
p o u rq u o i il arrive plus fo u v en t du côté, gauche j
-—th é o rie q u ’adm et M orgagm ^m oins p ro b ab le que-
la n ô tre 5 — celle du p ro fef. R itch er. Tome 11 *
pag. 4 6 4. L a fa ignée u tile dans le com m en cem en t
& ch e z quels fujets > — u tilité du fufpenfôir ;
— caraplaim es réfo l u t iis 3 — langfues j — dncifions;
r - , l i g a t u r e . ^ . 4
V E N T O U S E 5 d escrip tion ; -— c o n d u ite à te n ir
quand on en v e u t faire ufage > — g e n re d e ven-
to u fe s en .u fag e c h e z ie.s. E g y p tie n s , au d ire de
P ro fp e r A lpin 3 — diftin'guées en sèch es & en
h um ides > — lieux fur Iefquels pn recom m ande
l’ap p lication des v en to ufes f — & p o u r q uelles
a fie d io ias3 — em p lo i q u e le s anciens e n fa ilo ie n t.
Ibid.
VERG E ; diviiion des maladies qui l’affedent 5
— celles qu i ex ig e n t l’am p u tation d e c e tté p a rtie
e ft la g an grèn e q ui cft la fu ite o rd in aire' du
p araphim olis ; -— de-. l’in fe d io n -.vénérienne ; —
d é g én é fe fc ê ces fq u irreu fes d e la v erg e 5 —r- ie
can cer 5-— hiftoire d ’un cas qui e u t des fuites fu-
neftes ; — .es rem èdes g énéraux d o iv e n t to u jo u rs
p ré c é d e r , dans, les cas d ’am p u tation d e ce g en re j
— p o u r quelles raifons 5 — la lig atu re p ro c é d é de
R u iic h & p o urqu o i il le p rê te r o it à to u t a u tre 5
— la réfection lu i eft p ré fé ra b le ./? ^ . 4 6 6. C o m m
e n t o n l’ex é cu te >.— appareil 5 —r panfem ent,} {
— trifm e q u i fo u v en t fu c c è d e à la lig a tu re 5 '
— m an ière d é rtra ite r c o n sécu tiv em en t à l’o p éra
tio n 5 — u tilité d é la fonde ; — accid en t q u i
p e u t ré fu itè r d e fon o ubli 3 — c om m én t on y re - .j
m ed ie. pag. 4 66 4^7. .
V E R O L E j d é fin itio n 1 j — les a u te u rs p o rte n t
l ap p arition de c e tte m aladie à l’année o ù d é b a rq
u è re n t en E u ro p e les flo tte s de l’am iral C o lom b}
— fa caufe re fis d’a b o rd in c o n n u e ; r-^ c è qu’o n (
e n te n d a u jo u rd ’h ui par le te rm e d e m éthode*}'
pag. 467. L es p u llu les , les u lcères j fo n t les p r e - :
m iers fym p tôm es q u i fra p p è re n t le plus } -i- f a fo r-;
m a tio n fu ccède to u jo u rs ;k la fo rm a tio n d ’un
v ir u s } — ce lu i-c i à été- reg ard é com m e d e n a tu re
a c id e ; — raifons ; — le pus en e ft re g a rd é com m e
l ’e x c ip ie n t ;— circo n ftan ces néceffaires à c e t effet.
pag. 468. FawfTeté de c ç tte op in io n d ém o n tré e p ar
div erfes e x p é rie n c e s; Ht le d é lé tè re n e p a rô ît pasi
a ffe d e r indifférem m ent to u te s les fu rfacesd u co rp s;
—ries fu rfa c e sà cefu jet, fo n t diftinguéejs. en fé c ré - '
to ire s & e ir p o reùfes.i ^ n a tu re d e c h acu n e d ’elles.
