
relatifs au traitement de la douleur par des affections
fympathiques 5— moyens d’ en diminuer la ien-
fïbilité j— caucérifation j— extradai on.-T. l 3p. 396,
397. Accidens qui fouvent accompagnent cette
opérations — chicots, pag. 398 , 399. Détails fur
l’ infhmmation du périofte & le gonflement des
racines, pag. 399 6* fuiv. Douleurs nerveufes des .
mâchoires j — ébranlement des dents, pag. 400.
tartre 5 — détails fur cette matière qui encroûte
les dents j — fuites auxquelles elle donne lieu 5
— moyens de remédier à l'irrégularité des denth,
— de leur tranfplantation. pag. 405, 406. Maux
qui peuvent en dériver, — moyens de les éviter
en leur fubftituant des dents mortes ; — comment
on rétablit les dents arrachées mal-à-propos ou
par accidenr j —? quelques détails fur les dents
artificielles, pag. 407 & fuiv.
DEN TITIO N 5 phénomènes qui l’accompagnent,
diftingués en locaux, en généraux 3 &
fympathiques. pag. 409 3 4 0. Traitement local}
■— fi l’on doit s’ occuper du général 5 — utilité de
l ’incifion en par* il cas} — comment on doit alors
la pratiquer, pag. 411 ; — Faits confirmatifs de
cette doélrine. pag. 412.
D E N U D A T IO N } n’eft point une circonftance
défavorable à la réunion des plaies— phénomènes
qui ont lieu quand cette réunion ne peut fe faire}
-— elle furvieRt fouvent dans les cas d'amputation.
pag: 413.
D É P IL A TO IR E S } remèdes acres qui font
tomber les poils 5 — les plus ufités. Ibid.
DÉPÔTS } à quel cas l’on devroit particuliérement
attribuer cette dénomination. Ibid.
DÉPRESSION 3 affeélion propre aux os qui
ont été frappés par un corps confondant } — ■
efpèces & dénominations que leur ont donné les,
anciens }.— détails à ce fujet. pag. 414.
DESSICCATIF } remèdes qu’ on défigne fous
c e nom & leur ufage. Ibid.
D ÎA ÇH Y LUM , DIABOTANUM } ufage de
ces onguens. pag. 415.
D IA CO PÉ } application différente de ce terme
par Hippocrate & Galien. Ibid.
JDI AGNOSTIC, phénomènes qu’ on défigne ain-
fi} — Celfe après Hippocrate eft l’auteur qui s’ eft
Je plus étendu fur le diagnoftic des maladies chirurgicales
; — auteurr qui les ont approchées }
*— différentes dénominations quo les auteurs ont
données aux lignes diagnoftics. p. 4 1 5 ,4 1 6 .
DIA STA SE , SUBLUXATION } incertitude
où jettent les auteurs fur la véritable lignification
de ces deux mots 3 — ce que penfe J. L. Petit
fur la diaftafe des os de l’avant-Dras } — quelques
faits fur celui du péroné} — indications à remplir.
ibid‘
DIGESTIFS 3 propriétés de ces remèdes j —
ceux qu’on doit ranger dans cette claffe. p. 417,
D IL A TA NS 5 cas où l’on a recours à ces
remèdes 5 — leur utilité 5 — leurs inconvéniens;
■— lubilances qu’on doit regarder comme telles}
Ibid.
D IL A T A T IO N } effet du remède dilatant5 —.
erreur où font tombés les modernes fur la véritable
acception de ce terme, pag. 418.
DILATOIRE 5 infirmaient ufité chez les Litho-
tomiftes du commencement de ce fiècle 3 &
tombé a&uellemenr en défuétude 3 — ceux que
les modernes ont inventés pour difféiens ufages,
Ibid.
DISCUSSIFS 3 remèdes qu’ on défigne ainfï j
— claffe que Plenk en offre, pag. 419.
DISTICHLASIS 5 af£eélion des yeux où une
double rangée de cils garnit les tarfes 5 — phénomènes
qui s’enfuivent 5 — manière d’y remédier.
pag. 420. .
