 3 —
les au teu rs o n t beauco u p d ifferté fur fa n atu re 3 —
e n tre tie n t un grand ra p p o rt avec l’é ta t des fo rc e s
digeftives 3 — p reu ves ; — les effets m orbifiques
q u e les os é p ro u v e n t n ’é ta n t p;.s les m êm es aux
m êm es é p o qu es , d e-là la d iv erfité des appare
n c e s o u fym p>em es 3 — q uels ils fo n t fui van t les-.