Ibid. L e v iru s n’o p è re p is to u jo u rs a u flitô t fes
effets } — qu elq uefo is il a g it d’une m an ière fin-
g u lié rem e n t p ro m p te i — ex em p le. pà£. 4 6 9 . L es
e ffe ts c om m en cen t c om m u n ém ent d ’une m anière
fu c c e ffîv e ; - é p ro u vé p a r un exem ple }— cOnfé-
q u ence ; — m u ltip licatio n , d es fo y ers. Ibid. O p inio
n s variées, des p raticien s fiir les ro u te s qui
c o n v o ie n t le$ p rin cip es c fin fe d io n } — B oerhaaye
re g a rd e le tiftu cellu leu x com m e la plus Facile 5
— ré p o n fe à lui fa ire j — a b fo rp tio n vein eu fe
adtnile par d’autres , en conféqùence de laquelle
ils regardoient le fang .& les-humeurs qui end«,
rivent comme infeiités'j; — - featiment fiypothé,
tiquerd'un auteur récent.; — .la route la plus
probable ;eft.celle, qu’ offrent les ramifications du
fyfiême, abfotbant ; t— preuve qu'on en . peut
donner j prilV.de.la formation des bubons;— cette
marche eft' louvenc annoncée par une douleur qui
fuit la marche des lymphatiques:dc. la. verge -, ainli
que par une corde ou uodofiré qui va , jufqu’j
l’aîne 5 — marche ultérieures — phénomènes mot-
bifiques qui iurviennent lorlque les principes
cherchent à (e. fixer ; — d’.oû l'on peut tirer les
raifpris. de 1 leur variété,; - r époque à laquelle ils
parqiiïent ; — cas où l’on -peut faire cefler la; ma-
kdie en extirpant, le : lieu où elle s’eft fixée ; —
genre dfirrita.ion à laquelle,on rapporte k s chan-
gemens qui fe- paffent. alors. Tome I I , paga^jo.
L’extérieur du corps .eft la région la première
infeétée , ainfi que Ig prouve l’apparition des
puftqles ou des dartres à la fuite de la disparition
d’une, gonorrhée i — les ; gOnflemens aux amygdales.;
— jes ulcérations r des narines^l itr- du
palais, ; — du; larinx ; — détails, gag. 4 70 , 471,
A cette première période fuccèdent les phénomènes
qui fiëgent fur le période & les inem-
brqnes qui entourent les articulations.-^ *4- effets
.qui s’enfuivent Suivant les différentes circonf-
tances.}.rn le dernier ordre annonce une affcâion
profonde dans la fubilapceimême des os ; — con-
iufion.qui quelquefois a lieu dans l’apparition de
tous qes fymptômes ;— défordxes qiu font affei
.fouvent. fufçités à l ’intérieur ; :— cavités où ces
circonftançqs ont plus fréquemment lieu ÿjè* obfervation.
de pratique qui mérité la plus.grande
attention ; — d’ où l’ on pourra tirer 'le diagnoftic
de la ,maladie ; — complications qui cachent le
caractèrè de la maladie ; - - c e l le du Scorbut ;:*•
prognoftic ; — fur qutoi,.il peut; être établi ■ }— la
maladie,moins grave adlueftementqu’elle: ne l’étoit
autrefois j .-«t .en général celle . qui occupé les
parties molles, &. qui eft accompagnée de phénomènes.
inflammatoires, eft moins redoutable
que celle qui occupe les parties -dures;.& fans
phlégmafie. pag. 4 7 1 ,4 7 3 ., Raifons qui donnent
naiiïance à. la-méthode, dé tguérir la maladie pat
les purgatifs. Ibid. Berenger de Carpi commence
.à employer , le mercure d’après l ’obfervation ; —
Thierri de Hévimet ce. procédé en vogue ici ;
^ il tombe dans l’oubli i -^-la gayac commence
à être en ufage } — grand fuccès qu’ils ont au
rapport de Nicolas P au l} — méthode de l’admi-
niftrer} — la racine de fquine lui fuccède; m*
puis h falfepareille ; effiçaeité de la méthode
fudonfique ; —- obfervation d’Hunter oùà l’on
tenta i’.ufage de. la gomme de gayac ; — fon fuccès.
