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dans ceux où l’os étoit à découvert j — perfection
que Pouteau a faite à cette méthode en in-
cifant le lac au-dedans de la caroncule. Tom. I ,
pag. 7 , 8 . Addition que fait Méjean à la méthode
d’Anel 3 — avantage qui réfulte de cette nouvelle
méthode ; — cas où elle convient s — efforts
fucceffifs de pluAeurs praticiens pour la porter
au plus haut point de perfection ; — méthode
des injeCtions par le n ez, inventée & perfectionnée
par Laforêt j — ce que cette méthode a contre
elie. pag. 9 , i o , u . Réfumé où l ’on revient
fur chacune de ces méthodes pour apprécier leur
utilité dans les différens cas. pag. n & fuiv.
LACS j bande de différens tiffus & matières
deftinées à porter un effort fur une partie s —
pourquoi on ne fe fert pas de lacs de laine ;—
les anciens comme les modernes ont parlé des
lacs > — règles généra’es données fur leur application
5 — règles particulières, pag. 13.
LAGOPHTALMIE ; en quoi conAfte cette
maladie 3 — comment elle arrive 3 — remèdes
u'on lui oppofe communément ;— quatre caufes
u raccourciffement de la paupière fupérieure
adm:fes parles anciens}— opération à laquelle
ils avoient recours en pareil cas 5 — obfervation
de Maître-Jean à ce fujet. pag. 14.
LAMBEAU ; raifons qui ont déterminé à faire
l ’ opération caraCtérifée fous cette dénomination3
— motifs de ceux qui ont cru que Celfe en ayoit
parlé 3— Lowdham en a le premier fait mention j
— Verduin l’a enfuite pratiquée ; — détails fur
cette opération 3 — appareil 3 — ■ perfections que
lui ajoute Garengeot 5 — inconvéniens que lui ont
reconnus les praticiens, pag. 14 & fuiv.
L A N C E T T E 5 la c om p ofîtion d e c e t inftru-
m e n t ; — q u a tre fo rte s d e la n c e tte à grain d ’o rg e 3
— à grain d’avoine 5 — pyramidale 3 — à abcès j
— avantages & inconvéniens de ces lancettes 3
— les qualités qu'elles doivent avoir, pag. 17.
LAN GU E 3 maladies auxquelles cette partie
eft fujctte } ■ ulcérations que les dents cariées
y caufent } — tume faCtion des mammelons glanduleux
pris pour une végétation cancéreufe 3 —
exemples cités par Louis & Morgagni 5 — cancer
qui la rongent ; — exemples cités par Foreftier,
Fabrice d’Acquapend *nte & Louis-.— obfervation
de Raifch où le cautère actuel eut le meilleur
fuccès } — réfedion de la portion cancérée 5 —
difficulté de fixer la langue en pa*eil cas 3 —
moytn plus doux propofé } — remèdes qui ont
réuffi , & obfervations à ce fujet ; — gonflement
fpontané de cet organe } —- obfervations des
différens au eurs 5 — incifions propofées en pareil
cas. pag. 18 & fuiv.
LEUCO'vTÀ 3 cicatrice blanche qui refte fur
la cornée tranfparente 5 — ne doit point êtje,
co n fo n d u e av e c l’a lbugo ; — fes efp èces & fet
m oyens cu ratifs. Tom. I l , pag. 2 1 , 22.
L E V IE R j in ftrum ent p ro p re à fe m o u ler fur
la tê te d e l’en fan t & fe rv ir à fon e x tra d io n 3 —
on p o u rro it lu i fu b ftitu e r ia cu illère d ’u n e branche
d e fo rcep s , q u and o n n’a p o in t d ’a u tre m oyen;
— d é ta il fur celu i d e R o h u in ifen ; — quand il
fa u t re c o u rir au le v ie r ; — fu r q u elle p artie il
fa u t l’ap p liq u er ; — p ra tiq u e p o u r le cas o ù l'occ
ip u t ré p o n d au p u bis & la face a u facrum 3 —
o u le fro n t ré p o n d ro it au p u bis & l’o cc ip u t au
facrum ; — lo rfq u e la tê te s ’eft en g ag ée dans une
p o lïtio n tran fv erfale , e n fo rte q u e l ’o c c ip u t rép
o n d e à F un d e s tro u s o valaires 3 — quand celui»
ci ré p o n d à l’u n e d e s éc h an c ru re s ifchiatiques.
pag. i l 3 23.
