Le nom de Jupiter fut une épithète générale»
ibid. p. 238.
Rapports de sa Planète avec le bon Génie, ibid,
p. 243. :
Jupiter Sauveur, t. 2, part. 2, p. 18.
Jupiter Omagyrès, ibid. p. 19. .
Il fut nourri sur le mont Lycéen, ibid. p. 2.3.
Moms des Nymphes,' qui T y nourrirent, ibid.
p. 23 , 26.
Jupiter Métichius. Son ,autel.' Sa statue pyramidale
à Patras, ' ibid. p. 31.
Culte de Jupiter Sauveur, vainqueur du Serpent.
La Fortune et Hygiée près de lui. Statue
de Jupiter Pluvieux. Jupiter Roi, ibid. p. 35 ,
I f f
Jupiter Sauveur adoré à. Thespies, avec Bacchus,
la Fortune:et la santé , t. 2 , part. 2 ,
p. 71.
11 jète les testicules d’un Belier dans le sein de
Çérès,"ibid. p. 224.'
Jupiter enfant, t. 3, p. 41."
Ses roms chez les Bithyniens et les Scythes, t. 3 ;
ÉDieïui tsuf piriême, auquel les autres sont tous subordonnés,
ibid, .p; 92.
Dég • ,é en Colombe-, il obtient les Faveurs d’ une
Vierge, ibid. p. i c i .
Jupiter naissant monté sur le Capricorne, t. 3 ,
part. 2 , p. 103.
Jupiter Serpent. Ses amours avec Proserpine. Position
du Ciel dans cette union mythologique >
t. 3 , part. 2, p. 117—1 1 9 , 120.
Ses amours avec Thétis. Il délivre Prométhée,
jbid. p. 143.
Justice. Main de justice portée dans les mystères.
Sa statue sans tête.. Sermon sur la justice
fait dans les mystères, t. 2 , part. 2 , p. 201.
L.
T'jaBy r i .v t i ie d’Egypte. Sa destination et sës
divisions, t. 1 , p. 30.
Lac sacré du Gevaudan. Cérémonie qui s’y prati-
■ quoit, t. 1 , p. 21..
La titu de , sa définition , t. 3 , part. 2 , p. 6.
Latone, sa statue unie à celle de Bacchus -, de la
.fortune et de la Victoire ailée, t. 2 , part. 2 ,
p .7 1 . . •
Représentation de ses couches, ibid. p. 104.
Elle est la femme de T Apocalypse , t. \ j p, 270.
Elle esf-mère d’Apollon et de Diane , t. 2 , p.
267.
Serpent qui la poursuit, t. 2 , part. 2 , p. 227.
Son temple près celui d’Escuhipe, ibid. p. 19.
Laurier, motif de s* consécration à Anollon , t.
2 , p. 280.
Législateurs inventent le faux système des religions,
t. 2, part. 2 , p. 109 , n o , 1 1 2 , 1x5.
Erreur de ceux qui ont imaginée«moyen politique,
ibid. p. 109 , 110 , 113 ,1 2 4 , 126, j 63.
Ils ont tous été imposteurs, ibid. p. 116 — 121.
Enumération des divers législateurs qui ont employé
ce moyen funeste,ibid. p. 1 1 7— 119.
•Accord des législateurs et des Prêtres pour tromper
les Peuples , ibid. p, 119.
Usage qu’ils ont fait des fictions effrayantes , t. 3 >
p. 204, 205.
Lemniades , elles racontent leur aventure aux A r gonautes
, t. 1 , p. 487,489.
Lencippe,'filles de Leucippe. Leurs noms, t. 2 *
part. 2., p. 70. |
Levers et couchers des- astres. Origine et usage de
ces observations, t. 1 , p. 211.
Calendriers qui les contiennent, t. j , p. 212, 316»
Ils sont la base des fables anciennes, ibid. p. 9, 213,
214.
Théorie des levers et des couchers, ibid. p. 214.
Leur usage pour la composition des statues et des-
images sacrées, ibid. p. 21-4'.
Diverses espèces de levers et de couchers et leurs
dénominations particulières, t. 1 , p. 2x8 — 220*
Application à des exemples , ibid. p. 221.
Effets variés qu’ils produisoient clans, les diverses
saisons, ibid. p. 2 2 1,22 2.
Liàvre , constellation, sa position. Il y fut placé par
Mercure. Il forme le cortège d’Grion. Motifs
qui l’ont fait placer au nombre des Constellations..
Ses couchers et levers avec les phénomènes météorologiques
qui sTy lient. Ses divers noms en diverses
langues, t. 3 , part. 2 ,p . 156, 157.
Lin.gam,: emblème delà cause active et passive
,t.- i ,p . 12 7 , 128, 135 , 137; t. 2 , part. 2 , p.
188.
Sa figure unie au Serpent, t. 1 , p. 189.
L i o n 3 ni mal céleste, donne ses attributs à Hercule-
ou au Soleil , dont il est le domicile, t. 1 , p.
64, i 53» 3°^» *■ 3 »-P* 24 3- . - . .
Lions isous le trône d’Horus et de Salomon ,ibid*
p. 61,306 j 308 ; t. 2 , p. 267; t. 3 ,p. 219,243 ,
.34T- .
Lions sacrés d’Heliopolis, t. 1 , p. 6 4,306 ; t. 3 ,
p.243.
Les images du Lion ornent les fontaines et les
temples d’Egypte , t. 1 , p. 64 , 306 ; t. 2 , p.
202 , 266 ; t. 3 , p. 219, 333; t. 3, part. 2, p. 56.
Signe du débordement, t. 1, p. 64.
