
n i é M A L x A D I E S D E S P L A N T E S A G R I C O L E S ,
indistinctement cloisonnées au-dessous de leur partie
" ' 7 0 0 . dont 1 . paroi dans s . couche interne
grande tendance à se gélifier, présentent a leur sommet
fme organisation tout à fait semblable à celle qm a e
décrite plus haut pour les R o f h m a 0 f 0
portent à leur extrémité un épaississement natme
particulière en forme de bouchon ^ f
milieu par un fin canal. M. Frank pense que ce peu
organe joue un rôle important dans
,p 1 e s , qu’il est élastique et peut etre conside e
c L m e une sorte de sphincter entourant un pore tei-
' " 'o land après des pluies, les feuilles chargées de péri-
® ® ® Y t e = Y j . u r d t T i ? f o u d k a k “ i.hic.tec gonfle
n lth è c e Là il fait explosion et lance ses spores. Les
’ “ L e ® k “ k ® e 'n 'r f a c ilem e „ , aussitd. .p r& avoir été
0 0 ü paridréce. Los
cielle réussissent aisément quand on m Q
feuilles de cerisier saines et nouvellement cueillies su
une feuille de l’année précédente couverte de P ^ ^ Y lu e
mûrs et posée sur un support humide
# l’ouKulève de temps eu temps; en faisaïu v
K i s i le degré d’humidité du milieu, ou favorise les de
charges de spores. Au bout de deux ou trois jours l’infection
est produite.
La spore germe sur l’épiderme à l ’endroit où elle a été
lancée. Elle produit sur son bord une petite saillie qui
s’élargit en s’appliquant sur l’épiderme de la feuille; de
son milieu part un tube de germination qui perfore la
paroi extérieure cuticularisée d’une cellule de l’épiderme
et pénètre dans son intérieur où il s’élargit, se dilate, puis
F ig . 3 0 9 . — Gnomonia erythrostoma.
llycé lin ni dans le parenchyme spongieux d’une feuille de Cerisier. (D'après M. Frank.)
passe dans le tissu sous-jacent, au milieu duquel il
continue de croître sous forme de mycélium intercellulaire.
Ce mycélium, que l’on trouve dès le mois de juin
dans les feuilles jeunes qui se sont épanouies au voisinage
des vieilles feuilles attaquées l’année précédente
et restées attachées aux branches, se développe surtout
dans le parenchyme spongieux (fig. 309), où il serpente
au milieu des larges méats intercellulaires. Par places,
il se pelotonne sous l’épiderme pour produire les pycnides,
puis plus tard les périthèces du Gnomonia.
La connaissance du mode de vie du parasite fournit
i©:/!-.