
C A L y dureté formée dans le corps de rép iderme.
Tom. / , 148.
C AL ; fubftance folide, deftinée à unir Tune
à l'autre les deux extrémités d’un os fradturé j
— difcuflion fur la manière dont les os fradturés
fe foudent 3— opinion de ceux qui l'attribuent à
1 induration du période j — cellè de ceux qui la
rapportent à l'épanchement & à la folidification
d’ une matière concreflible qui fe fait entre les
extrémités rompues} — théorie de J L Petit à
ce fujet *, — fondé fur les faits 5 — l’obfervation 5
— ré ap tu dation, pag. 249.
C ALI GO } affcétion de l’oeil où des nuages
femblent affcéter l’oeil. Ibid.
C A L O T T E } application de ce moyen aux
vices du crâne , dérivés d’une maladie antécédente
qui a exigé quelques opérations fur cette
partie}— mojens ulités en pareil cas j — incon-
véniens>— confeils de Paré relativenent à lui. p. 250.
C A L L EU X } état des ulcères dont les chairs
endurcies ne peuvent former cicatrice 5 — ou
remédie à cet état en emportant ces chairs ou les
rcngeant avec des efcharrotiques} — faits relatifs
à ce fujet pris de la fiitule à l’anus, au périné }
— doctrine de Pott. pag. 250, 251.
% C AM A R 0 S1S 5 genre rare de fra&ure au
crâne, pag. 252.
CAMOMILLE , ufitée dans les fomentations
aromatiques & réfolutives. Ibid.
CAMPHRE 5 employé comme anti-phlogifti-
que , r .fo lu t if, antifeptique ; — dans les ulcères
putrides , — fon ufage intérieur. Ibid.
CAN CER } dift ngué en oculte & en ulcéré 3
— ce qu’on entend par le premier 5 — l’ ulcère
furvient communément aux tumeurs fquireufes
des glandes j — fon commencement 5 — fes pro
grès in'ènfib es y^— variation dans fon apparition ;
— apparence de l ’ulcère une fois formée $ — •
caractère de l’humeur qui en fort*}'— variétés
des opinions fur fa caufe 3— rapporté à une
obftru&ion précédente 5 — à une acrimonie particulière
; — aux affections triftes de l’ame ; — à
la ceflation des règles } — à une difpofîtion héréditaire
y— à des caufes extérieures , — à l’ inflammation.
p. 252 & fuiv. Ce tte affeCtion eft-e le
conftturionnelle 5— opinion de Monro fur cette
queftion 5— celle contraire de Hill qui confolide
l’utilité de l’opération 5 — comparaifon de quelques
auteurs entre cette maladie & le chancre
vénérien 5 — comment la maladie peut devenir
conftitutionnelle. pag. 2 y y & fuiv. Moyens curatifs
5 — ciguë confeillée par Stock » — arfénic
par Ildefo . t } —- fublimé corrofi.f par Gooch 3
— belbdona par Jaënïfch 5 — air fixe depuis quelques
années 5 — faignées générales & topiques
par Féaron 5 — cas traités " par cette dernière
méthode. T. I3 p. 277 &fuiv. Méthode nouvelle j
— cancers fous ce point de vue , diftingués en
extirpables ou non extirpablès 3 — -cauftique' ;—
cas où ils conviennent 3 — les plus convenables 5
— cas où l ’opération eft impraticable 5 — 1°. lorf.
que la maladie eft générale ; — quand le vice eft
tellement adhérent aux parties fubjacentes qu’il
ne peut être déraciné totalement, pag 2 6 0 , 261.
Palliation 3 — le régime 3 — remèdes les plus convenables
5 — moyen de remédier à la fétidité
de l’ ulcère, pag. 2.61. Moyens opératoires ; —;
l’mftrument préférable aux cauftiques 5 — raifons
qui appuient cette aflertion 3 ;— on doit extirper
tout ce qui eft atteint du mal ; — raifons qui
doivent engager à détruire le moins qu’il eft
poflible des tégumens} — accident qui réfulte de
la méthode contraire } — règles générales ; —
précautions relatives au retour du mal. pag. 263 3
164. Manière d’opérer celui du fein 3 — préliminaire
de théorie 3 — règles données par Hei-
fter ; — méthode de S cu lte t} — celle de Féaron
adoptée } — polition de la malade 3 — ■ incifion 3
— panfement ; —- recherche des glandes voifines
qui pourroient être attaquées état où elles
peuvent fe trouver 5 r—- utilité des bandelettes
agglutineufes 5 — moyens relatifs à l’ hémorragie}
-— comment on fe comportera après l’ opération.