L IE N S ; b an des d eftinées a c o n te n ir les malades
dans les g ran des .o p ération s 3 — defcription
d e ceu x u fîtés dans l’o p é ra tio n d e la taille ; —
ce te rm e eft e n c o re ap p liq u é aux ru b ans deftinés
à c o n te n ir les fan o n s, pag. 25.
L IG AM E N S } ceux des a rtic u la tio n s fu jets à
b e au co u p de m aladies q u i fo u v en t o n t d e s fuites
g raves à la fu ite d e s luxations ; — leu rs plaies
fo n t len tes à fe c ic a trife r ; — on , d o it chercher
to u s les m o y ens d ’em p êch er l’accès d e l’air fur
eux ; — m o y ens d ’y réuffir q u and la circonftance
le p e rm e t 3 — u tilité des antip h lo g iftiq u es 5 —
c om m en t o n fe co n d u ira dans les cas fuivis de
fu p p u rau o n ; — cas o ù il fa u t en v e n ir à l’amp
u ta tio n . pag. 2 £ & fuiv.
L IG A T U R E 5 b an de d e laine u fitée dans l’opéra
tio n d e la faignée 5 — m an ière ’d e l’appliquer
fuivant les différens cas 5 — in c o n v é n ie n t auquel
on p e u t o b v ie r p ar un m oyen Ample 5 — fe dit
auffi d ’un m o y en c h iru rg ic a l ap p licab le à différen
s cas 5 — q u e lq u e d é ta il fu r la lig atu re de
l’a rtè re in terco ftaîe. pag. 19.
L IM E S 5 qualité de l ’açier dont elles font
formées ; — différentes efpèces 3 — prefcription
dans leur emploi. Ibid.
L IN G U A L 5 m achine d eftinée à a id er à la
réu n io n des p laies tranfverfales de la langue 5 —
la difficulté d e la fu tu re a fa it im ag iner ce bandage
à P ib rac. Ibid.
. L IN IM E N T 5 g en re d e m éd icam en t huileux
q u ’o n ap p liq u e en fro tta n t la p a rtie 3 — efpèces ;
— an o din ; — blanc 5 — cam p h ré 5 — v o la til}
— cas où ils conviennent, pag. 30.
L I P O M E , fe d iftin g ué fo u v en t difficilement
d ’une lo u p e ; — c u ra tio n . Ibid.
L IT D E M IS E R E n 'e ft p o in t u fîté ch e z beauco
u p d e n atio n s ; — liège u lité en F la n d re , en
H o llan d e , en E fpag n e ; — c om m en t on fait un
lit d e c e tte efp èce ; — m an ière d ’y placer 1»
d e s M A
femme , — quand elle doit s’y mettre. Tom. 1 ,
t ag. i l -
LITH O TOM E i inftrument tranchant deftiné
à fe faire voie dans la veflie pour en extraire
la pierre ; — progrès fucceflifs de l’art fur ce
point. Ibid.
LOUPE ; quelques détails fur le tiffu cellulaire
propres à conduire à l'étiologie de la maladie.
pag. 31. Trois efpèces;— l’athérome; — le méli-
ceris ;— le ftéatome ; — ce qu’on entend par mole ;
— la confiftance de la matière varie dans chacune
de ces efpèces 5 — elles groliiffent infenfiblement ;
— leur caractère, p. 33. Moyens internes de guéri-
fon;— procédés manuels ;— .manière dont on doit
les attaquer par incifion. p. 34. Conduite à tenir
lorfque la loupe adhère à- des parties qui demandent
un très-long-tems pour être ménagées 5
— conduite à tenir à l ’égard desvaifleaux voifins;
— fi Ton doit retrancher la peau ;— fi Ton préférera
le cauftique. Ibid.
LU E T T E ; fe relâche; — s’allonge; — acci-
dens qui s'enfuivent ; — moyens curatifs préliminaires
; — réfeétion ; — Celfe en a parlé ; —
prefcription qu’il donne à cet égard ; — difficultés
qu’y trouve Fabrice d'Acquapendente ; —
anneau cannelé d’Hildanus ; — kiotome de De-
fault;— ligature., pag. 3f.