DISTORSION 5 état des membres ou de l’épine
produit dans la jeunette 5 — dérive fouvent du
ràkitis 5 — quand cette affe&ion eft curable 3 —
: moyens topiques les plus recommandés en pareil
cas}— obfervations nécefiaires à conoîtré en pareils
cas 5 — moyens mécaniques les plus convenables
en plufieurs circonftances. pag. 4 1 1 .
DIVISIF} forte de bandage ufité dans les
grandes brûlures de la gorge 3 — comment üje
fait. pag. 422.
D O IG T S 5 maladies les plus ordinaires de ces
parties 3 — manière de réduire leurs phalanges
quand elles fe font luxées 3 — leurs fraàuresj —
manière de les traiter. Ibid.
DOULEUR } travaux des praticiens pour en
diminuer la violence dans le traitement des maladies
& les opérations chirurgicales 3 — tentatives
de Moore dans ce dernier cas , — machine
de fon invention pour répondre à fon intention}
— effai dans un cas d’ amputation, pag. 413,424
DRAGONEAU 5 genre de maladie qu’on çarac-
térife ainfi dans les Indes 5 — obfervation relative
à ce fu je t } — s’obferve non - feulement chez
l’homme mais encore chez les animaux 3 — caufes
de cette maladie développée 5 — fyrçiptômes que
le ver une fois développé peut occafionner j —1
précautions à prendre pour prévenir cette maladie
3 — procédé curatif à fuivre dans les cas
les plus ordinaires 5 — moyens d’extraélion con-
feillés par les auteurs 3 — ce qu’ il faut faire dans
le cas de rupture. Tome. I , pag. 424 & fuiv.
DRAPEAU 3 genre de ptérygium qui croit
fur la furface de l’oeil, pag, 427.
DURE-MERE 5 affeétions chroniques de cette
membrane, qu'on peut regarder comme chiitirgicale,
ou des tumeurs fongueufes & des fon-
fcofités de la dure-mère , — les premières naiflent
fpécialemenr fur la furface qui adhère au fommet
du crâne ou a fa bafe; — leurs caractères ;— fuc-
cèdent le plus fouvent aux coups reçus à la tête ;
— la douleur en pareil cas eft le ligne précurfeur
de la maladie; — obfervations de Louis à ce
fujet; — phénomènes fucceftifs tels qu'ils fe pré-
fentent à la vue & au taéi ; — progrès de la
maladie ; — incertitude du diagnoftic dans le commencement
; *— apparence quand elle paroît au-
dehors ; ■ pronoftic ; — la comprelïion eft le
premier moyen curatif que l'on ait eu en vue ;
moyen de la produire ; — l'incifion ; — procédé;
— cathérétique ; — excifion dans les cas où la
tumeur feroit à pédicule ; — il faut emporter
routes les racines de la tumeur ; — obfervation
de Marc-Aurèle Severin fur un pareil cas. Tome I ,
pag. 4 2 8 ,4 2 9 & fuiv. Les fongofités de la dure-
mère font toujours confécutives à la deftruéfion
du crâne ; — leur diverfité quant à leur manière
de naître ; — leur caractère ; — difficulté de leur
attribuer une caufe ; — celle qui paroit probable
; — premiers moyens qu'on a employés pour :
les combattre ; — remèdes propofés par les auteurs
à ce fujet ; — utilité des déterfifs ftimulans ;
— des lotions cathérétiques ; — des cauftiques ;
— la tumeur, malgré tous ces remèdes, reparoît
fouvent, & même prend un caraétère carcinomateux.
pag. 4 3 1 ,4 3 2 .
E
F.AU D'A LU N ; nom donné à une folution
de cette fubftance faline & de vitiiol blanc 3
elle eft employée pour déterger & cicatrifer les
ulcères, pag. 433.
— D'arquebufade ; ainfi nommée de fon ufage
dans les plaies d’arquebufes 5 — fa compofition.
Ibid.
