
cherche à en faite l ’extraCtion ; — précautions à
prendre en pareil cas. Tom. 13 pag. 331 352.
Comment on doit fe comporter quand ils font
•entrés dans les yeux 5— dans l'flEfophage./?. 352 3
353- ■— dans la trachée - artère 5 — ou engagés
lous la peau. pag. 35-4, 35y .
CORROBORANS , ils font aromatiques j — ■
amers ; — fpiritueux ; — aqueux 5 — froids.
pag. 3j6-. :
’ CORS ; raifon de la dénomination que leur
donnoient. les auteurs latins ; — ils font le produit
ou répaifliflfement de l'épiderme ; — moyens de
s'en délivrer ; — précautions à prendre quand
en les enlève. Ibid.
CO T E S ; leurs ufages généraux 5 — affeCtions
différentes qu'ils peuvent éprouver à la fuite
d'une violence extérieure ; — elles fe fracturent
plus fouvent qu'on ne penfe ; — cas où la felure
peut avoir lieu ; — ne font point toutes également
expofées à être fraCturées ; — rarement il
n'y en a qu.'une fra&urée 5 — • fra&ure en dedans s
fraCture en dehors ; — ce que J. L. Petit entend
par ces dénominations ; — comment on les re-
connoît ; — traitement qu'Hippocrate fuivoit en
pareil cas ; — ce qu'il y a à faire dans les cas
les plus ordinaires ; — quand les deux bouts de
la côte font en dedans ; — quand ils font en •
dehors, pag. 3 5 7 , 358. C e qu'on doit entendre !
par l'enfoncement de la côte ; — leur luxation
n ’a point été traitée particuliérement dans les •
ouvrages des anc iens;— Paré eft le premier qui
en ait fait mention ; — J. L. Petit ; — Duverney \
fo n t palfé fous filence ; — ce qu'en dit Platner ; :
— Buttet ; — lignes & traitement que cet auteur
établit, pag. 3 jS 3 359.
C O T T O N j ufage de cette production végétale
dans le traitement chirurgical. Ibid.
COU P DE MAITRE ; ce que les praticiens .
entendent par cette dénomination, pag. -360. ;
COU P DE SOLEIL ; maladie très-fréquente ;
à la campagne ; — effets qui ont lieu fur la peau ;
■—t quand l'impreflion fe porte fur la membrane
pituitaire s le^ corifa furvient avec fes phénomènes
; — ce qui arrive quand l'effet fe paffe
fur le cerveau ; — la mort fubite quelquefois
s'enfuit ; ■— moyens curatifs à oppofer à la caufe.
pag. 360, 361.
COURONNEMENT ; ce que ce terme déligne
en accouchement ; — circonstances qui rendent
ce t état de longue durée, pag. 361.
CO U TE AU -CO U R B E , détails fur cet inftru-
ment ; — le droit lui eft préféré ; — détails fur
celui-ci ; — lenticulaire ; — fon ufage dans l'opé^-
ration du trépan, pag. 363.
COU VR E -CH E F ; diftingué en grand & en
p e tit; — le premier fe fait avec une ferviette ;
— manière de l'exécuter ; — le fécond avec un
mouchoir quarré 3 plié eh triangle. Tom. I , p. 36a,
C R O CH E T ; utilité de cet infiniment quand
il s'agit d'extraire quelques parties de l'enfant
reliées dans la matrice , & qui ne peuvent forcir
par aucun autre moyen ; — defeription de cet
inftrument ; — ceux que Levret avoit imaginés à
ce fujet ; — production de Menars & Solayres
en ce genre;— manière d’employer ce moyen j
— cas où ils font avantageux ; — les régions de
la tête fur lefquelles ils peuyent être appliqués
avec le plus d’avantage ; — procédé.p. 364} 3
i C R O CH E T A C U R E T T E ; fon utilité dans
l’opération de la taille. Ibid.
