
incifion à faire y — details fur ce Mii la regardé;
— emploi du trépan perforaridy-— du couronné ;
— emploi de l’élévatoire ; — du couteau léUt-îcu-
laire ; — du levier dans quelque cas; — du nié-
ningophilax. Torti. I l 3 pag. 4*36. Quand il faut
irtcifer fur la dure-mère ; — excroifiancéde cette
membrane ; — poûdre cathé ré tiqué utile èn pareil
cas ; ;— incifion fur le cerveau y —| quand’ le mal
eft caché plus loin y — détail lur les abcès caches
danS-le: cerveau y :— là manière dont quelquefois
ils fe font fait jour au-dehors 5 —- panfement à
füivre en pareil cas ; —* injeét-ioivy — accidens que
déterminent les fpiricueufts & autres de nature
ardente 5 — efficacité, des-huiles effentielles bal-
famiques;y — conduite à tenir dans les caS ordinaires.
.pag. 436 , 437. Dahsf quels* cas la difli-
pation des accidens luit de p ès l ’application des
moyens de curation y — les accidens reparoilTent
quelquefois en fuite 'y — ce quon peut penfer de
ces circonftances & traitement qu'elles demandent;
— comment fe ferme l’ouverture du crâne
& fe forme la cicatrice, pag. 438.
TRICHIASE'y en quoiconfifte cétte affe&ion y
— l’inveifion des c il r qui commencent alors ,
piovient de; différentes caufes y — quelles èl'es-
font y — évide: ce du diagnoftic en chacun y -—
indication qu’elle préfénte quand elle provient
du changement de dik&ion dans la pofition des
cils y— il faut en brûler la raciné avec le eauf-
tique lunaire ou avec la pointe d’ une aiguille
rougis au feu y — procédés qu’on conf illoit
autrefois y I— quand-il faut recourir à l’incifion ;
— inconvénient qui pourroit s’enfuivre y f a i t
rapporté par Ware y — provient quelquefois de
la tuméfaéfcion oedémateufe de 1 une ou de l’autre
paupière y— moucheture y —* ablation 3 — moyens
confeillés à ce fujet. pag. 439.
TRICHISMOS y genre de fra&ure qui a lieu
fur le crâne. Ibid.
TROIS-QUARTS y d’où cet înftrument dérive
fa dénomination y— defeription de cet infiniment
tel qu’il fut d’abord inventé y — perfection que
lui a ajoutée J. L. Petit y — autre de différentes
formes-, pag. 440.
TUMEURS y conflituant une très-grande partie
des maladies chirurgicales y — diftinguées en celles
qui ont un caractère aigu & en celles qui font
d’une nature chronique ou indolente y — les tumeurs
dégénèrent fouverit l’une en l’a u t r e ;—
léur énumération, pag. 441 , 441. Gonflemens
qü’on a fouvent rangé dans cette claffe de maladie
; — gonflement anomal dont on rapporte la
fingulière hiftoire y— autre pareille prife des cas
de chirurgie de Gooch. pag. 442 L 443 , 444.
u
ULGËRE y définition 5 — les parties molles en
fontde fiége y— diftinélions à établir § — caufes;
i — celles-ci font occafionnellès 5 — prédifpofantes j
— ; ou dérivent des deux y — d’où l’on doit prendre
de prognoftic à tirer d’eux y — quel fera le plus
aifé à guérir y — la cure de ceux fitués fur les
parties molles eft plus facile à obtenir p - la
douleur qui les. accompagne moins grande y —
•remarque fur ceux qui occupent les parties dé-
■ cîives y — qui font dàn$ le voifmage des gros,
jvaifleaux. Tom. I I , pag. 444, 44.5•. On peut entreprendre
la guérifon de ceux qui font récens y
;— .il n'en eft pas toujours de même des-anciens
quoiqu'on puiffe la tenter y — raifons qui
appuient la conduite 5 — opinion fur l’exift'ence
des humeurs' peccantes , — détail à ce fujet y —
|moyen de prévenir les accidens que-peut entraîner
Texfioeation- d'un ulcère ancien*.; — ces accidens
me dérivent pas toujours de l’abondance du pus
qu'ils verfoient y — cas oû l’établiffement d un
cautère pourroit être avantageux y — ceux où il
feroit nuifible; — états que les ulcères doivent
^parcourir pour parvenir à la cicatrifation y—
remèdes qu'on a crû les plus propres à chacun
de ces états y — claffes nécefEires à établira p. 446,
447. C e qu on entend par un ulcère purulent
Ample y— -c'eft à; cette efpèce qu'il faut tâcher
dë-réduire toutes lés autres y— caufès qui peuvent
les produire y —É fouvent ces mêmes caufes en
produifent qui ont un très-mauvais çara&ère y —
le prognoftic en eft toujours favorable, pag. 448.
