témorîes et douzièmes. Cent vingt lieux
Zodiaque, ibid. p. 160. ^ ,
Ses douze signes président a douze parties du
corps humain, ibid. p. 170. .
Ses douze signes deviennent les- enseignes des
douze Tribus Juives, t. 3 , p. 3O9.
Zodiaque Indien, t. 3 , p. *40.
Appelé Tabernacle, Roue des signes , et Roue
aux douze vases, t. 3» P* 2* •
Table des influences de chacun de ses signes
sur les métaux, végétaux, etc. ibid. p. 310.
Douze Dieux président à ses douze divisions,
ibid. p. 305. . . n 5 5 ,
Ses douze parties en large et en long, t. à , p. ooo,
t. 3 , part. 2 , p. 19- , I
Chacun de ses signes est un embleme de la.
marche du Soleil et de l’etat de la nature,
t. 3 , p. 326, 34*. . . . ;
Calendrier rural et astronomique, ibid. p. 3 * 7,
Comparaison de ses images avec le climat de
l ’Egypte, à laquelle il paroit devoir son origine,
t. 3 , p. 327— 34 ° , 36° > 366.
Epoque à laquelle il lui convient, t. 3 > P* 329 >
3 3 0 ,3 4 0 ,3 5 3 ,3 6 5 ,3 6 7 . j
Il ne convient à aücun autre peuple, a aucune
autre époque, ibid. p. 32,8, 04o , 042..
Sa position primitive lors de 1 invention, ibid.
p. 3ap. . . r,
Preuves de son antiquité, ibid. p. 001. .
Sa division commence originairement au bolstice
d’ été, ibid. p. 33^> ^.4.5'• , „ •
Réfutation de l’objection contre sa haute antiquité,
t. 3 , p- 0 4 0 366. . . .
Epoque plus récente qu’on pourroit lui supposer.
Sa position relativement à l'Equateur, ou aux
Colures et aux saison» dans les siècles mythologiques,
t. 3 , p. 041. M M BL
Il est significatif et il appartient a 1 écriture hiéroglyphique
, ibid. p. 342..
Changemens qu’il a pu éprouver dans ses images
symboliques. Identité du Zodiaque Egyptien,
avec celui des Grecs, t. 3 , p. 343*
Origine commune du Zodiaque peur tous
; les peuples, ibid. p. 3 4 4 , . ,
Il est la base des symboles de la. religion des
Egyptiens. Motifs qui ont déterminé ces peuples
s n’y rien changer. Deux espèces de Zodiaques ,
Tune par Signes et faune par Constellations,
ibid. p. 344- , , . . . , ,
Examen du Zodiaque trace dans le Planisphère
de Kitker, ibid. p. 34-5, 346, 349-352.
Description .du Zodiaque Indien ] et époque i
laquelle il semble remonte;, ibid. p. 352,
; - 35 3.
Cycle des Orientaux pris à toit pour un Zodiaque,
ibid. p. 362, 363. , . ■ ,
Réfutation des objections de ceux qui attribuent
aux Indiens les figures de notre Zodiaque, ibid.
- 365.
Tableau nominatif et .explicatif des Signes du
Zodiaque, t. 3 , part. 2 , p. 3— 190.
L’arne du monde y circule, et y emprunte ses
formes. Ses diverses divisions y ibid. p. 16—
27.
Sa description. Sa division en douze parties marquées
par douze animaux. Il efl la route du
temps, partagée entre les deux principes Lumière
et Ténèbres. Il eft la carrière d’üe r cu le ,
d’Osiris, de Bacchus. Ses divers noms et diffère
ns objets auxquels on l’a compare, ibid,
p. 16 -19* .
Ses douze Signes divises en males et femelles,
ainsi que ses trois cent soixante degrés, ibid.
p. 29.
Sa division en deux moitiés subordonnées au
Soleil et à la Lune. Diiunction de sa moitié
chaude, • et de sa moitié froide. Diftribution
du Zodiaque entre les qualités élémentaires,
ibid; p. 22.
Sa division en cent quarante-quatre parties. Di«-|
tinction entre les signes des Confie lia rions du
Zodiaque , ibid. p. 23 , 28.
D.ftinction du Zodiaque intellectuel et du visible.
