Pythagore. Ses dogmes sur ie monde , t. i ,
p. 9 4 1 , 245, 246.
Sur l ’Ether, ibid. p. 196.
Sur les E lé mens , ibid. jp. 200.
Ses dogmes sur l’Ame ;univeiselle , ibid. p.
Sur la cause première, ibid. p. 25-6« .
Il fait usage de l’impofture religieuse, t. t!,}
.part. 2 , p. 120, 121.
Python tue Apollon. Il eft .le Serpent du Pôle,
t. 2 , part. 2 , p. 19 5 ; t. 3 , p. 255; t.*}.,
part. 2 , p. 80.
Fête de sa défaite, p. 253,
R.
R a d am a n t h E, Législateur, emploie Pimpoflure
religieuse, t. 2 , part. 2 , p. 118.
JRaria. Champ sacré de Gérés, t. 2 , part. 2 ,
P- 32* .
Rational du grand Prêtre des Juifs, t. 1 , p.
57--59- . - . ■
Explication des pierres précieuses qui le' composent.
Il étoit une ima*e du C ie l, t. 1 , p.
58. 5 9 ; l - 3 . p. 3Ô8--3ÏC.
Un iiiftrument de divination, t. 1 , p. 58, 5p.
Reites. Ruifleaux sacrés sur la route d’Eleusis.
Leurs Poiffons ne peuvent être pêchés que
par les Prêtres, t. 2 , part. 2 , p. 31—32.'
Religion. Le culte de la Nature a été la Religion
universelle, -t. 1 , p. 285.
•Religion des Egyptiens et des Phéniciens, t. 1 ,
P* 4 ? / .
Des Chaldéens, Syriens , Cananéens, ibid. p. 4—
7 , i 87 -
Dés Arabes et Sarrazins* . Des Homérites, ibid.
p-é- I HH De l’Europe, ibid. p. 13—22.
De l’Asie. De l’Afrique, ibid. p. 22.
De l ’Amérique, ibid. p. 53—35— 4°-
Des Grecs, avec ses changemens , ibid. p. 13 —
18.
Des Macédoniens, ibid. p. 1*4.
Des Pélasges , ibid. p. 16.
Des Romains, ibid* p. 19-
Des Espagnols. Des Siciliens. Des Crétois. Des
Scythes, ibid. p. 20.
Des Celtes, ibid. p. 21 ,2 8 8 .
Des Hongrois. Des Francs. Des Scandinaves, p.
a i ', 22 ; t. 2 , part. 2 , p. 157.
Des lliyriens. Des Theffaiiens. Des Irlandois. Des
Allemands. Des Gaulois. Des Germains. Des
Bretons ou Anglois. Des Suèves, Goths et
Teutons, Des Danois, ibid. p. 2r.
Des Ioniens, ibid. p. 22, 68, 71.
Des anciens Turcs. Des Mcgolo-Tartares. Des
Maffagètes. Des Hyrcaniens. Des Tartares. Des
Perses, t. 1 , p. 23-27.
Des Curdes , ibid. p. 66.
Des Faroguis, ibid. p. 25.' .
Des Parsis , ibid. p. 282.
Des Guèbres, ibid. p. 28, a S i.
Des Indiens. Des Banians. Des Brachmaae«, iWd,
p. 28, 29.
De Ceylah, ibid. p. 30, 290.
Des îles de la Sonde, de Java, Sumatra, dss
Moluques, de Célèbes, des Philippines, t. r,
p. 30. 4^9 2 9°-
Des Siamois, ibid. p. 31 , 282.
Des Arrakarois. Du Tunquin. Des Chinois, ibid,
p. 31 , 45 , 284-286.
D u Japon , ibid. p. -32 , 281.
De Formose, ibid. p. 33, 283.
Des Ethiopiens. Des Troglodyttes. Des Icfetyo*
phages. De Pile de Socotora, ibid. p. 34.
De Madagascar, ibid, p* 226, a83.
Des Nègres du royaume de Juida et du Sénégal.
Des Hottentots. De Loango, ibid. p. 35 ,
289.
De la Cyrénaïque, de la Mauritanie , et de la
Numidie, ibid. p. 35.
Du Congo et d’Angola. Des Canaries. Des Carthaginois.
Des Américains. Ses doubles formes.
Des Péruviens, ibid. p. 36-38.
Des Mexicains , ibid. p. 38 , 291.
De l’ Isthme de Panama, ibid. p. 38, 45.
Du Brésil. Des Caraïbès. De Saint Domingue.
De la côte de Cumana. De Cayenne. Des FIg-
ridiers. Des Iroquois.' Des Hurons. Des Virgi-
niens, ibid. p. 59, 29.1.
Des habitans des bords du MHTouri. De« Sauvages
de l’Amérique septentrionale. Du Canada
et de la baye d’Hudson, ibid. p. 40.
Religion Chrétienne. Explication de ce système
religieux,, t. p. 5—155.
File eft la même que celle de Mithra, t. 3, p.
C 5 5 4i » 6 1 , S7.
Sa liaison avec celle des Juifs , t. 3 , p. 5.
Application de la Religion à l’ordre social, t. 2.,
part. 2 , p. I , 1 ’ 2 , 259.
Faut il une Religion? Non, t. 2 , part. 2 , p»
109, 12 5, 159.
Religion afîimiiée au poisan, ibid.p. 109, i i p j llf ;
Triple base des Religions, ibid. p. 112. ^
Elle est une invention des Législateurs, t. 1 ,
p. 10 9 -1 15 .