Cause de ce même phénomène , t. r v p. '1 10 , 160 ;
t;X ,p . 20 2,26 7; t. 3 p. 333-
Lelle etoile du coeur du Lion, Rcgulus , une des
étoiles royales, t. 1 , p. 117,
Ses noms, t. 3 , part. 2 , p. 50-,
Ses images sur les Talismans,-1. 1 , p. 160 ; t. 2 «
p. 266. t
Lion placé sou* le monument de Mithra , t. 1 ,
p. 306.
Son image vivante en Egypte, t. 1 , p. 161.
L ion place sous la figure ci Os y m an dia s, ibid. p. 2 11,
308,423.
Symbole du Soleil à Léontopolis, ibid. p. 306 j t.
2, p. 266.
Leurs oracles à Heliopolis, t. 2 , p. 267.
Symbole de la tribu de Juda , t. 1,. p. 306; t. 3 ,
p.243.
Sa figure sous le vaisseau symbolique du monde,
t. 1 , p. 308 ; t. 3 , part. 2 , p. 305.
Monture de Mezraïm , t. 1 , p. 309.
Lion des Abraxas, ibid., p. 309 ; t. 3 , p. 243.
Lion placé au bas du trône de Jupiter Olympien,
Lion de Viehnou dans l ’Inde , ibid. p. 317.
Lion du Zodiaque-, appelé Lion de Nemée , ibid.
p. 320,
Lion céleste, siège, de Jupiter, ibid. p. 321.
Ville des Lions, ibid. p. 193.
Union du Lion à Atargaris, à Junon , à Ilhéa et à
Cybèle , t. 2, p. 2 1 4 ,2 2 0 ,2 3 7 .
Lion de -Junon, ibid. p. 219.
Origine du culte des Lions , t. 2 , p. 264-- 266.
Ses qualités symboliques. Lion consacré à Vulcain.
Rapports qu’a.voient les Lions sacrés avec le Lien
céleste. Lions d’Adonis. Animal solaire. Son
union à l ’A ig le , t. 2 , p. 265.
Temp e élevé aux Lions sacrés ,e t manière dont on
les nourrissoit, ibid. p. 207.
Lion de Mithra comparé à celui d’Hercule et de
Samson , t. 2 , part. 2 , p. 90.
Le premier des quatre animaux de l’Apocalypse.
Lion des mystères, t. 3, p. 210.
Lion Mithriaque, t. 3, p. 219 ; t. 3 , part. 2 p.
3° 5-
Chef des mouvemens célestes et de la fatalité , t 3
fflercule se repose sur la peau du Lion, t. 1 , p. 3 59;
341 •
vngine de ce symbole. Il est le premier travail
d Hercule. Le colure des Solstices a passé parle
coeur du Lion > t* 3 , p» 341.
Période Sothiaque commence au Lion , ibid. p.
347> L 3 , part. 2 , p. 4 9,50 .
Union du Lion a Sirius pour désigner les ardeurs
solstitiales, ibid. p. 347 • t. 3 , part. 2 , p. 49,
5°.
Nourri dans la Sphère de la Lune, t. 3 , part. 2 «
P- *?•
Domicile du Soleil, siège de Jupiter ,et de Cybèle,
et de l ’élément du feu, ibid. p. 49,
Ses divers noms en diverses langues, fa position.
Ses 'levers et ses couchers avec les phénomènes
météorologiques , qui les accompagnent, t. 3,
part, a , p, 50, 51.
Logos, Verbe , abstraction d e là Théologie Platonicienne
, adoptée par les Gnostiques et les
autres sectes Chrétiennes, t. 3 , p. 8.
Il est la raison divine , qui pénètre toutes les substances,
ibid. p. 98.
Il désigne l’intelligence universelle, ibid. p. 99;
Les Chrétiens en ont la même idée que les anciens •
. ibid. p. 100.
Le Logos ou l’intelligence est Dieu , ibid. p. xoi.
On le plaçait dans la substance lumineuse, qui compose
l’Ether, le Soleil et les autres astres , ibid»..
p. 102.
On le faisoit naître du mariage de la vérité et de l’intelligence,
ibid. p. 1C5.
Il réside dans la lumière, ibid. p. 106,108 .
Le Soleil est le Logos , ou le Verbe incarné, ibid.1
p. 108, 11 o.
Le monde Archétype placé dans le Logos, ibid. p.
1 1 0 ,1 2 1 , 1 33.
L e Logos considéré sous son rapport puretuent intellectuel.
Il est cette raison universelle, dont
l ’homme a une portion. Tous ceux qui suivent
sa lumière sont Chrétiens, dans quelque religion
qu’ils vivent, t. 3 , p. 1 ia. s ’ '
Origine de cette doctrine, t. 2 , part. 2 , p. 209;
Elle se retrouve dans les écrits d’Orphée, ibid.
Logos, idée abstraite de la lumière, t. 3, p. 11 3.
11 est la lumière intelligente des Chrétiens , ‘ibid.o.
113 , 119,120.
Sa double nature , ibid. p. 113 , 114.
11 est peint dans l’hymne au S ole il, par Martianus
Capella, ibid. 115.
Traits caractéristiques , qui lui sont communs avec
le Soleil, ibid. p 119 , 284.
11 signifie primitivement la raison, l ’intelligence 1
la sagesse divine, universelle, quia organisé
toutes choses , ibid.p. 120.
Il occupe le second degré de l’être , ibid. p. 120;
Comment il est engendré par le Dieu suprême, ou
parla première cause, ibid. p. 122.
Dogme sur le Logos, que l’Evangéliste Jean emprunte
de la philosophie barbare. Théorie
d’Amelius sur Je Logos. Théorie de Flaotn, ibid.
p. 129,130.