9° T A B L E G f
physique et périodique, connu sous le nom
é Hiver, t. 3 , p. 12 , 22.
Il eft par-tout un des attributs du mauvais principe,
ibid. p. 14.
Fable du Serpent d’Eve fondée sur le syftême
des deux principes, ibid. p. 16.
Ce symbole pareil plus d’une fois dans la théologie
des Perses. Il pénètre dans le Ciel. Il ramène
les longues nuit?. On l ’appelle Astre
Serpent, et Couleuvre, mère de l’Hyver,
dans'les livres de Zoroaftre. On l’unit au Loup.
Il eft le Set pent du Tôle, dont triomphe, Apollon.
Las- Perses appellent' encore aujourd’ hui le
Stf- pent d’Ophiucu», le Serpent-d’Eve. Tradi-
■ tion Rabbinique qui confirme les rapports du
Serpent d’Eve , avec celui des Çonuellations.
Son union au Chameau , ibid. p. 28, 19.
Sa position relativement à la Balance, ibid. p.
22 , 29, 62.
I l eft vaincu par l’Agneau, ibid. p. 30, 63.
11 sert à peindre le mauvais principe, qui introduit
le mal et les Ténèbres en Automne, ibid.
P- 58^59*. .
Son opposition à l’Agneau, ibid. p. 59— 61.
Serpent qui se mord la queue, et qui désigne le
temps, ibid. p. 235.
Conjectures sur les divers Serpens placés aux
Cieux. Ils furent une image des fleuves, ibid.
P- 354.
Serpentaire. Conftellation. Sa position aux Cieux,
et son attitude, t. 3 , part. 2 , p. 127.
Ses idoles. Ses temples, t. 1 , p. 6 r , 64.
Les Rhodiens lui sacrifient, t. 1 , p.* i 5 8 ; t. 3 ,
part. 2, p. 128.
Il eft Phorbas et Cadmus, t. 1 , p. 158; t. 2 ,
151.
Il eft Carnobuta, roi des Gètes, t. 1 , p. 163 ;
t. 2 , part. 2 , p. 2?j.
Universalité de son culte, ibid. p. 309.
Il fonde Thèbes en Béotie, ibid. p. 337.
Il eft Esculape et Sérapis, ibid. p. 402; t. 2 ,
p. 166 ; t. 2 , part. 2, p. 220; t. 3 , p. 29.
Il eft Jason , ibid. p. 463 ; t. 3 , part. 2 , p.
429.
Son nom en Hébreu et en Arabe, t. a , part.
2 , p..22Ô.
Appelé Berger. Comme St. Roch, il guérit les
maladies, et il a son Chien, t. 2, p. 167.
Il donne ses formes à Esculape, s’appuyant sur
un bâton entortillé de Serpens, ibid. p. 187.
Liaison de cette Conftellation aux myftères
d’Eleusis, t. 2 , part. 2 , p. 224.
Il eft placé sur la route des âmes, lorsqu’elles
descendent aux enfers. Il eft Triopas. Son union
aux myftères de Cérès et ses aventures, t. 2 ,
part. 2 , p. 225. «
i N Ê R A L E
Il figure dans l’Apocalypse. Dans le poème de I
Nonnus, t. 3 , p. 284, 286.
Il eft l’Hercule d’Athénagore, t. 2 , part. 2 , I
p. 226.
Il eft Tantale, père de Pelops, t. 3 , part. î , I
p. 1 p3 .
Il eft Êsculape, Hercule , Triopas , Phorbas, I
Tybris, Thésée, Prométhée, Ixion, Cadmus, I
Jason, etc. Il refluscite le Cocher Hippolyte. Il I
refluscite Glaucus. Origine de son Seipent. I
Fiction sur le Serpentaire, sous son nom de I
Carnobuta. Sous son nom de Phorbas. Sous I
son nom d'Escul p e. Sous son nom d'Hercule. I
Sous celui de Ttiptolàme. Sous celui de Tan- I
"tâlè. Explication. Ses divers noms en diverses I
langues. Noms de ses Etoiles particulières. I
Diverses figures qui y furent peintes. Ses levers, I
ses couchers et Phénomènes météorologiques I
qui les_ accompagnent, t. 3 , p. i» 7 , I29> I30, I
Seth. Chef du Sabisme, t. 1 , p.* 8.
