m Ar.E Xi î G î D N YU B5 PV ffi 19. 6 W. tÆ®E«
oes idc«? Orientàîès f q^i^Dt 'Iisiiitni à
Lucien, (,t_) -, né en Orient y saÆfctwsn -dé
sa ville Sainte > cfù’babitetit'les ÎKett«
heureux dans l’Elysée,, et-le type de
la construction de icettel ri He-y tbnte
d’or, environnée d’une muraille d’éiiie-^
raude , cpimme .la J.érusaleSn.-Céleste fi
qui était tonte d’or, et 'qjrîeqyjjrdniïtoit
uqe, UjLurailje dé jaspe -.(JH)) .iCîest.'dans
la n^êpueiCarrièresorieritalaiduHl'«
les riches matériaux’,idotfcil a M'tùsbn
temple s qn pierres de Bérylte , ses'au—
tels d’Améthyste s-.C'est en-Oïfieiit qu’il
a, t. r-voyé ,(Joi;f il paresa ’ ville
et lapCinampmej dont il:-, faite les ‘sept
pqrms.V^uitomentléssept entrées clë
sa.üilc Saint*-.. Il tullil de lire lés RtP
uianSiümpespt lesCéhtesiPersaus, pour
reçoanpîlÿele fuite dèleurs descriptions
et poupsaisir IsL-véritable .«aractfière du
Ruinau rïiysta'gogiqpe. de l’Apobalypse'.
NouS'-àybns pru; cette': petite digression
n'-cessaue , au-commencement de Cet
ouvrage , sur-tout au moment on nous
voyous un génie brillant 'pur’ l’éclat
du jaspé) et de: la ,sardoiné} |gp,s environné
d’un arc semblable à otoe émë*
raude, et siégeant sûr un trônle;.devant
lequel sont allumées:sept lampes’quî
désignent é vide minent yle,. Ciel Plàute-
taire,au-dessus duquel s'élève celui cleh
fixes, trpué naturel delà Divinité, et
bguré., comme les sept autres Gieux, pat
des émeraudes, des-jaspes.,'etcE .
Revenons maintenant àux'-'quatrè
animaàxplaeés aux quatre fepinsidn tïô-
ue et,à ,sa eirCoufcreiicè ') et sur lesquels
:?>èmb]e[s’appuyer le trône deDieu (4).
ces, animaux sont quatre Chérubins';
L ’est donc, dans le hui (lèrrie Ciel ,|dâns
la^phére.aplaUe, ou des fiixesh,.ltfêirté’e
oiux Chérubins , cmn m e notisi l’avorte
Vu plus, haut dans le système) du Hldudê,
3que nous; deyipasfleS: chercher.)',i ia n h
Nous trouvons effectivement dans la
Sphère,,danij|acircoplêreucéidu Siel,
l i ) XmMa-nfMsf.Svërt A p. B j c * A ■
{2) Apocal. c, a i . y . iS, 11
tS’Ôtè dé’ 15 Divinité , rà !déi' clfetahtjv
traies,'jèt’âuX 'qUâtrè points fixes , trtè
dttdSèht 'ltiSpbër'e /quaite figures pareilles
à celles1 que le Prophèfe voit icit1
et nous les trouvons j comme lui, dans le
©iely étdànllè?éul"Ciè'l ou l’on puitse
trouvèn d és animaux ,fc’ëS t-â/dire dans g
ZodiàqVie.OU dans lé Cercle des ànimaui
oélesteSi En pâreôurânt là Sphère cou-
tiret l’Ordre dèS's5giiëS'1 iet en perdant dii
sigpe affucté]àü Sdleil,- oudii Lion son.
domitile; asÊfblogiqueJ, nous 'trouvons
de trois dn^frois’signés dàpS le’ suémé
Ordre) qtie l’a'llteUr dé ’j’A’pocalypsë les
nomme'pla Lion, leBfieüf ou Taureau:
l-Homma du Verseau , Ut l’Aigle en]
Vautour qui porté’la''Lyre^eEMbntla
Bejll eOEroilé ; par sdti lever • simultané
avec le SêOrpism ES fixe !e«! marqlie toiis
le*! jètusrl’âSeènsïotr'dë *oèf qUatïièniH
signe,qui ;-sâns des f àisdbs’tfaystiqüës. ff!