pag. 4 7 3 , 474. JConclufion ; — le s -praticiens reviennent
à l’qfage du mercure ; 4— traitement
diftingué en intérieur & en extérieur ; — en >quoi
conliftent Pua & l’autrre j manière donc vraifemblàblement
le mercure agit dans le fyftême ;
—-opinion du D r. Wodward}— identité de celle
de Fordyce; — de Plenck; — ■ d’Aftruc ; — de
j. f ... Petit ; —- doétrine de ceux qui croient que
le mercure agit comme diffoîvant ; — raifons qu’on
a- regardées comme fondant cette opinion ; — le
Dr. Macquer renverfe ce fyftême ; — opinion de
ceux qui rapportent fa fpécificité à la force de
combinaifon ; — admiffible dans le plus grand
nombre dé cas ; — circonftances nécefiairesà cette
gélion ; — tableau des préparations mercurielles ;
— le traitement de la maladie s ’obtient par la
méthode fri&ionëlle & la fumigatbire ; — la première
date de l’apparition de la vérole en France;
— procédé_par la falivation , & procédé par ex-
tir,aiôn ; — il faut y difpbfer lés. malades par les
remèdes généraux. Tom. I l 3 pag. 474 , 47^ 6?
fuiv. Manière donc on fe comportera it l’ on choifit
la méthode par la falivation ; — dofe d’ onguent
qu’on emploiera ; — nourriture du malade ; -—
à, quelle époque la falivation furvient ; — ■ comment
elle s’annonce j ,—=• gargariiine à preferire
alors ; — ulcères qui fe forment à la bouche ne
demandent point de traitement particulier quand
ils font légers ; — quand lesefearres tombent ; —
lesautres fécrétions diminuent pendant que la falivation
a lieu ; •— quand elles ceffenr j— tems où
il faut rapprocher les friélions 5 — qu«nd il convie
nt de purger ; — traitement fubféquent. p . 479 3
480. Précautions à prendre chez les femmes; —
il faudra difpofer les préparations de manièie
u’elles ne prennent point de fiiétion à l’époque
e leurs régies ; — quand on peut croirè queTa
falivation ne fera point orageufe;—- ce qu’ il faut
faire en cas qu’elle le devienne ; — la falivation
ici a été regardée comme une crife ; — ce qu’on
doit penfer de cette opinion j — d’où provient
la propriété falivante du mercure. Ibid. La méthode
par extinétion date du tems de Chicoineau
qui la mit en vogue 5 — en quoi elle confifte; —
fut d’abord vicieulè ; — ufage du camphre en
pareil cas ; — comparée à la méthode de falivation
; — quand elle peut convenir, pag. 481.
