
Fig. i 3 ouvrier qui forge un poinçon?
Fig. 2, ouvrier qui frappe le contre-poinçon fur
l’acier du poinçon.
Fig. 3 , ouvrier qui lime la partie extérieure de
la lettre.
Bas de‘la planche. Fig. i ,n ° . f ,2 , contre-poinçon
de la lettre B.
Fig. 2 , poinçon étampé par le contre-poinçon.
Fig. 3 , poinçon de la lettre B , entièrement
• achevé, vu du côté du bas de la lettre.
Fig, 4 , le même poinçon , vu du côté du haut
. de la lettre.
Fig. Si tas garni de fes deux vis, dans le creux
duquel eft un poinçon prêt à être étampé.
Fig. 6 , équerre à dreffer les faces des poinçons
pofée fur la pierre à l’huile. 5 , 1 , les deux faces de
.l’équerre.
Fig. y , équerre à dreffer, pofée fur la pierre à
l’huile, & dans l’angle de laquelle eft placé un poin- .
çon. 5 , 3 , les deux faces; de l’équerre.
Fig. 8 , pierre à l’huile , énchâffée dans un carré
de bois.
Planche 11. Fonderie en caractères F imprimerie.
La vignette repréfente l’intérieur d’une fonderie, &
plufieurs ouvriers & ouvrières occupés a différentes
opération,s.
Fig. 1 , ouvrière qui rompt les lettres, c’eft-à-dire,
qu’elle fépare le jet.
Fig. 2 9 ouvrière qui frotte les lettres fur une meule
de grès.
Fig. 3 , ouvrier qui regarde fi le régule d’antimoine
eft-fondu dans le ereufet, qui eft de fer ou
de terre.'
Fig. 4 , ouvrier qui verfe le mélange de plomb
& de régule d’antimoine dans des lingotières qui
font à fes pieds.
Fig. Si fondeur qui puife avec une petite cuiller",
pour verfer dans le moule qu’il tient de la main
gauche.
Fig. 6 , fondeur qui a verfe dans le moule.
Fig. p y fourneau.
Fig. 8 , fondeur qui ôte l’archet de deffus la ma-*
trice, pour ouvrir le moule & en faire fortir la
Jettre.
Bas de la planche. Fig. 8 , n°. 2 , plan du fourneau
& des trois tables qui l’environnent.
Fig. p , çuiller du fourneau à trois féparations,
Fig. 10, fourneau pofé fur fon banc.
Fig. 10 , n°. 2 , grille du fourneau,
Fig. 11 y banc du fondeur.
Fig. 12 y tôle , dite feuille, pour recevoir les égoutr
tares de la matière.
Fig. 13 y cuiller fajis manche, & cuiller* emmanr
çhée,
Planche I I I y repréfentant le moule & les pièces qui
le çompofent. .
Fig. 1 , le moule yu en perfpeâive, & du côté
ÿe la pièce de deffus, à laquelle la matrice demeure
fufpendue, lorfqu’on ouvre le moule pour en faire
fortir lalettre.
Fig. 1 y n°. 2, bois de la pièce de deffous, vu du
côté qui s’applique à la platine. On y a indiqué
toutes les cavités qui rëçoivent les écrous & autres
parties faillantes , du côté extérieur de la platine
de deffous, & l'emplacement de la chape du heurtoir.
" Fig. 1 , n°. 3, bois de la pièce de deffus, vu du
côté qui s’applique à la platine. On y voit de même
les cavités qui réuniffent les parties faillantes de
la platine, & de plus le jobet, dont le crochet X
foutient la matrice par deffous , & l’épinglet Y , au
deffous duquel la matrice paffe.
Fig. 2 y platine de deffous garnie de toutes fes
pièces , vue du côté de l’intérieur du moule. M , la
matrice pofée par fon autre extrémité fur le heurtoir,
& par une de fes faces latérales contre le regiftre
, & en face fur le blanc & la, longue pièce.
Fig. 3 , platine de deffus garnie de toutes fes pièces
, vue du côté de l’intérieur du moule. E , la
partie du regiftre qui s’applique contre la face laté-
rale vifible de la matrice M , de la figure précédente.