gtirérOitU lff quatrième place avec' leS
t ibis autresd ©fi remarqtiërà , qiïé C’est
dans) le Giél que n’ous les VoyOffs ; rqÜê
c’est à des distancés égalés qùf parta»
■ genfiJpsa-étèment è-n quatre le'tdnrcju
Ciel tgqiid'méSt1'dans» lé; même' ordn
abso'lümenpj’sans aimim'dérau’gément",
qtBilsqsë! sui'verté. 'Toutes ces citéons1
-taneeiS- de )sdntl qiàs ;müitft,rén'tes)pmir
prouver yquelés t quatre animaux, que
nous) voyons- au'Ciel , sont les quatre
aniiùaUtx qti’y /Vt)it>’lé 1 Mystàgcfgue’1,
qui va 'prédire l’dvènir, 'etUnterrOget
le livfe -dés dés tin s.’ ;
i Mais ee q u i'achèvera;de porter jü^-
qu’à l ’évidenèe là'jUstésSe et laiÿférité
dé notre'opinion ; sUrle- lien:où nft®
-devons chercher, ces animaux1, c’est
l’emfilême'dés àîle’s'qu’On leiîr àttaellS.
-Æîqs; allés' bittJlété1 ordibaircment dbn-
t-néestau t emps , douttellés’ftyurènt b
course rapide. On les a données p*r
fcè twbdi&m' à'Sefturnd.) irods éV«115
quelque chose de plus précis dans
Clément d’Alexandrie.- Çe Pèi‘e,'Jepl^uS .pôK icj.7. .1 , •1i8-.VjA.m.D (“’
™ n i^ i<il (4 ) 'ApdciÆ c.f 4T. Ov ,i6î.t'r . 'iA Tirv,n,
.Î IX X - I G I: O N
U-iNÎI V IX R S E X ! f f . m
instruit .clel tons les Xires ,de (PEglisé
Chrétienne, Ué dans un pitys.où lbigoftt
des emblûincs’|6t°ib■ tlioininamt tsoeiloù
l’intélligeuGe de-jcesremblêmes ,'n?étoit
pas entit,reiuent>perdue.,Yho.ns parle des
.Chérubins,, qqi'.&t()idnt: dans 31e Téiwple
de Jérusglem:: (i.)LIl u’embOhipteiquê
deux., av'unt drasfin’ sixoathaç'ooàqui
fait douzp àîlesa,'! nouibre.ixlu-'to'nt
1 aàa celui ide's:>signesS) l ûr.'yoiei
il dit.de’ ces ailes ,;-,ôt-.obmment
«gft
ce qu
nli.ïtiaui v 'aüV£qiSLeHes;SUntr-.àftac!iées i c i
ailes , sont cellesidés quatre animaux
æélëstes; du des* quatre) signes, qUi'fîxènt
cesiqiuàtrbdivlïsifiUS de six-Ou'six parties!!
