
qu’ on nomme fcapulaire ; — remarque de Galien ■
à ce fujet ., — phénomènes qui dérivent du
changement de forme du canal vertébral ; — n’eft
pas toujours connue dès fon commencement ; I
— phénomènes qui fe développent infenfiblement 3
— celle qui arrive dans l’enfance, eft la feule à
laquelle on puijTe por'er du fe.cours;— précautions
à prendre en pareil cas ; -— utilité du cautère
pratiqué le plus près de la gibbofité ; — çonfeils
d e Port à ce îujet. Tpme I , pag. 571 , 572.
Erreur des anciens qui portoient toute leur attention
fur le vice local ; — Giffon eft le premier
praticien qui ait tenté des moyens fondés fur
un meilleur raifonnement ;■ *— Nuck en fuivant fes
traces a été plus loin dans cette carrière3 — ■
machine qu’il a inventée à ce fujet ; — celle de
Roux ; -t— celle de Levacher } compofttion de
ces deux dernières ; b e préférence donnée à celle 4 e Le vacher ; fes avantages, pag. 572 fuiv.
G LA U COM E ; les anciens ne s'accordent
3>o’int fur fon fiége î — difcuflîon à cet égard ;
r— doit être apporté e i l’opacité du corps vitré;
— ligne que l’on donne de cette maladie ;
moyens chirurgicaux fe réduifent aux véficans &
dérivatifs , aux fondans , tels que l’ extrait de
.ciguë i^-Paquila alba. pag. 576.
GLOSSOCOME ; inftrument deftiné à la réduction
des fraCtures. Ibid.
G LO S SO C A TO CH E 5 forte d&fpeculum de la
tou ch e . Ibid.
GONORRHEE ; on en diftingue deux efpèces ,
ia virulente & la bénigne 3 =— en quoi confifte 3^ première ; fon .fiége ; W identité du virus
qui la produit ayec .celui de la yérole ; opinions
éc raifons de ceux qui font d’une opinion
contraire réponfes à leurs difficultés ; -r— intervalle
qui a lieu entre l ’application du délétère
fon effet; r:-difficulté de diftinguer ia gonor-
rhée virulente de la fimple. pag. y 76 & fuzv.
Effets de la matière gonorihoïque fur les parties
qui la fourniffcnt ; — développement de la théorie
de Hunter à ce fujet. pag. 580 & fuiv. Siège de
la gonorrhée ; — chez l’homme c ’eft l’ urètre ;
— chez la femme le vagin ; t—l’urètre, les grandes
levres , le clitoris , les nymphes ; ^ fympt-émes
les plus ordinaires & ordre dans lequel ils fe
manifeftent ; — d’où provientla matière de l ’écoulement
; — écoulement de fan g qui quelquefois
fuçcède ou accompagne la maladie, pag. ƒ 82,583.
C e que les praticiens défignent fous le nom de
cordée ; — comment ce fymptôme furvient à la
gonorrhée. Ibid. I/inflammation qui attaque
l’ urètre gagne peu à peu des bords du méat
urinaire jufqu’à la furface intérieure ; — communément
à un pouce & demi on deux pouces, '
rarement plus loin ; ■»— cas ou elle s’étend plus !
loin. pag. 384. Le gonflement du tefticule fur- ;
vient fouvent comme épiphénomène ; — comment
il s’annonce ; —r eft fouvent accompagné de fym-
ptômes fympathiques dans les organes voifins 5
Tom.1 3 pag. 585. L’engorgement des glandes inguinales
qui fouvent fe manifefte alors 3 provient
moins de la réforption du virus que de l’irritation
fympâchique ; — détails à ce fujet. Ibid. La gonorrhée
eft moins grave chez les femmes que chez
les hommes ; — plus difficile à reconnoitre chez
elles que chez eux ; — attaque furtout le vagin;
— phénomènes qui ont alors lieu ; — quelquefois
la veflie eft affrétée fympathiquement. pag. 586.
En quoi confifte le traitement ; — ufage des remèdes
generaux de la faignée & du régime anti-
j blogiftique ; >— des toniques, pag. 587. Ufage
des purgatifs ; —^ difcuffion à ce fujet, — utilité
du mercure ; — des diurétiques, pag. j88. Des
altringens ; — des remèdes locaux ; — notamment
des ïnjeâions irritantes 5 — fédatives-émollientes;
«— aftringentes&autres topiques, pag, 389 3 590.