Genre de régénération qu’on obferve dans; ceux
;avec perte de fubflance y — comment-il faut entendre
ceterfney.— la production eft vafeulaire y
l— le travail de là nature eft très-limité en ce
'genre y— ce qu’on doit penfer du feui affairement
dés parties comme moyen de régénération ;
<— circonftances où. il eft très-évident y — état
des vaiffeaux & autres parties fous une cicatrice
-après l’amputation y — manière dont fe guerilTent
d’elles-mêmes les Amples diviftons y— application
•de cette théorie à d’au très ulcères y — les bons effets
de l’ affaiffement. font èvidens dans tous ces cas.
pag. 4 4 9 ,4J0. C ’eft a elles qu'on doit rapporter
l’efficacité dont eft fuivie la méthode compreflive
dans le traitement des ulcères y — détails pris de
Wood y — comment cet auteur fe compor-
toit dans un traitement où ce moyen était ad-
miflible y — il eft fupérieur à tout autre y— cas
où il doit être rejette, pag. 4j-o , 45 r. Néceflîte
du développement des-bourgeons dans le traitement
des ulcères y — apparences qu’ ils-prennent y
— obftacles qui s’oppofent à leur développement
peuvent être diftingués en ceux qu; viennent de
caufes internes & en ceux qui dérivent de caufes
externes y — infeCtion vénérienne ou feorbutique
peu propre à 'leu r formation; '— ' il en eft de
même du défaut dè nourriture* ou à la fuite des
évacuations immodérées y— ■ la plétore ne convient
pas mieux y il faut établir un état mitoyem Ibid-
Les obftacles locaux fe rapportent aux caufes
irritantes mécaniques & à celles qui font de i
nature corroAve y — détails fur c e qui regarde j
le premier point y — d’où dérivent les circonstances
qui fomentent le fécond ; — il faut toujours
vifer dans tout ulcère à convertir fa matière
en pus louable- y — Ttibftances qui peuvent produire
c e t effet. Tom. I I , pag. 4 j2 . Indications
curatives qu’offre l’ulcère purulent Ample y —
fubftances irritantes qu’on doit éviter dans le
premier ternsy — celles qui font préférables en
ce qu’elles tendent à diminuer toute inflammation
;— - défavancages qu’ont les panfemens frë-
quens y — ce qui doit déterminer à les rapprocher
y— mauvaifs influence qu’a l ’air en pareil
cas y une chaleur modérée eft très-néceflaire
pour la confection d ’un bon pus ;— moyen facile
de répondre à cette indication y— quand il convient
de recourir à la corapreffion y — epoque où
il faut vifer à exciter la régénération des bourgeons
y — moyens îles plus propres à cet effet;
pag. 4$ 2 , 4 5 3 ,4 5 4 . Eta.!: ftationnaire des boun* ;
geons moyen d’y remédier y -— avantage du
repos & de la pofition hôrifontale y — quelques 1
détails à ce fujet ; — d’autres fur le régime y —
ce qu’on doit penfer fur les purgatifs dans les
casa’une Suppuration trop abondante y — topique ;
dont l eft*er~eft préférable, pag. 4yy. C e qu’on
doit entendre par un ulcère Ample vicié y — \
variétés qui s’obfervenc dans Ua matière qu’ils
•rendent y — l'acrimonie de cette matière nuit à
la formation des bourgeons charnus y a u t r e s
ulcères qu’on peut ramener à cette efpèce 5 —
quand le prognoftic en eft favorable y — quand
c’eft le contraire, pag, 4^6. Utilité cdes topiques
émolliens dans le traitement, des ulcères Amples
viciés y y - d u régime analeptique Surtout pour
ceux qui ent duré long tems y — du quinquina ?
donné à grande dofe , — quand on peut croire*
que l'ulcère eft revenu à l’étàt d’ ulcère Ample y
— quand il_ convient d’ouvrir un cautère y —
utilité du nitre. pagi 4f^. Ce qu'on entend par
fongoAté dans les ulcères, — la nature de ces
fongoAtés eft relative à celle du pus ; — quand
on peut les foupçonner. pag. 458. Il faut recourir
auxefeharosiques dans le traitement de ces fortes ?
d’ulcères y — avantages qu’ a la pierre infernale
en pareil cas y — eau mercurielle eft d’ uqe très-
grande efficacité y— :manière dont on doit l’appliquer;—
emploi de là ligature dans les cas où
I’excroiffance eft fur une bafe étroite , —^méthode ;
plus sûre quand la bafe eft très - large, pag. 459.