E , hauffes.
Fig. 4 , attache de la matrice. C ’eft une petite
•bande de peau de mouton.
Fig. s , jet vu du côté intérieur.
Fig. 6 , jet vu du côté extérieur. A , la:vis qui
fert à le fixer à la platine , & à côté d’écrou de
cette vis.
Fig. 7 , première fig. le blanc de la pièce de defr
fus, vu du côté extérieur.
Fig. 7 y fécondé fig. le même blanc , du côté qui
s’applique à la longue pièce, d , c 3 la cavité qui
recouvre en partie le cran a , h, (fig. /y.)
Fig. y y n°. 2 , la première fig. montre le blanc de
la pièce de deffous , vu du côté extérieur.
Fig, y , n°. 2 , la fécondé fig. montre le même
blanc du côté qui s’applique à la longue • pièce.
Outre le trou carré qui reçoit le tenon de la potence
, on y voit .le trou foncé & taraudé, qui
reçoit la vis b de la fig-.21,: Le femblabié trou paraît
à la fécondé fig. au n°. précédent.
Fig. 8 , matrice de cadrats, vue du côté qui s’applique
fur le heurtoir & la longue pièce.
Fig. p & 10, les potences & leurs écrous*.
Fig. u y matrice d’efpaces, dont la partie hori-
fontale fe place entre le regiftre ,1e blanc & la longue
pièce de la partie de deffus du moule.
Fig. 12 & 13 y matrice d’une lettre , de Ym, par
exemple, vue fous deux différens afpeéts.
Fig. 14, blanc de la pièce de deffous. avec la
potence qui la traverfe.
Fig. isy blanc de'la figure de deffus, avec fa po-;
tence.
Fig. 16 , lettre telle qu’elle fort du moule.
Fig. ly » la longue, pièce de la partie de deffous,'
vue du côté de l’intérieur du moule. La femblable
pièce dans la partie de deffus , n’en diffère qu’en
ce qu’il n’y a point de cran,
Fig|
Ftg. 18, la même longue pièce, vue du côté qui
s’applique à la platiné.
Fig. ip y regiftres vus l’un en plan du côté extérieur,
l’autre en perfpeétive du côté intérieur.,
Fig. 20 y platine de la pièce de deffous, garnie
de toutes fes pièces, & féparée de fon bois.
Fig., 20 , n°. 2 9 la même platine dégarnie de toutes
fes pièces, excepté du heurtoir , vue du côté où
les pièces s’appliquent.
Fig. 2t, la même platine, garnie de toutes fes
pièces, vue du côté extérieur qui s’applique au bois
( f ig : i ,n ° :2 .)
Fig. 21 , n°. 2 , platine de la pièce de deffus .,
dégarnie de toutes fes pièces, vue du côté qui s’applique
au bois (fig. 1, n°. 3.)
Fig. 22, la pièce nommée heurtoir, repréfentée
féparément, & vue du côté auquel la matrice s’applique.
Fig. $.3, le jobet, vu du côté qui s’applique à
la platine de la pièce de deffus.
PlancheIV, La vignette repréfente l’intérieur d’une
chambre où l’on apprête les éaraélèrë's.
Fig. 1 , ouvrier qui compofe , c’eft-à-dire , qui
arrange les lettres féparées de leurs jets ou rompures,
fur un compofteur.
Fig. 2 , ouvrier qui coupe une rangée de caractères
, placée dans le juftifieur, entre les deux jumelles
du coupoir.
3 , apprêteuF. qui ratifie les lettres avec le
couteau (fig. y , planche fuivantc) pour les égalifer
fur le corps. Cette chambre doit être garnie d’un
grand nombre de râteliers, pour y pofer les com-
pofteurs chargés de lettres, jufqu’à ce qu’on les mette
en page, & qu’on les envoie à leur deftination.
Bas de la planche. Fig. 1 , le coupoir , vu en
perfpeétive, & du côté de la manivelle F G , qui
eft à main droite du coupeur. Cette manivelle fait
mouvoir la jumelle mobile C D , qui comprime fur
le corps la rangée de lettres qui eft placée entre
les règles du juftifieur, dont une des règles eft fou-
tenue par la jumelle fixe A B.
