Apocalypse appelé de Jean , appartient à la secte
Phrygienne qui tenoit des assemblées à Pépuzza,
t. 3 , p. 2,07.
Cette secte admettoit les dogmes des Mages, t.
3 , p. 207. ^
Sa doctrine étoit celle des Mithriaques , t. 3 ,
P-.2° 7- .
Elle aclmettôit la résurrection , t. 3 , p. 207. L
Rapprocheméns entre Ils dogmes de l’Apocalypse,
et ceux de • T initiation aux mystètes de Pépuzza ,
t. 3 , p. 308.
Il contient les mystères du Dieu aux s;pt
rayons reçus chez les Chaldéens, t. 3 , p. 217.
Comparaison des tableaux dë cet ouvrage, avec
ceux qu’offre l’ordre du monde, t. 3 , p. 219.'
Pourquoi les nombre sept et douze, et 1:Agneau
équinoxial , jouent un si grand rôle dans cet
ouvrage, t. 3 , p. 223.
Cet ouvrage n’est nî févélé, ni absurde, t. 3 ■>
p. 224.
Ses descriptions sont semblables aux fictions des
histoires vraies de Lucien, t. 2 , part. 2, p.
m m , g i
Ses rapports avec la lumière, et avec lis révolutions
célestes, t. 3, p. 224.,* 23^3.
Sept villes de l’Apocalypse, t. 3 , p. 224.
Leur ordre circulaire, t. 3, p. 224.
Leur rapport avec la géographie, t. 3 p, 224.
Rapport des sept Eglises avec les sept Sphères,
t. 3, p. 2 2 5 , 226.
Cet ouvrage est de même nature que celui d’E -
zéchiel, t. 3, p. 228.
Comparaison avec les Mithriaques, t. 3, p. 228.
Il a tous les caractères de l’astrologie des Chaldéens
et des Arabes, t. 3 , p. 233, 241.
Il sert à l ’ame à s’élever à la contemplation du
monde intellectuel, en traversant les sept Sphères,
t. 3 , p. 237. #
Comparaison de ses chapitres avec ceux d’Ezé-
chiel, t. 3 , p. 239.
Explication des vingt-quatre vieillards , t. 3 ,
p. 241,243.
Explication dü tableau de la femme de l’Apocalypse,
que poursuit lé Serpent, t. 3, p. 247—
255.
Elle est la mère d’Apollon ou Latone, t. 3 , p. 250..
Elle est la mère de Christ, l’Apollon des Chrétiens,
t» 3, p. 251.
Ses rapports avec Thémis, t. 3, p. 252.
Avec la Vierge des Constellations Ou Isis, t. 3;,
P. 148— 255.
Explication de la fiction sur un fleuve vomi contre
elle, t. 3 , p. 252. '
Explication de la fable du Dragon, qui la poursuit,
t. 3, p. 252—25-5.
Il est le fameux Typhon,.t. 3 , p. 253.
Il est le Serpent Python, t. J , p.
Explication de ses sept têtes, t. 3, p. 255.I
Bête à sept têtes et dix corne? : quelle elle étoit],
». 3, p. 260.
Daniel en a fourni le modèle à l ’atiteur de
l ’Apocalypse, t. 3 , p; 257. x
Secondé Bçte qui a des cornes semblables a celles
dè l’Agneau; qui elle'est, t. 3, p. 258—260.
Gomment ;elle fait descendre le feu ; du Ciel sur
la terre, t. 3 , p. 258, 259.
Nombre mystérieux de la bête , r. 3, p. 259.
Comparaison-de l’Agneau d e -l’Apocalypse avec
le Belier de Daniel, t. 3., p. 2 6 1 ,2'62.
Explication dè la fiction sur les trois Anges, qui
volent au milieu du Ciel, t. 3 , p. 263—265.
Explication des sept Anges, qui versent les sept
- dernières plaies ,/t. 3 , p. 265 , 266.
Comparaison entre les menaces de l’auteur de l’A pocalypse,
et la description de leur accomplissement
, t. 3”, p. 267—269.
Grenouilles qui sortent de la gueule du Dragon
et de la bête, t. 3 , p. 268.
Explication de la fiction sur la grande Babylone ,
t. 3 , p. 269—272.