pag. 265 & fuiv. Traitement du cancer au vifage;
— aux lèvres 3 — fcrupules relativement à l’ufage
des cauftiques 5^- opération du bec de lièvre,
utile alors en beaucoup de cas >-r— conduite de
Ledran} — opinion de Louis j — de B e ll} — de
Hill. pag. 16 9 , 270. .
CAN CER DES R AM O N EU R S , décrit par
Pott} — la théorie de cet auteur ;— le ferotum
^ s’étend louvent jufques fur l’abdomen. Ibid.
Cas de cancer relatifs à toute notre doétrine.
pag. 271 & fuiv.
CANNEPIN } pellicule d’ufage pour elîayer
tes lancettes, pag. 176.
CAN ULE S } leur fo rm e ;— leur ufage ; —
employee autrefois dans l’ application du cautère
actuel ; — leurs inconvéniens. Ibid.
CAN THARID E S } ufage extérieur; — intérieur
; — teinture de Méad ; — employée comme
rubéfiant ; — fon ufage dans ie cas de ftrangurie
véhéiierine. pag. 277.
CAPEL INE ; nom d’un bandage ufité autrefois
dans les amputations des grandes extrémités.
Paë ' 277*
CAP IL LAIRE ; fente 5 — fra&ures du crâne
qu’on défigne ainfi 3 — raifons pourquoi elles font
communément fâcheufes ; — ne doivent point
- être confondues avec les feiffures vafculaires in-
cruftées fur l’ os ; — erreur d’Hippocrate à ce
fujet. Ibi'd.
CARDIOGME 3 anévrifma de l ’aortë près da
coeur > — phénomènes , — traitement. Tomel,
p, 278.
C A R IE } cette affection ne doit point être
confondue avec l ’érofion ou ufure des os qui
accompagne fouvent les tumeurs de la dure-
mère. ■— Hippocrate eft le premier auteur qui en
a^t traité 3 — Celfe s’eft pins occupé des moyens
de guérifon de cette maladie que de la théorie.
— Son procédé confiftoit à mettre la carie à
découvert} — à percer de diftance en diftance
avec un t épan pyramidal 3 — & quand la carie
étoit fuperficieîle , il la brùloit avec un fer chaud,
laruginoit. — Galien la compare à une ulcère
dans les parties molles 3— r remèdes qu’ il con-
feiiloit ; — exfîccatifs propofés par les auteurs 5
— les praticiens reviennent à la méthode de Celfe j
— nouveaux remèdes que la chimie plus cultivée
fait éclore 3 — Paré confeille les poudres abfor-
bantes.-r Fabrice de Hilden eft le premier qui
confeille la teinture d’ euphorbe ; — T u lp iu s ,
l’huile de cinnamomej — J. L. Petit ajoute de
nouveaux détails qui complettent l’hiftoire de
cette affedtion 3 — détails qui établiffant l’ orga-
nifation des o s , rendent le traitement de la carie
plus dogmatique:} —- vices qui fouvent la fomentent
; —— lignes qui la manifeftent } —- fon
pronoftic. pag. 278 , 279. Signes de celle que
J. L. Petit appelle carie sèche} — lignes qui annoncent
l’exfoliation 5 — comparaifon de ce
travail avec ce qui arrive dans la féparation d’ un
efeharfe 5 — la nature en pareil cas fe fufïït fouvent
à elle-même ; conduite à tenir quand elle
demande de l’aide } — ce qu’ on doit faire quand
l’exfoliation fe fait trop attendre 5 — ufage de
la lime & de la rugine du fer rouge ou du cautère
potentiel 3 — du cifeau y -— doctrine ce
Monro relativement aux bourgeons 3— conduite
à tenir dans les cas les plus difficiles, pag. 280,
281.— C e q u ’ on doit entendre par la vermoulure
de l’os 5 -— fes figues 5 — remarque des auteurs
fur la coloration des ftilets d’argent} -— traitement
de cette efpèce } — quand on peut fe difpenfer de
rien emporter de l ’os } — quand on eft obligé
a multiplier les couronnes de trépan ; — médi-
camens qui font alors plus communément en
uLge ; -— obfervation rare fur une carie du crâne.
