ne trouve plus au milieu d’un lacis d’hyphes fort déliées
que des lames triangulaires, derniers restes de la lame
primaire de trois trachéides contiguës.
^ En outre des basidiospores qui sc forment sur l’hymé-
nuini des receptacles, le Polyporus annosus produit aussi
des conidies qui naissent sur des filaments dressés émanant
du mycélium. Elles
ont été découvertes par
M. Brefeld dans des cultures
arviiiciclles du Champignon
( i) , mais elles
se produisent aussi dans
la nature, aux mêmes
endroits que les réceptacles,
surles racines coupées
où le mycélium
forme une. lame feutrée.
Les conidiophores sont
des filaments dressés
plus gros que ceux qui
composent le mycelium
et qui sont renflés à leur
sommet cn une téte arrondie
à la façon des
Aspergillus. C’est sur
ces têtes renflées que sont
l ' lü. i 3y. — P o ly p o r u s annosus.
Cu iiia io p h o rcH c lm rg è s tlo c o n id ie s .
(D'ftiu -ès î r . D i'c ie k l.)
portées les conidies ù l ’extrémité de fins stérigmates.
Ce sont des sortes de basides ù formes variables et portant
un nombre indéterminé de sp'ores (iig. iSgi.
Le support varie beaucoup de grosseur et d’aspect,
tantôt la teic qm k termine est bien renflée, tantôt elle
, ù neine marquée. Fa ib lement nourris, les conidio-
l o l e s restent s imples , mais quand ils se développent
avec v igueur , ils sont le plus souvent ramifies.
1 a m-opagation du Polyporus annosus sc lait soit
paroles spores (basidiospores et conidies) qui peuvent
L l mcT s L les racines et y sont sans doute transporte s
t a r les rongeurs qui se creusent des terriers, soit pai 1
my cél ium qui d’une racine intectée gagne es lacin
corrode k bois prend aussi un g r a ^
d é v e lL Lm e n t dans l’ c corce; il forme entre les ecail
de l’écorce crevassée de petites masses de sU'oma flu
peuvent cire le rudiment de réceptacles ou bien sciv
î l’ infect ion des racines saines. L à où une racine n-
k k Y c <ro.vc . » 1= 1. .'.cinc Ym , . t e
voisin, c . 4iii J .n s m “ “ ' ‘ “ Y L ô c .ill.s
cóli».,; qui fonoc » » pc.it c o u s s ,» « y » 7 ' ' '
ÓC l ’ccoccc dcssócbóc de 1 . . » c » . . - “ “ r i ) onlrô
l’écorce de la racine voisine. M. K. Piaiifo
que l’ on peut aisément opérer ainsi des intccuons ai -
'“ , t k r r ô . c c 1. m .l, o» . propose de
d ln fc c d o » p . r u » fosse qoi do". “ “ (.io T t . e sYe
atteindre et trancher toutes les racines. Il doit ctie ass
cdoigoc d» foyer d’iofeeiio.r transformé „
enfermer tons les arbres dé|à » •« d “ “ ' Y / ' k
fossé on rencontre qnelqne r .cm e malade, on doit le
reponsser pins loin sans quoi on ferait t.n ‘“ 'des
Mais il peut se produire des reeep.aeles e
conidiopltores s„r les racine, “» “ P“ ” '.“ 3 , 1 , Y c i
c. on fura a n sm em é les cltanees “ " ' 7 ° ' ’ ‘ )
spore, en elrerch.m à me.lre obstacle a 1 tnlecl.on pa.
" ’ S n s " ' f o 'p r a t i q u e , dans les localités cl, le P o i , ■ p u r «
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