Quelle est la bête qui porte la femme, t. 3,
p. 272. -
Les combats, décrits dans l’Apocalypse * sont ceux
d’Ahriman contre Ormusd, t. 3 , p. 267-279^
Récapitulation des preuves, qui démontrent que
, la - théoiogi e , qui fait le fond de l’Apocalypse,
est celle des Mages, t. 3, p. 279.
Explication de la fiction faite -sur le Génie monté
sur le cheval blanc, et qui combat contre la
bête, t. 3 , p. 281.
Rapports établie entre ce Génie, Persée, et le
Dieu Mithra des Perses, t. 3-, p. 281—284.
Explication d elà fiction faite sur l’ange qui enchaîne
le grand Dragon, t. 3 , p. 2,85, 293» Ha g| . Sgi . , ,
Il est le même que celui q u i, dans le poème de
Nonnus,.aide Jupiter à vaincre Typhon, t. 3,
p. 286.
Explication de la fiction des Millénaires sur la
durée du règne de mille ans,, t. 3 , p. 286,.
287—291.
Explication de la fiction sur le jugement, t. 3 ;
P* 291. . > , a
Là doctrine de ce livre, la même que celle des
Mages, remonte à là plus haute antiquité,
t. 3 , p.,292.
Comparaison de ces fictions avec celles de Daniel,
t. ,3 , p. 292, 293.
Couronne de vie donnée aux vainqueurs dans la
fable‘mystique des-Apocalypses, t. 3 , p. 294.
Description d e là nouvelle Jérusalem, et du bonheur.
dont y doivent jouir les initiés. Explication
de cette fiction, t. 3 , p. 295—3,21.
Comparaison de cette fiction avec le paradis des
Mages,, et celui des Scandinaves, t. 3 ,. p.. 296 ,
.. 297. , / , . . '
Description du fleuve, qui coule du trône de l’A gneau
et de l’arbre de vie. Explication de cette
fable, t. y , p. 3 15 -3 2 1 .
Cette fiction est empruntée d’Eiéchiel , t. 3 ,
p. 3 I 5* * s
Elle est aussi dans Lucien, t. 3 , p. 310.
Réflexions en forme de récapitulation sur le but
de cet ouvrage, et sur sa nature, t. 3> P* 32 I'~
323. I I ' ,
On le lisoitdans l ’église, durant tout le temps que
le Soleil mettoit à parcourir l’Agneau, dont
Christ oit le Soleil prend la forme au printemps,
t. 3 , p. 322. | . . . ,
Motifs qui firent choisir cetté epoque de lannee
pour cette lecture, t. 3 , p. 322, 323.
'Apollon, Dieu Soleil, le plus grand des Dieux,
t. 1 , p. 13 ; t. 2^ p. 148, 149.
Son inscription et son autel dans l’Inde, t. 1 ,
p. 29. . , .
Ses inscriptions sur les Obélisques Egyptiens, t. 1,
P* 51*
Renouvellent élit des lauriers dans ses temples,
t. 1 , p. 156. : • ‘
I l est l’intelligence solaire, t. 1 , p. 167, 279;
t. 2, p. 149.
Apollon Musagète ou chef des Muses, t. 1 ,
p. »79.
Il est le Soleil des signes supérieurs, t. 1 , p. 418.
Apollon Ecbasius , t. 1 , p. 490.
Il séjourne six mois en Ly.cie, et six mois a
Délos, t. 1 , p. 499*
Chant sur sa victoire, t. 1 , p. 499.
Ses rapports avec Bacchus, t. 2 , p. 8—1 1 , M7 >
ï48. .
Sous quels rapports considéré il prend ce nom,
t. 1 , p. 147, 148, 154-
Il est représenté par l’Epervier, t. 2 , p. 259,
275.
Il est peint sous l’emblème d’une Sphère, t. 2 ,
P- 259*
Ses fêtes appelées Daphnéphores, t. 2, p. 259.
Sa statue en Syrie, t. 2, p. 222.
Manière dont il y rend ses oracles, t. 2 , p. 222,
223.
Cérémonie, dans laquelle ôn pafle à travers le feu
en fon honneur , t. 2 , p. 249.
Ses rapports avec les animaux célestes, f . 2 , p. 150.
On le fait fils de Bacchus & d’Isis, t. 2, p. 155.