Opinion de Bru fur les accidens qui fuivent l’ufage
du mercure ; r— fa pratique & fes opinions fur
l'onguent mercuriel. 482. La méthode fumiga-
toire eft longue 3 ennuyeufe , & fujette à occa-
lïonner des accidens; — quels ils font ; — elle
eft totalement rejettée .; — cas où les locales
peuvent avoir quelques fuccès. Ibid. Traitement
par les préparations mercurielles ; — ce qu’eft le
mercure gommeux j — Plenck eft le premier qui
en ait introduit l ’ufage ; — fon procédé ; — reproche
qu’on peut faire à cette méthode ; •—
ce qu’eft le mercure térébenthiné ; — inconvé-
niens ; — on doit peu compter fur lui ; — le mercure
calciné ou précipité per fe ;— dofes j — inCon-
veniens ; — le mercure fucré 3 — comment il
s obtient} — dofe ; — fublimé corrofif ; — ufité
d'abord chez les Ruffes ; — Boerhaave le vante ;
— V a n -S w ie te n le m e t en v o g u e ; — fo rm u le ;
fuccès 3 —- p ru d en c e q u e fa p re fe rip tio n dem ande ;
— m e rc u re d o u x 3 — calom el 3 — c é lé b rité q u e
■ ce d e rn ie r e u t à L o n d res e n tre les m ains d e
C lark ; — m é th o d e d e c e t em p y riq u e 3 — lo tio n
q u on en p e u t fa ire. Tom. I l , pag. 4 8 5. T u rb ith
m inéral 5 — peu ufité actu ellem en t 3 — rem arq u e
d e S chw 'édiaur fur fon u fag e3 — le m e rcu re n itré ;
— o n g u e n t c itrin 3 — p ré c ip ité ro u g e em p lo y é
com m e to p iq u e ; — g o u tte s du D r. W a rd ; — le
fy ro p d e B ellet p e u v e n t fe ra p p o rte r à ce g en re
d e p ré p a ra tio n , pag. 484. L e m ercu re a c éteu x 5
1 — pillules d e K eifer; — en q u o i confifte la p rép ar
a tio n ;—; te rre fo lié e d e P t efta v in . M é th o d e
m ixte ; - r - e n q u o i elle confifte ; — louanges q u e
lu i' d o n n e. D e h o rn e 3 —- G âteau x d e Bru ; — ;
m an ière d e les faire 3 — th é o rie q u i appuie c e tte
m é th o d e , pag. 484 3 485. M é th o d es em p y riq u es ;
■ ■— tifan ne fudorifique d e V in a c h e 3 — boiffon d é p
u ra n te de V eln ô s 3 — d é c o d io n s v ég étales d e
M i trié ; — rem èd es de l’A ffed è u r 3 — d é tail à ce
fu je t ; — p ro cédés des em p y riq u es. pag. 485
40é . T ra item e n t local eft fo u v en t in u tile 3 — celu i
d u b u bo n ; — des côndilom es ; — c rê te s p o ireaux
i — chouxfleurs 3 — ex o lto fe ; — c arie >
. — o b fe rv a tio n in téreftan te fur c e tte d e rn ière >
— engorgement de • la proft.ite. pag. 486 ,
487. Circonftances particulières aux enfans ; —
détails intérëffans fur ce point ; — fi l’infedion
fe propage par le lait de la nourrice ; — obfervation
de Haller & de Blancard, -— phénomènes
qui ont lieu chez la nourrice qui reçoit l’infection
dp fon nourriflon. pag. 487. Deux méthodes
d’adminiftrer le mercure aux enfans véroles ; —
opinion du Dr. Young fur la manière dont gué-
riffent les enfans qu’allaite une femme en traitement
; — allégation d’autres obfervateurs 3 —
méthode où l’ on fridionne une chèvre pour en
avoir un lait médicamenteux propre à combattre
la maladie ; — fridions confeillées par Bocal pour
les enfans. Ibid. Précautions à prendre quand on
fe difpofe à traiter un enfant en particulier ; —•
manière de le foumettre à la méthode fridion-
nelle ; — ôn s’en difpenfe quand la nourrice fubic
le traitement; — conduite à retfr dans le cas de
groflèffe ; —- le mercure fagement donné excite
rarement la falivation chez les enfans > — preuves
qu’en donne ie D1’. Young ; — dofes 3 — confidé-
rations fur quelques cas crus vénériens > & qui
ne le toi eut point, pag. 489. Détails fur les moyens
de préservation ; — choie néceilaire pour que
celle-ci ait lieu ; — lotion de Mayerne ; — de
Fallope ; — folution de Préval;— eau de chaux;
— affertio n d u D r. B alfour ; — fuc d e lim on ; —
fo lu tio n d e fav.on ; — alkali cauftique ; — in je c tion
s huileufes ; — illin itio n s d ’onguens ; — fo iu -
tio n d e calom el dans un m ucilage 3 — co n clu -
fion. pag. 490 ,4 9 1 .
, VERRUE 3 n aiffent to u jo u rs fu r la p eau & à