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Mars.
travailler avec moi à la publication du voyage. Cependant
je pris encore quinze jours de repos au sein de
ma famille, et je n’arrivai à Paris qu’au commencement
du mois de mai 1829, où je m’occupai sur-le-
champ de la rédaction des matériaux recueillis dans
le cours de la campagne >.
I J'oj ez note 16 ,
FIN.
CONCLUSION ET RÉFLEXIONS
L E S V O Y A G E S D E D É C O U V E R T E S .
La Relation du voyage est terminée , e t, pour un
certain ordre de le cteurs, ce que je vais ajouter ne
pourra bien être qu’un hors-d’oeuvre ; quelques-uns
même, et ceux-là surtout dont la position manque
d’indépendance , pourront traiter mes réflexions de
récriminations superflues et inconvenantes. Mais l’o
pinion de pareils juges m’est indifférente ; je ne m’adresse
qu’à ceux q u i, doués d’un esprit supérieur et
de sentimens nobles et désintéressés, saisissent les
choses et les paroles sous leur véritable aspect. Ces
derniers font plus de cas d’une pensée généreuse que
de toutes les faveurs ; ils me comprendront et me
sauront, j’ose le croire, gré de cette courte digression.
Ceux qui auront suivi avec quelque attention le récit
de la campagne de VAstrolabe, ont dû voir à
combien de dangers, à combien de privations furent
exposées toutes les personnes qui en firent partie.
Ces contrariétés furent telles que, sans la présence
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