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fa ville d’Ombos : il est probable auVIle • 6 IÜ anciens nous donnent de
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'cette ville; le, Z S S g * J M B * 1“ H £
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sauroit lutter contre une force aussi 6 ° CCUp0lt’ et nul Pouvoir humain ne
Je géographe gui retrouvent le nom ^ 1 “ C° nStame : ^ VW ur «
fices debout ne peuvent dotu-P I C° ' e conserve et «Je grands H
selon Pline et PtoTtnL t X *Q H H l l d’° mbos- ÜHE
aujourd'huiKoum Omboû Suivant f j f 0 '1 mCme i,eU ° Ù nous trouv°ns
S * v mopoiis
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demeurée jusqu’à présent incertaine dan !’ ° nS ^ Positlon d Ombos étoit
d’Anville s’étoit trompé de près de moitié ^
§. I I I .
Du grand Temple d ’Ombos.
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du monument, au lieu de passer par u a T s u ^ T ^ c r iq u e s . L W
et des maMifs, à droite et à uaurh. i i r ertures> tmyeise des colonnes m II en E E à g j g g l H B ' / • * « * » . . de portes, paraideux
entre-colonnemens plus larges queîel autres M ^ e tau ^ " 7 *
colonnes est impair. ' ’ ?ue le nombre des
Le temp^rSïï Ì Ì i l J architecture ancienne.
mur, mais dans le sens de la lonsnmur 11161 ™ deux Parties par un
figue de g * cei- de la largeur. ■ basirapproche
davantage du temple d’Ombos fis! H S 2 ? ^ Ë Ì0ng Je J axe ; elle se
« dm .» par son
Egyptien d’avoir deux façades et A I C 3 essence d un temple
R » » e e, à Posidonie ° PP° ‘ ée‘ > conl» e on 1 « J f ,
( i ) Voyez planche jp .
(*) D ’Anvilie a fait une faute p a v e en soutenant d Z Z t n l L a p ° Si,i° n bien * c e trois points,
coatte I-au,or,te de « ‘¡néraire « celle de P.olémée’ ^ e™‘n“ a!.tro"°™'I“'">cn., es, parfaitement d’accord
qu Ombos etot, plus éloigne'e de Syène que d’ApoIIino-’ de / ' Ì L I T I >> Carte ancienne
P i et ™ p|aï« " t Ombos dans sa carte ancienne a T ’ Mem° ire w £ V « * » ' f e t a r f A s
d apres “ “ H “ PUdon. ( Mémoires sur i Z L ? ' M' J ° raard’ 0/ O cst-a-dtre, de rp lus ud ’uunn udtiaammeit.r™e .e.t un sixième.
ET D E S ENVIRONS . CHA P . IV . c
Le premier portique avoit quinze colonnes : celles des angles, sur le rang
extérieur, sont abattues ainsi que les antes. Le second portique est composé de dix
colonnes. On trouve encore, après ce dernier, trois salles subsistantes, et le reste
est détruit ou enfoui sous les sables. La forme en est très-alongée, ce qui résulte
de la disposition précédente; leur largeur et leur hauteur vont toujours en diminuant.
Les deux sanctuaires ont disparu, et l’on ne peut rien conjecturer sur les
dimensions qu’ils devoient avoir.
Ce qui subsiste du monument a environ quarante-deux mètres et demi -de
long (r) : la longueur totale devoit avoir environ soixante mètres (2), d’après là
restauration très-probable que fournit l’analogie des autres temples; la largeur
devoit etre de trente-sept métrés (3)» ut la hauteur des colonnes du premier portique,
depuis lesol présumé jusquau soffite, devoit avoir environ douze mètres (4).
Celles-ci peuvent se ranger parmi les plus grosses colonnes de l’Égvpte ¡ elles ont
plus de six métrés de tour (y) : la circonférence de celles du second portique n’en
lait guere que la moitié; leur diamètre est d environ trois pieds et demi.
Laxê du grand temple fait un angle de cinquante-cinq degrés à l’est avec le
méridien magnétique. On voit par le plan général, que le monument étoit tourné
vers le fleuve ; le petit temple est dans une direction perpendiculaire à celle-là.
La pierre dont le temple est bâti, est d’un grès fin, d’un ton gris-jaunâtre, et
très-propre à recevoir la sculpture. Il paroît qu’elle étoit également bien choisie
pour la solidité de la construction : on peut en juger par les énormes pierres qui
vont dune colonne à 1 autre dans les entre-colonnemens du milieu. La longueur
de ces pierres est d environ cinq mètres (6), sur une épaisseur d’un mètre et demi (7) ;
cinq pierres à elles seules occupent toute la longueur de ce portique : on en voit
encore de plus grandes dans le monument. Toutefois.plusieurs de ces pierres se
sont écroulées sur le sol.
Nous avons trouvé entre les joints un ciment rougeâtre fort altéré, et aussi,
parmi les pierres renversées, des tenons en bois de sycomore, taillés en queue
daronde, que l’on croit avoir servi à maintenir l’appareil; ils paraissent enduits
de bitume. Sur les terrasses et à l’extérieur, on voit beaucoup de vides laissés par
les tenons que les fellah ou les Arabes ont enlevés par-tout : il y en avoit à chaque
pierre (8). 1
Bien que l’exécution du temple offre le même soin que les architectes d’Égypte
ont mis par-tout dans leurs ouvrages, on serait porté à croire, au premier coup-
CfU'1 renferme quelque vice de construction qui l’a fait se dégrader plus
promptement que les autres, soit qu’il faille l’attribuer à la trop grande masse
es arc itraves, soit que les fondations manquent de solidité : mais cet édifice
a plus souffert encore des ravages des hommes que des injures du temps; fin-
cen ie ont nous avons parlé a dû principalement contribuer à sa ruine, il faut
(1) Cent trente pieds. ^ . . .
i Cent quatre-vingt-cinq pieds S “ '" “ P!ed\
(3) Cent quatorze pfeds. J Y ? P™ P'“ S de <I“ atre Pieds « d™ -
(4) Trente-sept pieds. ( } ^ a DescnPtion de de Philæ, chap. / / ',
(5) Près de dix-neuf pieds. ^