Emploi du mercure pour prévenir la formation
de nouveaux fymptômes vénériens ; — quelques
régies fur le traitement chez les femmes; — fymp-
t.ômes accidentels ; — hémorragie de l’urètre ; —
érection douloureufe. pcg. 591. U tilité des faignées
locales dans la cordée 3 — comment on remédiera
à la fuppuraticn des glandes de l’urètre;
-r- aux affections de, la veffie aux gonflemens
du tefticule; — quelques obfervaftons fur la
ceffation des fymptômes de la gonorrhée ; —
détails fur les caufes & le traitement de la gonorrhée
habituelle, pag. 5 9 1 3 593.
GORG ER ET 3 la compofition de cet inftru*
ment 3 -r- celui que préféroit Ledran. pag. 594.
GRELE 5 affeCtion de l’oeil à laquelle cette
dénomination eft applicable 3 — l’opération eft le
feul moyen qu’ on ait pour guérir la maladie ; —
en quoi elle confifte. pag. 593.
G R EN O U IL LE T TE ; tumeur qu’on défîgne
par cette dénomination barbare ; — on regarde
Celle comme le premier auteur qui en ait parlé;
—r diverfité des auteurs fur fa nature 3 — elle eft
une maladie aflez commune chez ceux qui font
un grand exercice de la parole 3 — vient moins
de l’épaiflîffement de l’humeur falivaire que de
l’oblitération de fon conduit, pag. 596. — ou de
la préfence de quelques calculs ; r - quand elles
j font traitées par la fimple incilïon , elles font
î fujettes à retour 3 inconvéniens qu’il y auroit
I d’ enlever le kifte pour empêcher ce retour;-^
la tumeur eft quelquefois fi volumineufe qu’elle
empêche la parole 3 — obfervation relative à ce
fujet ; -r- quand l’extirpation entière delà tumeur
eft néceflaire. pag. 597.
GROSSESSE 3 circonfhnces qu’ on défigne pat
cette dénomination 3 — différentes dénominations
qu’on leur donne ; quelques détails fur les
extra-utérines ; — leurs fignes; — diffentions des
auteurs à ce fujet ; -— conduite à tenir pour
s’aflurer du fait ; — rarement l’enfant parvient à
un développement complet dans les grofieffes
extra-utérines. Tom. I , pag. 599. Groffefles utérines
diftinguées en fimples & compofées ; —
vraies & fauffes ; — difficultés de reconnoîcre les
grofieffes compofées ou multiples, pag. 599 3
600. En quoi confiftent les vraies grofieffes ; —
quelles font les fauffes, — fignes que préfentent
les vraies grofieffes à leur différentes époques.
— développement de la matrice aux différens
termes, pag. 600 3 601.
H
H EM ATO C E LE ; tumeur fanguine au çofdon
fpermatique, communément rangée dans la claffe
des hernies fauffes ; — lieu qu’occupe le fang en
pareil cas ; — auteurs anciens qui ont traité cette
maladie ; — quelquefois eonféçutive à une ponction
faite à une hydrocèle;— les apparences qu’elle
offre font quelquefois les mêmes que celles de
l’hydrocèle, pag. 603. Traitement local fe rapporte
beaucoup à celui ufité dans l’hydrocèle ;
— le meilleur dans les cas où la maladie déri-
veroit de quelques coups récens fur lè tefticule ;
Y-efpèce dont parle Pott & dans laquelle le
fang eft contenu dans la tunique albuginée du
t e f t ic u le ';m a t iè r e quLs’en écoule quand on
y, fait la ponction, pag. 604.
HEMERALOPIE; genre d’albmyopie où l ’on
ne voit bien qu’on plein midi ; — a un grand
rapport avec l’amaurofe imparfaite ; — eft quelquefois
un fymptôme accidentel à quelques maladies,
ou le principe, pag. 603.