Division en trente-six parties par Decans avec
ses usages , 'ibid. p. 24. -
De quoi se composent les figures astrologiques,
qui président aux signes du Zodiaque, ibiu.
P- 25* | _ 1 -•Noms des signes du Zodiaque chez les Indiens,
t. 3 , part. 2 , p. 296.
Leur diftinction en .bons et mauvais , ibid. p- 2.90.I
Ils furent désignés par douze pierres précieuses
rangées trois par trois, t. 3 , part. 2 , P*'3.
Diverses sous-divisions du Zodiaque, relatiUu
aux Planètes, t. 3 , part. 2, p. 007. >
Zones. Les cinq Zones, t. 3 , paît. 2 , p. if'
Zioroastre. Législateur des Perses. Il erriploi{i
l’imposture religieuse. Fiction sur son coinim;rce
avec les Dieux. Il annonce que le Zend-Avest»
lui eft envoyé du C ie l, t. 2 , paît. 2 > P'
119.
A V A N t - P R OP O S.
F in de la '"Table générale et Analytique des Matières.
I \ O U S voilà enfin arrivas à la partie de notre odvrage la plus attendue
par le public, à celle qui doit présenter actuellement un plus grand intérêt, ec
qui doit faire une révolution dans le monde religieux et dans le Culte de'plusieurs
grandes nations. Jusqu’ici le lecteur n’a été occupé que par le spectacle
des superstitions anciennes ramenées aux principes, de la science , q1
réunies toutes dans un centre commun, dans le culte de là nature universelle.
Quoiqu’il soit toujours curieux de suivre la marche de l’esprit humain dans
ses erreurs , comme d’observer les vérités qu’il découvre, et cela dans tous les
siècles et chez tous les peuples , il faut néanmoins convenir que, parmi les
objets de nos recherches philosophiques , il n’en est point de plus important
oue l’analyse des opinions religieuses d*ns lesquelles on a- été'soi-même
élevé, et qui régissent le peuple chez leqüel'on, est hé. La Religion' Saisit
l’homme dèsson berceau, l’accompagne toute sa vie , et le suit pair la crainte
ou par l’espoir dans le tombeau même. Ce spectre plus effrayant encore par
ses menaces, que consolant par ses promesses , a été jusqu’ici une énigme et
pour ceux qui lui ont dpnné de la réalité et pour ceux qui n’y Ont vu qu’un
fantôme imaginé pour contenir les crédules mortels. Les premiers n’ont pas
osé se rendre .compte de leur croyance , ni'regarder en face l’objet de letfr
respect superstitieux. Courbés servilement sous le joug dés Prêtres depüis
l'aurore de la vie jusqu’à la nuit de la mort , ils nont pas voulu sentir, que"
plus les dogmes, qu’on nous enseigne, paroissent absurdes et révoltans , plus
la raison a droit d’étre en garde, contre l'erreur et l’imposture, et plus chacun a
intérêt de les examiner,, et de se rendre compte à soi-même des opinions que
malgré nous l’éducation et l'exemple nous,ont forcé de recevoir.
Dociles à la voix du Prêtre, qui commande la foi et défend de raisonner .
ils ont oublié qu’il est de l’essence de la vérité de ne paraître jamais plus
lumineuse, que lorsqu’elle est soigneusement, examinée et fortement approfondie
; comme il est dans la nature de l’erreur et du prestige de craindre un
trop séiieux examen. La foi ou la crédulité, car ces mots en religion sont
synommes, est l’aveugle ignorance, qui se repose sur les autres du soin de
juger ; c’est une paresse de l’esprit qui redoute le travail des recherches profondes
; et quand on est venu à bout de l’ériger en vertu , il n’y a plus de
terme à l’erreur. Aussi le Prêtre dit , crois-moi', et le Sage , écoute-moi et
raisonne. C’est aussi ce dernier langage que je vais tenir à ceux qui jusqu’ici
ontabjuré cette lumière sacrée de la raison, et ont assez méprisé la vérité pour
fuir un examen, qui seul peut faire -évanouir le prestige religieux qui les
environne de toutes parts.
Quant aux seconds , ils n’ont pas eu plus de raison pour ne pas croire, énj
.fin moins ces raisons n’étoient poijit tiréçs de la science , mais seulement cj*
f t z d g . 'T in iy . X ÿ m i 'U h 4