Ftg. 1 ,n°. 2 y plan du coupoir, entre les jumelles
duquel les deux règles du juftifieur font placées : on
y diftingue une. rangée de caraétères.
Fig. 2 , châflis de fer & vis appelés train, qui
font mouvoir la jumelle mobile C , D , qui eft faille
en deffous par les crochets A , G , des bandes du
chaflis; à côté eft la clé ou manivelle.
Fig. g , n°. 2 , plan du coupoir dont on a fup-
prîme les jumelles , pour laiffer voir l’emplacement
& la difpofition de la ferrure qui fait mouvoir la
jumelle mobile.
juftifieur avec fa platine , vue en deffus, & du côté
ou Ion place les lettres.
^ ^ » B B , la même règle vue par deffous , &
du coté qui s’applique à la jumelle mobile C D ,
\H\ )
4 » C , D , fécondé règle du juftifieur , vue
Arts & Métiers. Tome I. Partie I,
en deffus & du côté qui s’applique à la jumelle fixe
A B , ( ƒ * , . ) a ■ ■ ... i
C C , D D , la même règle vue en deffous , & du
cote qui s applique à la rangée des lettres. On y diff
tingue les deux languettes qui entrent dans Ie.s mor-
toifes a , 'b , de la première règle..
Fig. 4 , n°. 2 , coupe tranfverlale des deux règles
du juftifieur, de la même grandeur dont elles font
conftruites.
Fig. 4 , n°. 3 , la même coupe où les deux règles
font féparées: toutes cés.:pièces font de fer.
f ig . S i compofteur. Il eft de bois ; il fert à l’ou-
vnere ( fig. / de la vignette ) pour y ranger les
lettres par lignes, auffi longues que le juftifieur peut'
en contenir.
Fig.s,n°. 2 , coupe tranfverfale d’un compofteur,'
de la grandeur dont ils font çonftruits.
Fig- 6 , rabot; fervant au coupeur (fig. 2 de la
vignette) pour couper le pied de la lettre, ou les
cotes de l’oeil. Ce rabot eft garni de toutes fes
pièces.
Fig- F , n°.2, clé pour-ferrer ou defferrer les vis
du rabot.
Fig. 7 , couteau de I’apprêteur.
Fig. 8 , le rabot garni de toutes fes pièces, vu
par deffus.
^lg' 9 > guides ou couliffes du rabot.
Fig. 10, M N Ô , fût du rabot,. R R S , arc du
rabot. P Q , poignée de bois du rabot.
Fig- !’/$S petit jeton. '
Fig. 12, glace fur laquelle on pofe les lettres pour,
jauger leur, épaiffeur.
Fig. 13y grand jeton.
Fig. 1 4 juftification.
Fig- ijy tourne-écrous pour démonter le moule.
Fig. 16, tourne-vis pour démonter le moule &
le rabot.
Fig- 17y extrémité inférieure du fer du rabot qui
fert à creuier le pied de la lettre.
Fig. 18, lettre longue par le haut, dont le pied
a été vidé par le fer précédent.
Fig. ip , extrémité inférieure du . fer du rabot ,
dont on fe fert pour retrancher au bas de i’oeil de
la lettre la matière fuperflue.
Fig. 20, .lettre longue par le haut, dont le bas de
l’oeil a été rogné par le fer précédent. Telles font
les lettres b , d, h , &c.
Fig. 21, lettre courte, telle que a , e ,m3 &c. au
deffus & au deffous de. l’oeil de laquelle on a fait avec
le fer précédent & avec le fuivant un retranchement
de matière.
Fig. 22, extrémité inférieure du fer du rabot, dont
on fe fert pour trancher au haut de la lettre la matière
fuperflue.
Fig. 23y lettre longue par le bas, comme p3 q , &c.
dont le haut du côté de l’oeil a été rogné par le fer
précédent.
Planche V , fig. 1, moule à régîets inventé en 1737
par M. Fournier le jeune , pour former des lames
de métal de différentes épaiffeurs , propres à être
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