
claires, qui nous procurent les matières premières, les leosu vfurabgfeifst afnaçcoesn,
untéisle, sl eosu f eargvriécaebs lpese r:f poonnuer lsm &o tliefs qjouuei flfaa npcluess grande profpérité de tous les empires, de
tcooumtepso fleesn tc lalafï ègs,r adned eto ufas mleilsl ein udnivivideurfse,l lqeu i; cg’reafnt-dà -bdiieren -êetnr eu nd e felu’el fpmècoet , hquume ailne e pfluuts; la terre.
F I N .
fécNon. dB v. olLuems et a, bcleelsl ed esd eps omidesf,u rdees s& m doensn moioens n&oi esd eàs lma elefuttrrees , fe trouveront dans le M , celles des poids à la
lettre P. . . , , de Lteels ocuo mteplt epsa fyims udlaénss d le’sé tdaitv earéfteuse dl ednuré eCso &m mmaerrcche a,n dfeif etsro, uqvue’onnt tàir el’ aprltuics lceo mdems uEntéamtse n&t d( eést apto arctst uqeul id lue sc foomurmneifrïcèen td ;’ )p aqru ’eoxne mtropluev ,e cl eesf tc foomusp tleas lfeimttruel éAs d deasn ds e1n arérteisc le& A mngalrecthearnret
difes Angloife.
P R I V I L È G E g é n é r a l .
[ , OUÏ S, par la grâce de Dieu, Roi de France et de-T^avaere-u A
nos amés & féaux Confeillers, les Gens tenans nos : Cours de Parlement, Maîtres de$
Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand Confeil, Prévôt de Paris, Baillifs, Sénéchaux,
leurs Lieutenans-Civils & autres no,s Jufticiers qu’il appartiendra : Salut. Notre amé- le
fieur Panckoucke , Libraire à Paris, Nous a fait expofer qu’il défireroit faire imprimer
& donner au public un Ouvrage intitulé : Encylopédie Méthodique ; s’il nous plaifoit lui
accorder nos Lettres de Privilège pour ce néceffaires. A ces causes, voulant favorablement,
traiter l’Expofant, nous lui avons permis & permettons par ces Préfentes, de
faire imprimer ledit Ouvrage-autant de fois que bon lui fernblera-, & de le vendre, faires,
vendre & débiter par-tout ncttre- Royaume , pendant le temps de-.quarante années con-,
fécutives, à compter de la date des Préfentes. Faisons défenfes à tous Imprimeurs,
Libraires & autres perfonnes de quelque qualité & conditions qu’elles foient, d’en
introduire d’imprelïion étrangère dans aucun lieu de notre obéiflànce ; comme auffi d’imprimer,
faire imprimer, vendre , faire vendre , débiter ni contrefaire ledit Ouvrage, fous
quelque prétexte que ce puiffe être , fans la permiffion expreflè & par écrit dudit
Expofant, fes hoirs ou ayans caufe, à peine de faille & confifcation des exemplaires
contrefaits, de fix mille livres d’amende, qui ne pourra être modérée, pour la première fois,
de pareille amende & de déchéance d’état en cas de récidive , & de tous dépens,
dommages & intérêts, conformément à l’Arrêt du Confeil du 30 Août 1777 , concernant
les contrefaçons : a la charge que ces Préfentes feront enregiftrées tout au long fur le
regiftre de la Communauté des Imprimeurs & Libraires de Paris, dans trois mois de la
date d’icelles ; que l’imprelïïon dudit Ouvrage fera faite dans notre Royaume & non
ailleurs, en beau papier & beaux caraétères, conformément aux Réglemens de la Librairie ,
à peine de déchéance du préfent privilège ; qu’avant de l’expofer en vente , le manufcrit
qui aura fervi de copie à rimpreflion dudit Ouvrage, fera remis dans le même état où
l’Approbation y aura été donnée , ès-mains de notre très-cher & féal Chevalier, Garde des
Sceaux de France, le fieur Hui de Miromenil ; qu’il en fera enfuite remis deux exemplaires
dans notre Bibliotéque publique , un dans celle de notre Château du Louvre, un
dans celle de notre très-cher & féal Chevalier, Chancelier de France, le fieur de Maupeou,
& un dans celle dudit fieur Hue de Miromenil , le tout à peine de nullité des préfentes :
du contenu defquelles vous mandons & enjoignons de faire jouir ledit Expofant & fes
ayans-caufe pleinement & paifiblemènt, fans fouffrir qu’il leur foit fait aucun trouble ou
empêchement, Vovlons- que la copie des Préfentes, qui fera imprimée tout au long au