, 8 t a b l e g é n é r a l e
De Pithée, ibid. p. 69.
De Sémélé, ibid. p. 74*
De Mithra, t. 3 , p. 87.
D ’Adonis, t. 2 , part. 2 , p. 194; t. 3 , p. 87.
D ’A ty s ,t . 3 , p. 78, 84.
De Bellérophon, t. 3 , part, a , p. 95.
Tombeau de Castor à Sparte, t. 2 , part. 2 ,
p. 106.
D ’Idas et de Lyncée, ibid. p. 106.
De la fille de Géphée. ' D.’Arcas, ibid. p. 108.
D ’Apollon à Délos, ibid. p. 193.
A Delphes, ibid. p. 195.
Tonnerres. Leurs autels avec celui des éclairs au
Pérou, t. 1 , p. 36.
Au Mexique, ibid. p. 38.
Leur formation,. ibid. p. 191, 193.
Sacrifices aux Tonnerres, t. 2, part, a , p. 21.
Trente. Division par trente. Elle fut la division
des Nomes d’Egypte. Trente Anges chez les
Perses, t. 1 , p. 77.
Trente-six. Division du Zodiaque par trente-
six. Elle fut aussi une division de l’Egypte,
t. 1 , P .-76, 179, 205.
Division des Génies chez les Chinois, ibid. p. 286*
Triade des Chrétiens. Son origine. Elle se retrouve
dans les écrits d’Orphée, t. 2 part. 2,
p. 209 ; t. 3 , p. 104.
Diverses Triades. Siècles oh ces sortes d’abstractions
furent à la mode, t. 3 , p. 96.
Explication de la Triade ou Trinité des Chrétiens,
ibid. p. 96— 138.
Elle est renfermée dans l’idée d’un monde unique,
animé, et intelligent, ibid. p. 96 , 100.
Triade donnée par la nature, ibid. p. 101.
Triade incorporelle née de la Triade matérielle,
ibid. p. 112.
Triade des Chrétiens dans Macrobe, ibid. p. 121-
Origine de la Trinité des Chrétiens. Elle n’est
qu’une fiction théologique. Livres à consulter
'sur les Triades. Exemples des Triades., Platoniciennes,
ibid. p. 123 — 125.
Système des trois principes ou Triade de. Plotin,
ibid. p. 124 -128.
La Trinité des Chrétiens est toute Platonicienne.
Elle se retrouve par-tout, sur-tout en Egypte,
ibid, p 126, 137.
Triade de Porphyre, ibid. p. 128.
Difference d’opinions entre les Platoniciens et les
Chrétiens, sur la Triade. Le dogme des Triades
appartenoit aux Platoniciens, ibid. p. 129, 130.
Diverses Triades de Proclus. Triade, caractère
familier de la théologie des Platoniciens et
des Orientaux, ibid. p. i 3 i,
-Trimte Egyptienne devient celle des Chrétiens,
ibid. p. 133.
Celle de Trismégiste, d’Hermès, des Caballistes^
ibid. p. 134—136.
Les Triades sont de toutes les théologies an- I
çiennes. Manière dont a été engendrée l’idée I
d’une Trinité; formes diverses sous lesquelles I
elle s’est propagée, ibid. p. 136.
On retrouve par-tout la Triade des Chrétiens de I
l ’aveu de leurs propres Docteurs, ibid. p. 137. I
Sept Triades Caballistiques, t. 3 , p. 222, 304, I
Triangle. Constellation. Sa position aux Cieux, I
t. 1 , p. n 5 ; t. 3 , part. 2, p. 91.
Origine de sa dénomination et ses divers noms, I
t. 3 , part. 2 , p. 91.
Tribus des Arabes, mises sous l’inspection d’ un I
Astre, t. 1 , p. 6, 69. I
Tribus Juives, sous l’inspection d’un signe, ibid.' I
P* 69-
Tribus d’Athènes. Tribus Etrusques, ibid. p. 71. B
Triptolème accompagne Osiris dans ses voyages > H
1 . 1-, P. 385.
Cherche ïo , ibid. p. 395.
Nourri par Cérès. Reçoit de la Chèvre un char I
attelé par des Dragons, t. 2 , part. 2Ç p. 4. I
On le fait fils du Cocher céleste. Il est un des H
Gémeaux. Son aire et son autel. Son temple à I
Eleusis. Sa statue en Sicile. Boeuf placé à |■/.
l ’entrée de son temple. Statue de Triptolème, I
unie à celle de Cérès et de Proserpine. Sa B
généalogie, ibid. p. 30, 39; t. 2 , part. 2 , B
p. 3.
Trois cents soixante. Division par- trois cents I
soixante, t. 1 , p. 60.
Trois cents soixante Dieux d’Orphée, ibid. p. 77. B
Trois cents soixante Coupes remplies d’eau, ibid. B
p. 78, 423.
Trois cents soixante Stades de l’enceinte de Ba- çj
bylone. Trois cents soixante fenêtres du Ciel: B
trois cents’ soixante Idoles Japonoises, ibid. B
P‘ 78* I
Trois cents soixante degrés du Zodiaque , ibid. B
P' 1^1 *
Trois cents soixante Eons, 3 , p. 89.
Trois cents soixante-cinq Cieux, ibid. p. 89, I
Trois cents soi Xante- cinq Anges des trois, cents B
soixante-cinq Cieux, t. 1 , p. 278.