Livres de Seth. Nom de la Canicule ou de ■
Siriu8. Colonne de Seth. Son lever ouvre l’an- ■
née Egyptienne, t. 1 , p. 160 ; t. 2 , part. 2 , ■
p. 202.*
Signes céleftes. Ils servent à diviser le temps, H
et donnent leurs attributs au Soleil. Ils furent ■
pris pour causes, t. 1 , p. 109; t. 3 , p. I
22.
Signes céleftes divisés en mâles et femelles, t. 1,
p- p P
Origine des Signes, de.leurs noms et des figures, ■
qui y sont tracées, t. 1 , p. 176.
Ils sont liés au Soleil et à la Lune, ibid. p. aïo. I
Se lient aux auties Altres, ibid. p. 215.
Signes de bien et de mal, ou Signes de Dieu I
pt du Diable, t. 1 , p. 234; t. 2,. part. 2 , 1
p. 221 ; t. 3 , p. 20, 22.
Signes et parties de Signes réputés Dieux, t - 3 ,B
p. 229, 239. I
Quatre Signes des saisons. Quatre Etoiles royales, ■
ibid. p. .240.
Désignés par douze Etoiles, ibid. p. 250.
Division par douze, tant en longueur qu’en lar* ■
geur, affectée aux douze signes du Zodiaque, ■
1. 3, p. 303. I
Appelés Portes du Ciel. Appelés Chefs et Mo- H
dérateurs. Président aux douze tribus d’ Israël, ■
ibid. p. 3°4*
Représentés par douze pierres précieuses, ibid. p*fl
307— 311. I
Leur influence sur le monde sublunaire. Tableau ■
de leur influence sur les Métaux, les-Plante*■
et les Elémens, ibid. p. 3.10.
Leur combinaison avec les Planètes. Figurés pa(M
la roue aux douze vases. Divers symboles qul ■
les représentent. Rapport des douze Apotr^H
avec les douze signes. La régénération des aine* ■
se fait par les Signes, ibid. p. 3 l I > 3*4* I
Leurs noms. Leur diftribution en mâles et femelles.
En diurnes et nocturnes. En Signes
fixes, tropiques, communs , -quadrupèdes et
bicotpore. Signes affectés aux divers vents.
Aux quatre élémens. Aux diverses partie*
du corps-humain. Aux douze grands Dieux.
Diftinction des Signes en septentrionaux et méridionaux
descendans et ascendan , droits et
obliques. Leur caractère aftrologique et météorologique
, t. 3 , parti 2 , p. 19— 24.
Leur division par dix et par douze, ibid. p.
23.
Sintos. Religion du Japon, t. 1 , p. 32, 281.
Sirius. Voyez Qrand Chien, ci-deffus.
Etoile du grand Chien. Elle ouvre la période
Sothiaque, ibid. p. 160.
Son culte, t. 1 , p. 6.
Sacrifice à cet Aftre. Prognoftics, qu’on en tiroit,
ibid. p. 64, 206.
Chef des autres Aftres, ibid. p. 6 6 , 1 14 , 232.
Fable sur Sïrius, t. 1 , p. 93.
Il cause le débordement du N il, ibid. p. n o .
Description de cet Aftre, ibid. p. 114.
Ses influences, t. 1 , p. 203.
Etoile d’Isis, Chien d ’Erigone. Anubis, t. 2 ,
part. 2 , p. 202, 203.
11 préside à l ’ouverture de la période Sothiaque,
et à l’année Egyptienne, ibid. p. 202 j t. 3,
P- 347* *
Ses rapports avec les deux portes du Soleil et
des âmes, ibid. p. 202.
Ses rapports avec le commencement du monde et
de la période Sothiaque , et avec le déborde«
ment du Nil, t. 3 , p. 17 6 , 335.
Paranatellon du Cancer, ibid. p. 17 6 , 335.
Il eft préposé à la garde du Ciel, ibid. p. 277;
t; 3 ^ p. 348.