LU X A T IO N ; les premières notions fur cette
matière ont été données par Hippocrate dans fon
livre De Articulés ; — connoilfances qu'exige ce
genre de maladie ; — la luxation eft parfaite ou
imparfaite ; — acception de ces termes ; — fimple
oucompliquée ; — développement;— récente ou
ancienne ; — fupérieures , inférieures, antérieureSj
poflérieures ; — erreur où peuvent jetter ces dernières
dénominations. Ibid. Elles proviennent toujours
d'un effort ou de quelques vices qui naiffent
fpontanément dans les articulations ; — de ces
dernières font l’abondance de la finovie ; — la
préfence du pus dans l’ article ; — ■ .l’atonie ou
paralyfie ; — les couvulfions ; — une exoftofe née
au fond de l’article, pag. 36. Se reconnoît à une
déprefîion dans l’endroit d’où l’os eft forti ; —
à une tumeur où la tête eft ; — à la gêne des j
Hîouvemens ; .— lignes qui annoncent celle de
caufe interne. Ibid. N ’offre par elle-même aucun
danger pour la v ie , fi ce n'eft par les accidens ;
— celles de caufe interne plus fâcheufes que
celle de caufe externe ; — les anciennes plus
que les nouvelles ; — celles qui font incurables ;
Pag. 37. Indications qu’elles préfentent ; — à
quoi il faut faire attention avant de fatisfaire à
ce qu'elles peuvent offrir ; — circonftances qui
font au-deflus de toutes confidérations ; — efforts
qu’on doit faire furies membres pour les réduire 3
défignés fous les dénominations d’extenfion . de
contre extenfion & de coapration ; ■— comment
ils s’exécutent ; — préceptes à ce fujet ; — erreur
r I E R E S ;
des anciens dans l ’emploi des forces ;— ce qu’il
faut faire quand on a déplacé la tété de l’os ;
— rifques que l’on court quand on agit imprudemment
; — à quoi l’on eft conduit à croire
que la tête eft cachée dans fa cavité ; — pofttion
à faire tenir alors au membre ; — cas où l’application
d’ un bandage devient néceflaire ; — conduite
à tenir dans le cas où la maladie feroit compliquée
de fraélur'e. Tome II. pag. 37, 38. Utilité du
moxadans les luxations qui pioviennent d’engor-
gemens féreux ; — conduite d’Hippocrate en
pareil cas ; — ufage des bains froids ; — des veA-
catoires. pag. 39. Quelques détails fur la luxation
des tendons hors de leurs gaines. Ibid.
M
MACHOIRE (inférieure) ; genre d’articulation
de cet os avec la glêne de l’os temporal ;
— il eft expofé à des fractures de différens genres ;
— peut avoir lieu dans fon corps ou dans fes
branches 5— peut être avec déplacement ou fans
déplacement ; — à quoi on reconnoît ces différentes
efpèces j — accidens qui peuvent les compliquer
3 — conduite à tenir lorfqu’il n’y a point
de déplacement 3 — lorfqu’il y en a un. pag. 40.
Circonftances où les dents font forcées de leurs
alvéoles ; — ufage de la fronde; — du chévètre ;
— manière de faire celui-ci ; — préférence qu’on
doit donner à la fronde fur ce dernier ; — conduite
à tenir quant au régime, pag. 4 0 ,4 1 . Luxation
de la mâchoire ; — quelques détails fur la
manière dont elle peut avoir lieu ; — Agnes qui
annoncent la luxation parfaite ; — ils avoient déjà
été cités par Hippocrate 3 — ceux qui indiquent
l ’imparfaite, pag. 41 , 42. Caufes internes qui
peuvent la produire; — accidens qui furviennent
d'abord font peu confidérables 3 — plus graves
chez les perfonnes d'une complexion plus irritable;
— moindres chez les vieillards; — quelques-
uns d’eux ont même pu fût:.-ivre à la non-ré-
duétion de l’os Ibid. --Conduite à tenir pour
opérer la réduction , — ce qu'il y auroit à faire
dans le cas où la méthode propofée ne réuffiroit
point ; — méthode ingénieule décrite par Ravaton 3
— la luxation incomplette plus difficile à réduire
que la completce 3 — moyen d'y parvenir. —
Pag- A1 i 43-
MADAROSE ; chute des cils 3 — arrive fouvent
à la fuite des Aèvres qui ont duré long-
tems ch z les épuifés 3 — regardée comme un
fymptôme de ve role , — de l’éléphantiaAs; — ne
dérive fouvent que d’un vice local 3 moyens
curatoires. Ibid.
M AITRE S ( en chirurgie ) 5 perfonnes qui
méritent ce titre ; — fageffe dès loix établies relativement
aux études, aux travaux & aux a êtes
néceiîaires pour l’obtenir 5 — néceffité des h ttres
de maitrife-ès-arts pour ceux qui fe propofeni