CUISSE ; la fraCture de cette partie peut avoir
lieu dans la diaphyfe, fupérieurement ou inférieurement
; — les efpèces ; — procédé de curation
dans le cas de déplacement ; —— moyens
d'extenfions & cont-e extenlions dans les cas de
réductions. — machines de Gooch & d’Aitken
pour empêcher le déplacement, pag. 367. Quand
la fraCture eft au col du fémur; — erreur des
praticiens en pareil cas ; — comment & en quels
cas cette fraCture arrive le plus communément;
— accidens & fignes qui l'accompagnent; —
: pronoftic ; — moyens de curation ; — manière
• de faire les extenfions & contre-extenfions ; —
méthode de Foubert. pag'. 368 ,36 9 . La luxation
de la cuiffe efl rare ; — en combien de manières
elle peut avoir lieu ; — lignes qui .établirent la
préfence de ces différentes efpèces ; — eft très-
fâcheufe ; — doit être réduite le plus promptement
poffible; — obférvation de Louis fur l’emploi
des liens & machines ; — méthode de Dupoui
pare aux inconvéniens; — développement de fon '
procédé; — luxation arrive fouvent long-tems
après l'effet de la caufe déterminante ;.— détails
fur cette efpèce qu'on appelle fecondaire. p. 370
& fuiv. ■
CLTLBUTE ; forte de mouvement que fait
l’enfant vers la fin de la grofTeffe; — pofition de
l’enfant dans la matrice ; — détails qui tendent
à établir que la culbute n'a point lieu ; — ce que
la raifon & l'expérience donnent lieu d'établir à
ce fujet. pag. 372 ^ 373.
C Y S TO C E L E BILIAIRE ; amas de bile dans
la veffie ; — notions que J. L. Petit 3 établies
fur cette maladie ; — inflammation du foie qui
la précède > — erreur où peuvent tomber les praticiens
quand elle la reffent , & que la bile
l'arrête dans la véficule ; — développement à ce
fujet ; t— fignes de la rétention de la bile comparée
avec ceux de la fuppuration qui furvient
fouvent en pareil c a s ;— caufes qui concourant,
& qui même feules effectuent la rétention de h
bile dans la véficule ; -— fignes qui indiquent la
maladie en pareil cas. pag. 375.
CYSTITOME ; inftrument deftiné à ouvrir. U
capfule du criftallin ; — manière de fe fervir de
cet inftrument. Tome I S pag. 376.
D
DARTRES ; affeCtion de la peau qu'on caractérise
Spécialement fous cette dénomination ; —
quatre efpèces , favoir 1 la dartre farineufe , la
puftuleufe , la miliaire & la rougeante.— La
dartre farineufe attaque indifféremment toutes le$
parties du corps ; — comment elle fe manifefte ;
— comment la puftuleufe fe préfente ; — où elle
paroît le plus communément ; — comment paroît
fa miliaire ; — démangeaifon qui le plus fouvent
l'accompagne ; — d'où la dartre rougeante a pris
fa dénomination , ■— phénomènes de cette efpèce ;
— endroits du corps où elle paroît le plus communément.
pag. 377. Point de théorie néceffaire
à établir pour le traitement des dartres ; — com-
paraifon à ce fujet entre ce qui arrive aux ulcères
des jambes & aux dartres ; — fait d’où l'on pour-
roit conclure que les dartres font une maladie
purement locale ; — réponfe à l'argument tiré
de la répereuffion de cette maladie ; — concluon
s des prémices. — Les anciens feTont ’ fouvent
plus occupés du vice local dans le traitement de
cette maladie que du vice général; — Premier
point fur lequel on doit infifter dans les maladies
de ce genre ; — ■ circonftances qui demandent
lafàignée. pag. 378 , 379 & fuiv. L'eau de chaux
eft le meilleur topique dans les dartres légères ;
— efficacité des {blutions de plomb dans le v inaigre
; — - de l'eau de Goulard ; — des terres
bolaires ; •— des préparations de zinc ; — du
fublimé corrofif ; — onguents préparés avec ces
fubftances ; — cas où les bains d'eaux thermales
conviennent-; — les fudoriftques ; ■— les mercu- j
fiels ; — les antimoniaux ; — les purgatifs ; — les
jus d’herbes ; — les plantes hépatiques; — amers;
efficacité du cautère en pareil cas ; — remèdes i
les plus efficaces pour calmer 1 inflammation qui
accompagne la dartre rougeante ; — traitement
plus efficace dans les cas d’ulcérations profondes.
pag. 380 , 381. Remèdes qui conviennent lé plus
dans les cas de dartres légères ; — les remèdes
doivent être long-tems continués ; — • maux qui
s’enfuivent fouvent de la répereuffion des dartres.
