10% T A B L E G
Appelée / s is , Cèr'es et Thémis, t. i , p. 400,
405; t. 2 , part. 2 , p. 24, 69 ; t. 3, p. 09,
40, 4 5 ,4 6 , 70, 248.
Elle est la femme de l’Apocalypse, poursuivie
par le Serpent, t. 2 , part. 2 , p. 227 ; t. 3 ,
- 4 7 9 - 50 j *!.*•
Les Perses l’appellent Y E pi. Divers objets dont
elle peut être l’image. Ses noms divers. Cortège
qui l’accompagne aux Cieux à son lever,
t. 2 , part. 2 , p. 228.
Ses rapports avec Cérès, ibid. p. 200—234.
Raison des rôles multipliés, qu’elle joue dans
les fables sacrées, ibid. p. 2 3 3 , 234; t. 3 ,
P*. 252:
Motifs qui font dire qu’elle préside aux moissons
et à la justice, t. 2 , part. 2, p. a33.
Elle est la Sibylle : elle prit une foule de noms
divers. Elle est le lieu du domicile et de l’exaltation
de Mercure, et le siège de l ’élément de
la terre, ibid. p. 234; t. 3 , part. 2 , p. 54.
Caducée de la Vierge, t. 2 , part. 2 , p. 234.
Elle est Minerve, t. 3 , p. 09.
Elle paroit à l ’orient à minuit le jour de Noël,
t. 3, p. 3 8 , 4 5 ,4 7 , 75.
Ses couches et sa mort. Monument curieux relatif
à la Vierge céleste et à son fils, sculpté
sur une des portes de Notre-Dame de Paris.
Explication de ce monument, t. 3, p. 48—
I f-
Comparaison de ses couches avec celles de La-
tone r ibid. p. 4 9 , 250.
Sa couronne de douze Etoiles, t. 3 , p. 249.
Elle est toujours accompagnée du Dragon, ibid.
P* 34 8* „ . ... ,,T
Appellee Isis et Erigone, nue d'Icare, t. o ,
P- 31)6*
Elle fixe le départ de l’année au Solstice d hy-
v e r , ibid. p. 249.
Elle est ailée, ibid. p. 25 1; t. 3 , part. 2, p. 53.
Ses rapports avec Thémis, ibid. p. 252.
Origine de ce symbole astronomique et de son
Epi , t. 3 , p. 027, 336 , 337.
I l désigne les moifiom, ibid. p. 327, 337.
Mois auquel le Soleil entroit à la Vierge, au
temps d’Hésiode, ibid. p. 329.
Elle occupa autrefois le Solstice d’été, ibid.
P- 341 , 345-.
Cause de son union au Bouvier, t. 3, p. 355 ,
356; t. 3 , part. 2 , p. 75.
Fictions sacrées faites sur elle. Ses noms et ceux
de son Epi, et de la Vendangeuse, avec leurs
divers noms, ibid. p. 52—54.
Sa filiation et ses aventures, ibid. p. 52.
Elle fut appelée Th i mis, désirée, Cens , I s is ,
Atargatis , Erigone , la Fortune, Parthenos,
ibid. p. 5s , 106, 107, n 5 .
Elle fut peinte sans tête, ibid. p. 52.
Ses levers, ses couchers et phénomènes météorologiques
qui les accompagnent, ibid. p. 55.
É N É R A L E
L ’Etoile de Janus est à ses pieds. Elle s’appelle
Mère de. D ie u , ibid. p. 64.
Elle est Thémis, nourrissant le Dieu Lumière,
ibid. p. 100.
Ville Sainte. Sa description, t. 2, part, a,
P- 134} t- 3 v P; 261.
Objet de cette fiction, et époque à laquelle y
paiTent les âmes, t. 3, p. 205.
Ville Sainte dans Lucien, comparée à celle de
l’Apocalypse, t. 3 , p. 234, 306, 307.
Ville Sainte de l’Apocalypse, dans laquelle sont
transportés les Initiés. Explication de cette fiction.
On y entre par l’Agneau, t. 3 , p. 295,
321.
Elle est comparée au monde Archétype et lumineux.
Eclairée par l’Agneau. Lieu oh on la
place. Comparée à la terre céleste de Platon,
et à sa ville Sainte; avec le lieu des Bienheureux
dont parle Cicéron dans le songe de
Scipion , t. 3, p. 300— 303 , 315»
Ses fondemens. Ses dimensions. Sa division- duodécimale.
Elle représente le monde. Elle est
le Zodiaque, t. 3 , p. 302, 307— 311 ; t. 3 ,
part. 2 , p. 17.
Ville Sainte de Cadmus, t. 3 , p. 307.
Explication que donnent Ciément, Philon et
Joseph des Pierres, qui forment les fondemens
de la ville Sainte, t. 3 , p. 308— 310.
Vingt-sept, division relative à la Lune, t. 1 ,
p. 56, 82, 239.