Abus des Religions, ibid. p. 123, 100.
Leurs dangers pour la politique et pour la morale,
ibid. p. 123.
Les Chefs des religions inventent la fiction des
récompenses et des peines de l’autre vie, ibid,
p. 126.
Comment la religion Chrétienne corrompt la morale,
et nuit au bonheur des sociétés par l’absurdité
de ses préceptes. Examen du ridicule
de ses dogmes. Combien ils sont dangereux.
Exemples ridicules, qu’elle propose à imiter,
ibid. p. 161—170. «
De l’accord des religions avec T es lois , bid. p .
170, 245. ,
Religion Chrétienne la plus funefte des inffîtu-
■ 'rions religieuses; ibid. p. 174.
Charlatanisme des Chefs de religion, ibid. p.
259. \ ' 0
Nombre sept consacré par-tout dans cette reli-
gion, t. 3 p. 47;
Moyens de terreur qu’elle a toujours employés,
t. 3 , p. 202, /203.
Liaison des dogmes de la religion Chrétienne ,
avec ceux des J uifs et des Perses, t. 3, p. 1 ,
22, 43, 41.
Signe caractériftique donné aux initiés de cette
secte, ibid, p* 61.
Rapport de, ses dogmes et de ses mystères avec
ceux de Mithra , ibid. p. 82—87.
Réflexions sur l ’époque à laquelle cette religion
a pafié en Occident. Les Païens eux-mêmes
nous ont indiqué les rapports qu’ayoit cette
religion avec Te -culte du Soleil. Traces du
culte du Soleil conservées dans J es premières
Sectes du Chriflianisme. Sectes chrétiennes, qui '
en Orient adoroient le Soleil. Les Chrétiens
•nt paffé pour adorer Sérapis, lequel est le
■ Soleil, p. 88.
Pratiques des Chrétiens, qui indiquent que le
Soleil est leur Dieu, ibid. p. 88,
Explication de la- partie théblogique de cette religion
ou de sa trinité" ibid. p. 92— 138.
Récapitulation des preuves développées dans notre
^ traite sur la religion chrétienne, t. 3,- p. 138.
Conclusion de tout ce traité. Réfutation des objections,
ibid. p. 150.
Plusieurs de ses fêtes empruntées du paganisme;
grossières erreurs à ce sujet, ibid. p. 150— 152!
Idéa^ précise, qu’on doit avoir de cette religion
dépouillée de sis fictions et de ses abstractions,
ibid. p. 153. -
Elle n a rien qui soit à elle dans sa théologie,
comme dans ses mystères, ibid. p. 80', 02 .
13 7 ,13 8 . y
Eile^ appartient au spiritualisme, jtyd. p. 109—
Conformité de ses dogmes avec ceux de la théologie
orientale, ibid. p. 126, 127.
•Conformité avec ceux des. Platoniciens, ibid.
p. 128— 131.. •
Accord de sa théologie avec celle des autres
■ peuples, ibid. p. 133. 9
Les dogmes, les mystères, les fictions principales
des Chrétiens se retrouvent chez tous les
peuples. Cette religion est de beaucoup antérieure
à la légende que nous avons, et qui
fut faite depuis Tibère, ibid. p. 138. •
Idée qu’on doit avoir des saints de cette religion f
ibid. p. 150 -152.
Combien ses Docteurs ont emprunté des dogmes
de Platon, ibid. p. 304.
Remphan. Culte de l’Astre Remphan, t. 1 , p. 5;
t. 2 , p. 246, 252.
Sa chapelle, t. 1 , p. 68.
Ses rapports avec Saturne, t. 2 , p,. 252.
.Renard. Constellation, t. 1 , p. 93.
Etoile du Renard, t. 3, p. 36, 63, 77.
Réparation de la chute de l’homme, t. 3, p. 37-**
9 1*
Résurrection des corps, t. 1 , p. 2'38.
D ’Hercule, t. 1 ,' p. 311.
D ’Osiris, t. 1 , p. 378; t. 2 , part. 2, p. 194 ;
t. 3 , p. 56, 67.
Ficticm sur la résurrection, t. 2 , part. 2, p*
.146* _
Résurrection de Mithra. D ’Horus.- D ’Adonis,
t. 2 , part. 2,- p. 19,4; t. 3 , p. 71 -74*
De Bacchus-, t. 2 , part. 2 , p. 195 ; t. 3 , p. 6 7 ;
69*
D ’Apollon, t. 2, part. 2 , p. 195.
Résurrection par le Taureau, - t. 3 , p. 26, 278,
. 293- wBm ' •
Par l’Agneau, t. 3 , p. 26, 2 7 , 2 7 8 2 9 3 .-
Fable' sur la mort et sur la résurrection de Christ,"
3 , p. 53-90.
Raison qui la fit placer à l’Equinoxe de Prin*
temps, ibid. p. 55, 56.
Sa fixation primitive au^vingt-cinq Mars. Résurrection
de Christ fixée à minuit précis, ibid.
V- 56-,
Fêtes,à l’occasion de la résurrection d’Osiris, ibid.’
p. 67.
Résurrection d’ITorus, ibid. p. 75.
Epoque de la résurrection générale,, t. 3, p. 205.'
Résurrection générale dans le système des Mages,
ibid. p. 273.-, 278.
Le- dogme de la résurrection commun aux Sectaires
de la religion de Mithra, à ceux de la
Secte Phrygienne et aux Encratiques, ibid. p.
207.
Sort des hommes après la résurrection, ibid.
p. 279. •
Double résurrection, ibid. p. 286—294.