Trois cents soixante-cinq -.sources d’eau, t. 2, B
part. 2, p. 13,5. .... . , ,
Trois cents soixante-cinq ans du règne de Christ, B
t. 3 , p. 89.
Trois cents soixante-cinq sonnettes du Grand- B
Prêtre, t. 3, p. 3o8 .
Trois cents soixante-cinq fontaines de la ville B
des Bienheureux, ibid. p. 3 16.
Trois cents soixante-cinq sacrifices faits aux Dieux, B
et aux jours de l’année, ibid. p. 305.
Trophonius. Sa statue fort semblable à cells B
d’EscuIape t t. a , p. 18 3 .2 4 3 ; t. a , part, a ,
p. 35> 36-
Ses Oracles, t. 1 , p. 183.
Son bois sacré à Lébadée, t. 2, part. 2 , p. 35.
Manière de le consulter, ibid. p. 36.
Tropiques. Définition de ces cercles, t. I , p.
102 ; t. 3^ part. 2 , p. 13*
Leur origine et leur propriété, p. 113*
Typhys. Pilote du vaiffeau Argo. Sa mort, t.
1 , p. 465, 501.
Typhon. Ennemi d’Osiris, t. 1 , p. 224, 368.
Qualités élémentaires, qui lui sont affectées,
ibid. p. 201 , 240.
Fils de la Terre et Chef des Ténèbres, ibid. p.
223*
Il prend les formes du Serpent, ibid. p. 224,
380, 4 o 3 .
Il combat contre Jupiter, ibid. p. 236; t. 2, p.
29—36.
Auteur de tout le mal de la Nature, t. 1 , p. 240,
371 . 378-
Ennemi d’Hercule et d’Osiris, ibid. p. 311.
Il corrompt tous les Germes de bien. Animaux
qui le représentent, et qui lui sont consacrés,
ibid. p. 371.-
Il eft l’Àhriman des Perses, t. i , p. 372, 377;
t. 2 , p. 30 ; t. 2 , part. 2 , p. 191.
Principe defféchant, ibid. p. 377.
11 avoit la nature des Génies malfaisans, ibid. p.'
388.
Sa conspiration contre Osiris, ibid. p. 390.
Il trouve le coffre qui renfermoit Osiris. Il en
coupe le corps en quatorze morceaux. Explication
de cette fable, ibid. p. 406 ; t. 2 , part..
2 , p. 3 , 57.
Ourse, Chien de Typhon, t. 1 , p. 406.
Ses combats contre le C ie l, et contre toute la
Nature. 11 dérobe la foudre de Jupiter, lluse
de Cadmus pour le tromper. Jupiter lui reprend
sa foudre, le combat et le terrafle. Sa mort.
Explication de cette fiction, t. 2 , p. 29- -36.
II eft représenté par l ’Hippopotame, t. 2 » p*
259.
II a son siège au Scorpion, et son triomphe sous
ce signe, t. 3 » P* 36.
II étoit roux. Il est le Dragon roux de l’Apo**
calypse. Fête de sa défaite, ibid. p.- * 5 * . *53 .
254.
U.
TTkouma. Bon principe chez les Eskimaux ,
t. 1 , p. 228.
Unité de Dieu. Ancienneté et universalité de
ce dogme. Preuves de cette alTertion. Admis
par les Perses. Origine de ce dogme, et sur quoi
il eft fondé. Il naît de l’ idée de l’unité du monde.
Unité du monde Archétype. Divers motifs ont
déterminé les hommes à admettre l’unité de
Dieu ou de cause suprême. Il n’eft pas plus
un dogme révélé chez les Chrétiens, que chez
les Philosophes des différens peuples. Unité de
l’ame et de l’intelligence du monde, t. 3 , p.
9 2 -9 7 .
Unité abftraite placée au-deflus de l ’Etre. Unité
antérieure à la multiplicité. L ’efTence de Dieu
réside dans l’unité. Unité première eft Dieu ,
Père et source de son intelligence et de sa vie,
ibid. p. 109—n i .
Unité de l’Etre, première cause et bien suprême.
Unité paternelle renferme le Spiritus et l’ intelligence,
ibid. p. 119.
Unité des trois principes de Maerobe, ibid. p.
123. r
Unité suprême ou le bien. Lieu commun des
trois principes, ibid. p. 125.
Unité, sommet de la chaîne de tous les Etresj
ibid. p. 126.
Unité des trois principes d’après Numénius, ibid;
P* f i l „ . ,
Morceaux de Proclus sur l’unité et sur les troii
principes, ibid. p. 131.
Univers. Dieu ou cause suprême unique, im-
produite et indeftructible, t. 1 , p. 1 , 95.
Modèle des premiers temples, t. 1 , p. 49, 58,’
59 5 2 9 Part- a > ,P- 197‘
Modèle des antres sacrés, t. 1 , p. 61.
Tableau de l’Univers et de ses divisions, ibid»
| P- -99\ .
Animé, ibid. p. 123, 124, 243.
Comparé à l’homme, ibid. p. 245.
Intelligent, ibid. p. 257—302.
Toutes ses parties deviennent autant de siégel
d’intelligences, ibid. p. 257.
Son adminiftration confiée à des intelligences »
ibid. p. 262.
Dieu unique, animé, intelligent, ibid. p. 285»
292; t. 3 , p, 96 , 99, 108.
Mis en spectacle dans les mystères, t. 2 , part;
2 , p. 196, 212.
Immense tout unique, t. 3 , p. 96.
Comparé à un grand homme, et l’hommt à u©
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