‘— Bleue ; fa compofition 5— ufitée dans la dé- ■
terfîon des ulcères. Ibid.
— De chaux ; fa faculté déterfive & deflîccative
dans les éruptions dartreufes & hydrocèles. Ibid.
— De Rabel; fa compofition 5 — cas où elle eft
recommandée. Ibid.
— P hagédénique ; fa compofition & fon ufage.
Ibid,
ÉCARTEMEN T 5 application de ce terme 5
“r comment cet accident peut provenir d'une
manière lente , & brufquement par une violence
extérieure 3 — la première efpèce a lieu dans ,
1 hydrocéphale des enfans } — le plus fréquent
eft celui qui arrive aux os du baflin 3 -— l'écartement
qui vient lentement eft propre aux enfans
rachytiques 5 — obfervation de Battus à ce fujet 3
^ celui qui arrive fpontanément eft fouvent la
fuite d'une chûte ou d’un coup r e ç u ;— fymp-
tômes qui furviennent alors ; — les remèdes
généraux font alors les feuls moyens de guérifon >
1 — obfervation intéreffante à ce fujet. Tome I ,
■ P“S- 435i 4334- . 433-
ÉCHYMOSE ; les chûtes , les exrenfions violentes
, les ligatures en font les caufes les plus
1 ordinaires ; — cas où les aftringens & les réper-
culfifs font indiqués ; — les meilleurs en pareil
^ cas ; — cas où la faignée convient ; — quels font
; les lignes qui annoncent la réfolution de l'échy-
’ mofe; — cas où les répercuflifs froids ne conviennent
point ; — quand il convient d’avoir
recours à l'inftrument tranchant pour évacuer le
fang épanché ; — lignes qui font reconnoître
l’échymofe de la gangrène ; — obfervation cu-
tieufe de Fabrice de Hilden à ce fujet. pag. 43 c- ,
436.
ECHARPE ; manière de bien faire ce bandage ;
— autre efpèce^ pag. 437.
ECLISSES; petites pièces de bois fort minces
deftinées au traitement des fraâures; — d'où leur
vient le nom de férule que les anciens leur don-
noient ; — les meilleures ; — tems où Hippocrate
les employoit. pag. 4 3 7 , 438.
ECROUELLES ; gonflement des glandes qui
caraétérife cette maladie , — elle fe déclare généralement
dans l'enfance , — phénomènes qui annoncent
une tendance à cette maladie ; — caufes
occafionnelles qui peuvent l'exciter ; — fon fiége ;
— fymptômesqui annoncent fon commencement;
— les éruptions fe font fouvent fur le voifinage
de la bouche ; — les tumeurs qui paroiflent font
long-tems. fans fuppurer ; — genre de pus qu’elles
rendent quand elles tournent à la purulence ; —
la caufe du mal fouvent fiége fur la hanche, &
va jufqu'a opérer un déboîtement ; — fymptôme
extérieur en pareil cas ; — gonflement, — fièvre
lente ; — ulcération, pag. 438 , 439 , 440. Phénomènes
qui ont lieu lorfque le mal attaque les
principales jointures ; — leur fucceflîon ; — lorsqu'il
attaque les doigts , les orteils ; — les tefti-
cules en font quelquefois le fiége ; — erreur de
ceux qui ont pris ces tumeurs pour être fquir-
reufes. Ibid. D'où le pronoftic doit fe tiret ; — .
rémedas confeillés pour le traitement radical ; —
quels font ceux qui conviennent lorfque les
premiers fymptômes extérieurs paroiflent ; —
ufage du cotome! ; — comment on fe comportera
dans la cas où les - glandes tourneroient à
fuppuration ; conduite à tenir dans le cas- où
les yeux feroient affeâés ; — ce qu’ il faut pref-
c iire dans les cas où le mal eft opiniâtre &
ancien ; — ufage de la ciguë & du quinquina ;
— dans le cas où le tefticule feroit le fiége de
la maladie ; — attention particulière à avoir dans
le cas où le fein feroit affefté ; — lorfque les
hanches font le fiége du mal ; — les meilleurs