Xçs animaux ^oiJf/donoldans'lé CiéF{
-ef danb'leiifGpclti'jrttÊtpb Oè mrcule lé
irèntps:,)lési|Mb ïir f deiix
end) lé mes 'ee)'ti0mîcmt'‘^éoessairç«'ient -,
«fc dw’eùt; se troayermùisda'rislemêiné
33i®là, QÙiieqièilë.itOm'ps’sur ses:tfîleé!ràt
.. .............. ,,... . mtpi çles pièujt. ïaî'H.é 'td. üs les, jo, ur>s? ppaarr -la
il explique:cqt emblèmeM,ct( elles dé* révolutioit'diù'premier mobite', bU’s’àp-
sigiient;ï dit-iD,. le monde ,sensiblei -pu^ie rfett^nqiiedtt.Divinité»’.•’• * ’1
da'ns.-, leqiiel se . trouvent lesSl d'oqzè
.O signes., à jtravers lesquels le /Temps
■ n.rikljèyeisa révolution)). Il réêqltede
.c,ettene.xpli.éàtion!jîquè si les ailes1 font
allusion au tem ps , q u i, circule dans lè
Zodia(|ue,, :et, aux signes »dans lesquels
se partage çe même temps:, et qui
■ fixent'la )dïvision.de tout.lmZpdiaque,
les animauxyïanxquels sont attachées
les aîks, diju, jTem ps : et,. du Zodiaque \
sont donc ;les animaux mêmes figurés
par l’Astronomie-dans le 'Zodiaque!,
et „qui; en! partagent la qir.c,onférencc
en quatre,Ÿafties):égaks: ,oaiusi que lé -bV’Sébipmn eélésté. J’îàiiorë'de
eipps,que; mesure-leZodlaque.- Çlemem,
! 'Ojjyojt‘dans'Riflet; fëM tfj décès
fidbVA';die),lSti1éyelumifi du,temps, ex-
^riiùêë1 jiar. tiW-Sei péiif'qiti sé mord la
qiiènè ;: ètribl'ènie’ usité' chez les Egyp-
fiéniSj potlf pëifidre 18 mondéët'le Ciel,
f, (De, cpùtoprcûc^alréjde.ce Serpent
est qiyrsq çh, qiia/re! pàrtie.s,,.maiuuéf|S
.par Jâ hgureijdëp quatreàuùpaux, Lion,,
Taiirepuf j j Hmfljué., qt '.|ligîeçasés
sur la ,l,êtc,,âû'ôSole,il , de. Jffépus , de
'Safiirue et de Mars , qui souf- préçiqé-
ment,|e,s quatre Planète.^,, qui ont. lqur
démioîlé au .Lion’, Taureau , Vçrs’eau ,
' _uel It-
ce Ile figu-
rimeab,soTu-
e du T em p,s
nu Uorome queideux Cherubius^ re’sb;ji1,b'0liqt1e;m.ais'pllë;expr-
et n’a 1i1 ajl) allu■, si. on.qt u’a, la rév. olution emBeMnatd l e veritabu,l•e e-t, emulçm: annuelle en 12 temps,en 12 mois, en 12
signes ïîau lieu qu’jc i, l’âuteur a èu en
ViUV'la. révolutipn, journalière - de ;tout
IHHl leÙi^q.ibeUres , désignéès’par
4 fqisbîatles,ou 4 fois6heures jètcelle
du Zodiaque'eoupé en quatre parties
par, je, m idi, le, çouchant:,>le ininuiti,
on méridien inférieur; , et le levant,
mstautchacüuide trois signes , ou de-six
heures, puis qu’ilfoutenviron deux heu-
, c.Baquepigne, pour passbriuméi
ndipii),.,11 çs:t;tjOujqni'p, çertain , que Içs
a}‘eSlilaigpientjallùsiofl..pus ||^Ék qui
circule, dans le 'Zodiaque }. efaiconsé-
finenameqt, que; les, quatre fibres d’a^
du Zodiaque, pris dans ses quatre principales,
divisions, ou déterminé parles
quatre/signés appelés ïixës par toqs
les Astrologues.1
, Çe? Astrologues , tels que Maui-
lius (u) , donnent au Soleil, aux Astres
et au Zodiaque des , ailes , ou disent
qubls volent.
- La. ciréulation rapide du premier
,mobile : iéfoit représentée par des ailes,
dans la statue du Dit U Cuepli chez les
,Egyptiens , et ces ailes désignoient',
suivant Porphyre (g) , le mouvement:
mpcK ureirat. Un voit des cercles ailés-.
f f S?"J* Aliix.-(5tr. I,u5».,p'. «6a.-
V2) Kif kèr , Cplnip. .a, i(ar* a. p.
Ror. Appoll.l. I. c/a.
(3) Porpbyr. apucl Euseb. Prop. E t. ' î‘. 3.
c. 11. p. 1 1 5»' •
G g 2