HÉMORRAGIES ; diftinguées en idiofympa-
thiques & fymptomatiques ; — moyens employés
par. les anciens pour les arrêter ; — ceux que la
nature emploie ; — ceux actuellement en ufage;
— les aftringens. pag. 603 , 606. La comprefiion ;
— détail de Petit à ce fujet ; — du tourniquet &
de fon ufage. pag. 607 * 608. De la ligature;
— la méthode la plus fimple de la faire ;— celle
ou l’on ne comprend que le vaiffeau ouvert3 préférable
à celle qui comprend avec lui les parties
environnantes, pag. 609 & fuiv. Conduite , à tenir
dans les cas où les artères font trop petites &
trop nombreufes pour employer la ligature ; —
ufage de l’opium ; — topiques, pag. 612 613.
Moyens relatifs à quelques cas; — notamment à
celui d’hémorragie du néz. pag. 6 1 4 , ,615.
HÉMORRHOIDES ; tuméfaction des veines de
1 anus j — l'écoulement qui s’enfuit eft une voie
de décharge ménagée par la nature ; — perfonnes
chez qui il eft ordinaire ; — opinion d’Hippocrate
& de C elfe fur lui. Ibid. Vaiffeaux qui
*e fourniffent & manière dont fe forment les
facs hémorrhoïdaux ; — les hommes y font plus
éxpofés que les femmes. Tom. 1 3 pag. 616,
Divifées en sèches & en fluentes, en internes
& en externes ; — détail, pag. 6 17. Caufes ; —
maladies & accidens qui fouvent en dérivent ;
i — détails, pag. 618, 619. Maladies qui peuvent
fe guérir par l’apparition & l'écoulement. Ibid.
Moyens de guéri fon ; — celles qui doivent être
abandonnées à elles-mêmes ; — topiques propres
à celles qui fluent trop ; — cure radicale ne
S’obtient que par la fouftraction des facs hémorrhoïdaux
5 — traitement palliatif pour celles qui
ne fluent point ; — les indolentes ne demandent
aucuns remèdes ; — remèdes qui conviennent à
celles qui font très-douloureufes. pag. 6 2 0 ,6 2 1 .
Moyens de s’en garantir pris du régime & autres
circonftances. pag. 6 1 1 .
HERNIES ; diftinguées en vraies & en fauffes 5
— diverfes dénominations données aux vraies ;
* — d’où eft venu le nom de rupture donné à cette
affeètioh, pag. 623. Détail anatomique néceflaire
à l'intelligence de la matière, pag. 624. Caufes
occafîonnelles & prédifpofantes. pag. 626. Sac
herniaire ; — la maniéré dont le péritoine le comporte
pour le former. Ibid. Caractères qui dif-
tinguent la hernie inguinale , & quelles font 1er
parties qui peuvent la former comment onia
diftinguera du bubon 3 — de la hernie humorale j
— obfervation intéreffante à ce fujet. pag. 6 i j ,
628. Des différens états & des caufes qui les
modifient, & comment elles influent fur le pro-
noftic qu’on en tire ; — fuppofé que le malade
foit un enfant ; — un adulte ; — que la maladie
foit récente ou ancienne ; — qu’elle foit formée
par l’épiploon ; l'inteftin. pag. 6 2 8 ,6 2 9 . La cure
diftinguee en radicale ou palliative ; — ce que
le chirurgien doit fairè ; — ce qu’ il refte à faire à la nature ; — le charlatanifme s’eft introduit
dans cette partie de l ’art comme' dans toutes les
autres ; — cas où il y a] tout à efpérer de l’application
d’un bandage 3— claffes établies pour
fonder le traitement, pag. 630. Celles qui font
fufceptiblés d’une rédudion immédiate utilité
du brayer en pareil cas ; — erreur où l ’on eft
fur ce qu’ il peut être nuifible aux enfans ; — il
faut placer le bandage après que les parties font
rentrées , & le faire porter enfuite très-long-
tems. pag. 631. Hernies qu’ on ne peut point réduire
quoiqu’elles ne foient point dans un état
inflammatoire ; — difpofition que prend alors Je
fac herniaire ; — changemens qu’éprouve l’épiploon
dans les hernies de ce genre ; — circonftances
qui quelquefois rendent les hernies in te fanai
es difficiles à réduire ; — adhérences des parties
les unes aux autres 3— au fac herniaire ; — utilité
du fufpenfoir alors ; — méthodes qu’on a fuivies
avec fuccès dans quelques cas où les parties
avoient été jugées incapables de réduction ; —
uftè partie peut quelquefois fe réduire fans l’autre.