Pag. 382.
DAVIER ; extrémité antérieure & poftérieure
qu’on diftingué dans cet infiniment ; — ■ deux
mâchoires a diftinguer dans cette dernière * l'une
supérieure & l’autre inférieure ; — chacune doivent
être d'une trempe très-dure pour réfifter à
l’effort qu'elles font fur la dent ; — parties qui
compofent l'extrémité poftérieure;-— leur longueur
; 7— variété de ces inftrumens adoptés par
les dentiftes. pag. 383. __
ÛÉCHAUSSOIR ; inftrument tranchant deftiné
à féparer les gencives d'autour des dents qu’on
veut arracher ; — détail fur cet inftrument.
Tome I , pag. 38}.
DÉCHIREMENT ; comment les parties peuvent
éprouver ce genre de folution de continuité;
— circonftances où l'arrachement a lieu ; — cir-
conftance où l'on peut regarder le déchirement
comme provenant d’une caufe interne, comme
il arrive dans le cas de rupture de matrice ; —
différentes parties du corps où le déchirement
arrive le plus fouvent ; exemples relatifs à l ’arrachement
; — raifon pourquoi le déchirement
occafionne plus fréquemment des accidens que
l'arrachement ; — la meilleure manière de remédier
aux accidens qui fur viennent alors, pag. 383 ,
384.
DEFENSIF ; remèdes deftinés à prévenir l'inflammation
& l'engorgement d'une" partie ; —
ufîtés dans le traitement des plaies , des entorfes ;
- 7 font tirés de la claffe des aftringens & des
répereuffifs ; — ceux qu'on délïgne fous le nom
d'animés ; — plus recommandés chez les anciens
que chez les modernes ; — l'eau froide eft le
meilleur de tous. pag. 384 385.
D É L ITE SC EN C E ; genre de métaftafepropre
aux apoftêmes ; — E différence de la métaftafe
proprement dite ; — peut avoir lieu même lors
de la terminaifon en fuppuration. Ibid.
DÉLIVRANCE ; travail fecondaire qui s'opère
après l’accouchement pour expulfer les annexes
de l'enfant ; — doCtrine néceffaire à entendre pour
bien concevoir les procédés relatifs à la pratique.
— les douleurs qui aboutiifent au baffin font préfumer
que la délivrance ne tardera pas à avoir
lieu ; :— phénomènes qui furviennent alors ; —
pratique a fuivre quand le placenta eft détaché
en un endroit, quelle eft la conduite à tenir
pour terminer le décollement, pag. 383 , 386.
Comment il faut procéder dans le cas de rupture ;
— dans celui de perte ; — Iorfque la matrice eft
dansunétatde fpafme.pag. 387. Dans le cas où le
placenta éprouveroit quelque dégénérefcence ;
— où il y auroit chatonement ; ;— où le placenta
feroit implanté fur le col de la matrice ;— dans
le cas d'avortement ; — fuppofé qu’il y eut plu-
fieurs enfans. pag. 388, 359.
DENTELAIRE ; les feuiîles & les racines ont
été recommandées dans les affections cancéreufes.
pag. 390.
D E N T S ; détails anatomiques nécefTaire*.
P . 390, 391. Maladies qui affeCtent ces parties , —I
détails fur la carie & la douleur qui l'accompagne.
pag. 392 3 393. Traitement de la carie par le
moyen dé la lime ; — procédés à fuivre. p. 394.
Par l’obturation en bouchant l'ouverture avec
de la cire 3 du coton , du plomb ; — manière de
procéder dans tous ces cas. pag. 39/. Détails