Virbius. Cocher céleste , Hippolyte résuscité
par Esculape, t. 1 , p. 63.
Vischnou. Sa métamorphose en Chrisnou, comparée
avec celle de iTadaibaoih des Ophites,
I l est métamorphosé sept fois en cheval. Explication
de cette fiction. Son union au Serpent.
Il est appelé Musicien Céleste, t. 3,
p. 300, 302.
Viteiputzli. Divinité des Mexicains. Ses rapports
avec Escuhpe et Sérapis. Description de son
Idole. Détail du culte et des fêtes de cette
Divinité. Rapprochemens frappans entre ce Dieu
et les Divinités Phéniciennes et Egyptiennes.
Ses Vestales, t. 2 , p. 189—192.
Voie-Lactés. Sa description, t. 1 , p. 117.
Appelée Echelle de Jacob, ibid. p. 118.
Route des aines, t. 2, part. 2 , p. 201, 206;
t. 3 , p. 299.
Représentée par un vase plein de lait, t. 2,
part. 2, p. 201.
Elle tenoit à la théorie du voyage des âmes enseignée
dans les mystères, ibid. p. 206.
Sa route à travers les signes. Elle sert de descente
vers l’empire de Pluton. Ses divers noms.
Traditions diverses sur sa formation, ibid. p. 21
t. 3 , part. 2, p. 189—190.
Voluspa. Poème des Scandinaves, Ses dogmes
fondamentaux. Comparaison .de ses tableaux ;
avec ceux de l’Apocalypse, t. 2 , part. 2
p. 136; t. 3 , p. 7 7 , 296, 297.
I Ses dogmes sur l’Elysée, t. 2 , part. 2, p. 156 ,
J 1^7* 1 Voyelles destinées à retracer le système planétaire.
Leurs rapports' avec les tons de la musique.
On les prononçoit en chantant. Ins'crp-
tion de Milet, qui les contient. Elles furent
aussi employées dans la médecine, t. 3 , part. 2
p. 297-299.
Vulcain. Son culte chez les Germains, t. \ -
p. 2«.
Premier Dieu d’Egypte, ibid. p. 135, 193, 199.
Il est le feu, ibid. p. 367,
Etabli ffement du feu perpétuel en son honneur;
bes Chiens et ses Lions .sacrés, t. 2 , p. 271.
Son temple à Athènes, voisin de celui de Minerve,
t. 2 , part. 2 , p. 30.
Ses amours avec cetie Décile donnent nais-'
sance a Erichtonius, ibid. p. 92, 93,
X.
J L è j f o c n j T E . Ses dogmes, t. i , p. o j.
! Ses huit Dieux, ibid. p. 262.
\ v
I J < g u t n. Divinité-Syrienne. See attributs,
I '• 2 > P- 254.
~ '^ ™ o z x : i s ,h é p s h t em des Gètes, emploie
J imposture religieuse, t. 2 , part. 2, p. 118.
r t l l f e f e S Législateur des Arimaspes. Il em-
p . ,8 mpOS,Ute rcliSieuse> L d part. 2 ,
:t1 ;^rr;;d4: ce nom > l i , p. to2 j
Ses dogmes, t. 1 , p. ne.
» e s expirations allégoriques, ibid. p. r , ,
I » opinion sur. l’organisation du LonPe’, ibid!
J Ur l’univers Dieu, ibid. p. 256.
■ Hrr- Son autel, t. 2, part. 2, p. 3,.
• E f e de son obiiquité, t. t , p; Ioa .
B
■ Ses‘ HdC r° "Jte à t0utes ,es PIanè‘es. Sa largeur
■ douze divisions, et leur usage. Origine d<j
Xénopion. Ses dogmes, t; i 5* p. 94;
Yaùk. Divinité Syrienne. Ses attributst. 2 -
p. i j 4. ’ 5
son nom. Il fut l’objet de fables sacrées et
d un culte. Role important qu’il joue dans la
-y^ o lo g te , t. t , p. 107—105; u 3 , part! 2,
Cause première, ibid. p. ,2 3 , 1 7 6 ,2 0 4 , * c8 ;
Appelé Cercle Olympique, t. t , p. ,62
Manière dont ,1 fut .originairement divisé, t. t,’
P-, 181 ; t. 2 , part. 2 , p. n i
Ses influences, t. 1 . n . „ I ,
Appelé Tabernacle, ibid. p.’ 2o5.v :T '~
Son action composée, ibid. p. a n .
Sa division en douze mille parties,‘ibid. p. 212-
È J , p. 25, 24. r } J ’
Partagé entre les deux causes, t. 2 , part 2
P- .189, 221 ; t. S , p. 20 -24. P *
Représenté par une roue à douze vases. Action
du Soleil repartie entre ses douze signes, t 2 ■
part. 2 , p. 235. s ’ .‘ - a ,
Sa division en signes, en décatémories, dodécaf