Ce qu’on enrend par ulcère calleux y — ils deviennent
fouvent tels par négligence & par un
nu u vais traitement y. —- dénominations de phagé-
déniques y — malins chirohiens , télëphiens &
invétérés que lui donrioient les anciens ; — caùfes
auxquelles ils l’ attrîbuoiént 5 — opinions * qu’ ils
avoiait fur la nature du fang qui féjournoit dans
l& voifinage y -^- conduite conféquente à cette
opinion y. pratique d’Hippoc-ratè ‘ fondée fur .
elle y — celles des auteurs qui lui ont fticcédé y
— ligature des veines y — pratique de ceux qui
remédioient aux varices par l’ufage du cautere
aétuel ou potentiel. Tom. I I , pag, 460. Ufage
du bandage compreflifpour de pareils easy —
cette méthode compreflivenetoit point inconnue
à Hippocrate y — pas de plus qu'ont fait Wife -
man ; — Sculter & Hildan y —- Theden n’a point
le mérite de l’invention , il n’a que celui de
l’avoir tiré de l’oubli y — utilité de la méthode
compreflive pour détruire les callofités y — exemples
où cette méthode a été d'une très.-grande
efficacité, pag. 460 , 401.
V A L E T A PA T IN y définition de cet inftrument
ufité autrefois pour faire la ligature des
vaiffeaux dans le cas d'amputation y— fa com-
pofitibn y — manière dont on 'recôhimandoit de
s en fendr y — il n'eft plus d’ ufage. pag. 462.
V A G IN y fujet à deux affections, la rupture &
la défeente y — à quelle époque de l’ avortement
arrive la rupture 5 — celle-ci eft difficile à diftin-
guer de la mêm.j affeCtion qui a. lieu fur la matrice
y — plufleurs praticiens Àhglois fe font
trompés à ce -fujet y — détail inter.fiant fur ce
point y — l’ extraétion de l'enfant eft plus aifée
dans le cas de rupture du vagin que dans celui
'de matrice y — circonftancèi qui aggravent ce
^dernier cas y — il furvient quelquefois une maladie
confldérable y — erreur où l’on peut tomber
à ce fujet. pag.■ 461 , 463. En quoi conAfte la
defeente de vbgm ; ^ Èimagination a plus fréquemment
lieu que la caufë qu'on admet pour
l’expliquer ; fe préfente communément tou-; la
forme d’un bourlet qui augmente ou diminué
fuivant le$ circonftances y— Agnesqui furviennent
â ceux ci quand la maladie devient plus ancienne y
— ils ont afîez de rapport avec ceux qui aceom-
i pagnent la defeente de imatrice. pag. 463. La ré-
.auCtion eft facile dans les cas Amples y — manière
de prévenir le retour .de la maladie y — il en eft
tout autrement loïfqu’elle eft ancienne;— bandage
à refforty — cas où l’extirpaiion devient
néceffaire y— crainte q u i! y a de pratiquer celle-
ci fur une matrice renverfée.y ■— autre genre de
j tumeurs qui ont lieu -dans le vagi« & auxquelles
on peut, fe méprendre, pag. 4 6 3 ,4 6 4 .
VAPvlCE y définition de ce genre de maladie.;
Jieux où bn fa remarque le plus fréquemment y —
leur naiflance y — progrès y — rupture y — traitement
y *— inciflon de. la veine y bas de peau
de chien tpmmandé par Dionis y— applications
aftringentes y.— conduite de Muys. Ibid.
V A R ICO C E L E y C elfe l’appelloit circocèley
— « à quoi on diftingue cette tumeur;— phénomènes
qui furvieiînent quand on ne remédie pas
i d’abord au mal y ^ explication prife d’aprèi l ' s lois
de la mécanique &'La ftru&ure de la partie 3 —