P^. 281 , 282 & fu iv. C e qu’on doit entendre
par l’hyperfarcofe qui complique la carie 3
indication qu’elle préfente} — ut lité des cautères
potentiels en pareil c a s ; — ce qu’eft la carie
pnagédénique 3 — en quoi elle diftère de celle
avec hyperfarcofe, *— le traitement qu’elle exige 3
ta pourquoi l’on n’a pas toujours à fe promettre
un bon fuccès de l’exfoliation en pareil
cas. pag. 284 , 285. Cas qui indiquent que
la carie eft de nature fcrophuleufe 3 — conduite
a tenir en pareil cas. Ibid. Signes qui indiquent
^lue la carie tient du vice cancéreux. — Tous
tes remèdes ci-deflus rapportés nuifent dans ce
cas * —■ la feule reffource eft l’amputation. Ibid.
C AR N IF ICA T IO N } arrive journellement dans
le cas de fradturé, d’exfoliation , de réfection ;
— vient fouvent d’une manière lente 3 — quelques
exemples de ce cas } — fouvent bornée à
un feul endroit ; — remèdes vantés contre cette
affedtion. Tome I , pag. 286.
C AR N O S ITÉ î indices qui ont fait admettre
cet obftacle dans le canal de l’ urèthre ; — elles
font extrêmement rares } — aflertion d’Hun ter à
ce fujet. pag. 287.
C A R O T T E } fon ufage dans les cas d’ulcères
fcrophuleux , cacoëthes & cancéreux. Ibid.
C A S T R A T IO N } la gangrène & le véritable
farcocèle font les maladies qui peuvent déterminer
à recourir à cette opération. — Il faut
faire cette opération plutôt que trop tard , crainte
que l'engorgement ne parvienne au cordon} —
circonftances du cordon qui doivent détourner de
l ’opération. — On do:t l’éviter dans le cas d’engorgement
fquirreux ; — quand les douleurs font
indépendantes du poids & du volume de la tumeur
; — quand on fuppofe une tumeur enkiftée
dans le bas-ventre 3— quand la fonte putride de
la tumeur opère fur la mafle générale des humeurs
} — manière d’opérer ; — incifion de la
peau } — recherche du cordon 3 —- fa fedeion ;
— procédé de preffion confeillé par J. L. P e t it ,
— froiflement du bout coupé, adopté par Ledran 3
— continuation de l’opération 3 — attention qu’ il
faut prendre pour ne point intéreffer la cloifon 3
— manière de faire l ’appareil 3 — le te ms où il
convient de le lever, pag* 2 8 7 ,2 8 8 , 289.
C A T ACH ASM OS , forte de fearification ufitée
chez les anciens. Ibid.
C A T A P L A SM E 3 différence dans leur efpèce
relativement à leur matière 3 — cas les plus communs
où on y a recours 3 — à cjuoi on reconnoît
qu’ils font bien faits ; — maniéré de les faire ;
— de les employer ; — de les rendre maturatifs 3
— émolliens ; — réfolutifs 5 — favontux 3 —
de ciguë ; — de bryone 3 — antifeptique. p. 290 #
291.
C A T A R A C T E . Les anciens fe font peu accordés
fur le fiége de la maladie ; — variété de
leur opinion } — Lafnier commence à douter ; —
Brifleau établit des faits que Boerhaave, Heifter
& Woolhoufe confirment. Ibid. Le criftallin eft
le vrai .fiége de la cataradte. — Cette maladie fe
forme toujours par degré 3 — phénomènes d'apparition
3 — de progreffion ; — la membrane qui
couvre-le chaton du criftallin peut perdre fa tranf-
parence fans que cette lentille fo.i.t obfcurcie 3
— phénomènes qui ont alors lieu ; — ce que Hoin
appelle cataradte fecondaire ; — remarque fur la
folidité du criftallin cataradte 3,— fur fa couleur 5
— ce qu'on entend par accompagnement du
criftallin^; — la cataracte diftinguéa en trois