Sa victoire fur le Serpent Python > explication de
cette fable, t. 2, p. 150.
Son culte & fon oracle à Patras, t. 2 , p. 236.
Noms de fes époufes & de fes amantes, t. 2,
p. 150, 151.
Son union aux Pleïades & aux Hyades, t. 2 , p. 151.
Il donne n alliance à Efculape, t. 2, p. 151.
Il eftbanni des Cieux: explication de cette fiction,
t. 2 , p. 152.
Mercure lui vole fes boeufs, t. 2, pj 152.
Origine de fon union aux Mufes, t. 2 , p. 152^
153, 154.
Statue d’Apollon Isménie», t. 2 , p. 153.
Pourquoi Apollon tient en main la Ly re, t. 2,
p. 154* . . . ,
Il eft le Dieu de la divination &. de la medecme,
t , 2 , p. 148, 153, 154-
Son identité avec Ofjris, Bacchus, Orus, Belus,
Mithra , &c. t. 2 , p. 148 .> 149*
Oara&ère de fes ftatues, t. 2 , p. 149.
Il eft je Dieu-Soleil du Printemps, t. 2 , p. 150.
Ses fêtes, t. 2 , p. 150, 153.
Temple d’Apollon Carnéen, t. 2, part. 2, p. 26.
Culte d’Apollon à Afina, t. 2 , part. 2, p. 27.
Sa ftatue à Elis, t. 2 , part. 2 , p. 27.
Sa ftatue pyramidale à Mégare, t. 2 , part. 2 >
P* 32- H
Temple d’Apollon Agréus, t. 2 ,'part. 2 , p. 32.
Temple d’Apollon Isménien, t. 2 , part. 2 , p. 33*
Autel d’Apollon Polien, t. 2 , part. 2 , p. 33.
Apollon" Archegêtès, t. 2 , part. 2 , p. 34. .
Apollon & Mercure unis, t. 2 , part. 2 , 35.
Statue d’Apollon Temnitès, t. 2, part. 2 , p. 39.
Sa ftatue à Gythium, à côté de celle de Bacchus,
d’Hercule, & d’Efculape ou du Soleil du Taureau
équinoxial, du Lion folstitial & du Serpentaire
d’Automne, t. 2 * part. 2 , p. 70. •
Son temple à Tanagre avec ceux de Bacchus, de
Vénus & de Thémis, t. 2 , part. 2 , p. 74.
Il aime Cybèle, t. 2, part. 2, p. 77.
I l écorche -Marsyas , t. 2 , part. 2 , p. 77.
Son tombeau à Delphes, t. 2 , part. 2 , p. 775
t. 3 , p. 75.
II e ft, comme Chrift, pleuré par trois femmes,
t. 2 , part. 2, p. 195.
Epoque de fon triomphe, fur les ténèbres, t. 2 ,
part. 2, p. 195.
Vers gravés fur le tombeau d’Apollon, par Pytha-
, gofe, t. 2 , part. 2 ,p . 195*
Il eft quelquefois peint la tête rafée, t. 3 , p. 39-.
Il eft l’Horus Egyptien, t. 3 , p. 75-
Fête à l’occàfion dë fa viétoire. fur Python, t. 3 ,
p. 63, 253. -u. . ,;£.. _
Les Hyperboréens célébroienf fon retour,à l’Equinoxe
de Printemps, t. 3 , p. 76.
Cara&ères qui rapprochent Apollon ou le Dieu-
Soleil, du Chrift Dieu Soleil des Chrétiens ,
t. 3., p. 118.
Pourquoi fa Lyre avoit fept cordes, & pourquoi
le nombre fept lui fut confacré, t. 3 , p.- 219 \
t. 3 , part. 2 , p. 299.
La lumière du Soleil eft fon archet, t. 3 , part. 2 ,
p. 300, 303.
Mercure lui dérobe fa Lyre, t. 3 , part. 2 , p. 132 ,
133-
Explication- de l’infcription de fon temple à Delphes
, t. 3 , part. 2 , p. 296, 297.
Arabes , tribus Arabes placées chacune sous l ’invocation
d’un aftre, t. 1 , p. 6, 69.
Leurs idoles, & leurs talifmans, t. r , p. 9.
Arantus & fes enfans; cérémonies qui fe prati