Chien d’ Isis. Sa position relativement à l’Horizon
au moment de l ’invention du Zodiaque. Rapport
de ses fonctions avec celles du Chien.
Il eft Anubis et Mercure. Sa tête rayonnante.
Honore sous le Symbole d’un Chien, vivant
par les Egyptiens et les Ethiopiens, ibid. p.
34S— 349.
Etymologie de ses divers noms Seth , Syth ou
Sothi, qui lui fureat donnés, \t. 3 , p. 353.
Socrate. Il s’occupe le premier de la morale,
t. i ,- p. 126.
So le il adoré en Egypte et en Phénicie, t 1
p. 418*
Chars et Chevaux consacrés au Soleil, ibid. p. 5 .
Son temple à EmefTa. Son autel en Arabie ibid.
p. 6.
En Grèce, ibid. p. 63.
Sa fontaine, ibid. p. 7 , 10.
Chevaux immolés a cet Aftre, ibid. p. M 23,
Son temple à Athènes. Son coloffe à Rhodes. Ses
fêtes et ses combats Gymnique?. Invoqué par
Agamemnon. Ses sacrifices en Macédoine. Ses
statues on Ionie , ibid. p. 3 , 14 , 22.
Montagne consacrée au Soleil en Laconie, ibid.
p. 14.
Ses autels, ses statues , ses temples en Grèce.
En Italie. En Espagne. Son temple et sa statue
à Byzance. Soleil, Dieu de Conftantin et de
Julien. Grand Dieu des Perses. S’on temple à
Toulouse. Son culte en Albanie. Dieu des
MafTagètes et des Derbices, ibid. p. 19— 23.
Son temple à Gaza, ibid. p. 25.
Son culte dans l ’Inde, ibid. p. 28.
Cérémonies des Brachmanes en son honneur. Pagodes
du Spleil. Son culte dans les îles de
l’Océan Indien. Il s’y appelle Iri II fut adoré
à Java, àSummatra, dans fiçs îles de là Sonde,
aux Moluques, dans i’île de Célèbes, aux Philippines,
ibid. p. 29--30.
A Arrakan, au Tunquin, à la Chine, ibid. p.-31 >
mm
A u Japon. Dans l’île de Formose. En Ethiopie.
Sa table sacrée. Ses Prêtres, son attelage. Sa
fontaine chez les Troglodyttes, ’ et près du
temple d’Ammon. Isle consacrée au Soleil. Son
cuite à Carthage. En Numidie. Son temple
et-sa statue près de l ’Océan Atlantique. Soleil
adoré au Congo et à Angola. Aux Canaries.
Au Pérou. Son temple, ses images, ses
Vestales, ses Prêtres et les cérémonies de son
culte, au Mexique, au Brésil, à l’ Isthme de
Panama, chez les Caraïbes, à Saint-Domingue,
à Cumana, en Floride, à Cayenne, en Virginie
, chez lea Huions, chez les Panis, au Canada
et à la Baye d’Hudson. Universalité de
son culte, ibid. p. 32—41.
Son temple à Héliopolis. Son labyrinthe, ibid.
P- Jo-
Son image circulaire,* ibid; p. 53»
Sa statue à Elephantine, ibid. p. 54.
Représenté par une Sardoine, ibid. p» 38.
Forme de ses temples, ibid. p. 65.
Sa statue à Byzance, ibid. p. 72.
Son idole adorée parles Manichéens, ibid. p. 71J»
Sa fête, ibid. p. 83.
Ses jeux et son char, ibid. p. 86.
Son char et ses chevaux, ibid. p. 87.
Il étoit représenté par le Dadouque à^Eleusis,
ibid. p. 89; t. 2 , part. 2 , p. 196, 199, 200.
Description de son lever, ibid. p. 100.
Son mouvement dans l’Ecliptique, ibid. p. 102.
Sa double faculté. Phallus emblème de sa fécondité.
Son éloignement de nos climats donne
lieu à des fêtes de deuil, ibid. p. 103.
Il est au centre du système planétaire, ibid.
p. 107, 247.
Ses images et fes noms varient avec les signe* et
les saisons, ibid. p. 109, 16 3, * 54 3 t. 2
P- 99-
M %