
pas exécutée dans le goût mais dans
le faillie.goût Toutefo grec,-i&s f i pla’orcne eqxua'melilnee égyptien ac beettaeu , ctêotuep ,a, vdeec . I
uonuve ralugne etptleu,s ocno nafpipdeérrçaobilte ,q u&'el leq ue'fetl llee ar eéltiée dra'upn.,
pmoarrtbéree .d aOnsn lveso itte mtrpèss -bmieond eqrnuees cfuetrt eu nteê ttea bale édtée
travaillée de relief en-dedans.du premier marbre
d'où on l'avoit tirée.
ÉGYETUS , frère de Danaüs, donna fon nom
à l’Égypte, où il régna. Il fut père de cinquante
fils, qui épousèrent les cinquante filles de Danaüs.
Voye[ D an aides, Danaüs. ,
El a été fouvent employé par les grecs pour
l*i fimple.
accDoamnps aglense ntitt rfeas ftdaetus et raàg léad iveisll ed A’Elubraipniid,oen, qluiit fouvent El pour i , par exemple e ic o k pat h c
plao utarb liec oil iKaq Pu Ae TT Hix co.'s R péocuiprr oquement on lit fur teixox. Les romains
adde olpetuèrr ernétp ucebtltieq uloe c:u otino nl itd adnasn sle sl epsr eamnciieernss -te pmlép-s
bifcites & dans les anciennes formules deloix,
leibertas , eidus , preimus , ferveilius, optimius ,
plebei, au lieu de liiertas , idus, primus, fervi-
Qus , opimïus 3 plebi. .
EiAziusGruter (il- i. T h tf.) rapporte deux
infcriptions, fur lefquelles on lit Jo vi Eiazio
pour Jovi Jazio. Voyut J azius.
eikon. Ce mot défigne, dans les infcriptions
cgirteocyqeune qs,u ’ulen ep ovritlrlaei t,o uo uu.n ela c ofntaftéudeé radteio nq ufealiqfouiet
placer dans un endroit public , pour récompenfer
fes fervices, ou reconnoître fes largelfes.
EICTON. Voyei C neph.
EIDOMÈNE, mère de Mélampas. Voyex
M élampas.
EIDOTHÉE, fille de Protée,dieü marin. Mé-
nélas, au retour de Troye, ayant été jette par
l&a tye métpaêntet dreatnesn uun elo inllge- tdeemfeprst ep, aprr èlse sd ev le’nEtgs ycpoten,-.. traires Ë id o th é e , touchée du malheureux état
où elle le voyoit, fortit delà mer pour le-recourir,
& lui apprendre de quelle façon il pourroit
fcea dree nMdréen éPlraost éaev feacv otrroaibsl e.d eE lflees pcjoamçap aegnn eomnsb ufufr-
lme abrionrsd, adfein laq um’iles r,p adraunfsf endte sf apireea upxa rdteie m doun tfrtorues
upneea u oddue udri eiun;f umpapios rtcaobmlem, e qcueis lpeesa üfxu frfeonqduooieint.t,
Ëidothée leur mit à chacun dans ks-narines une
goutte d’ambroifie, qui répandant une odeur
cOénl,e fvteer,r af urlma ofunittae Bdiee ncteôttt ec eflaleb ldee sa uvxea aurxti cmleasr indse.
Ménélas C- de Protée.
Ëidothée , fille d'Eurythus, roi de Carie ,
mère de Biblis & de Caunus. Voye% Milet.
EIONE i une des cinquante Néréides.
ÉJONÉE, beau-père d’Ixion , perdit la vie par
la malice de fon gendre. Voye% Ixion.
EIRENE, déefle de la paix. Voye[ Irène.
ÊISÉTÉRIES., fêtes d'Athenes dans lefquelllees
foalnu tf acdreif iolait àré pJuubpliitqeur e&. Làe uMr ijnoeurrv eé,t apito uler «premier de fan, fk celui où les magiftrats en-,
troient en charge. ( Suidas. )
Jupiter & Minerve étoient honorés ce jour-là
d’un culte particulier fous les noms de
de faxaiuy de bon confeil.
ELÆÂy en Æolie. eaaitûn.
Les médailles autonomes de cette ville font ;
RRRR. en -argent. Pellerint
RR. en bronze.
O. en or.
fesC perttêete uvirlsle, ad efsa imt éfdraapilpleesr , imfopuésr iall'easu tgorreitcéq udees edne Cl’hoomnmneoudre d ',H daed rSiéevnè, rdee, dSea bDionme,n ad ',A dnet oPnlianu 3-
tille , d’Hérennius , de Lucius Caefar, de Fauf-
tine jeune, de Caracalla , d'Hérennius.
poEftéLrÆieuUreSmAe n3 ti lle fur la côte de Cilicie, appelles Sébajle...............eaaioyeiûn.
Les médailles autonomes de cette ille fontî
RRR. en bronze.
O. en pr.
O. en argent.
ELÆQ1H.ES1UJM 3 «partie des Gymnafes &
ddeésv oPieanlet ttelus t,t ero ù &l ’ocno fmrqbtattotirte . d’hVyiitlreu,v ec euenx fqauiti
lm'oenn taipopne. lClo’iét teonict ofraen s doute la même pièce que Alypterium & Unftuarium.
ÉLAGABALE.., mal,nommé HêÉogabaley-dieu
q&u ’qouno a»d. ocrrooiitt- àê tErem lèel ef o,l eviLill eC de e dliae uH aéutoteitr Sreyprireé -
fenté fous la figure d'une grande pierre' taillée'
«n forme ’,de cône. L'empereur Antonin, fur-
nommé Élagabale, ou Héliogabale, ayant ete
prêtre de ce dieu dans fa jeunette, refoiut
d'établir fon culte-dans tout l’empire , au prejudice
de tous les autres dieux. Il fit apporter d E- [
mèfe à Rome, la ftatue ^Elagabalus , ’ lui bâtit
un temple magnifique ; tranfpôrta dans ce temple
tout ce que la religion des romains- avoit déplus .
facréj le feu de V e fta , la ftatue de C ybè le,
les boucliers de Mars, & c ., & enfin^il voulût
•qu’on ne reconnût point d'autre divinité dans
tout l'empire que fon dieu. Il fit apporter de
.Carthage la ftatue de Célefte, & la maria avec ,
Elagabalus : les noces, par fon ordre , en furent
célébrées à Rome & dans toute l'Italie; & tous
les .fujets de l’empire.lurent obligés-de lui faire
les préfens de noces. Le règne, de ce dieu ne
dura pas plus long-temps que celui de fon protecteur.
L'empereur Alexandre/, fuccefleur d. Elagabale
, renvoya Elagabalus' à Emèle , fupprima
fon_culte à Rome. Voye[ C éleste.
Le dieu Elagabalus eft appellé dans quelques’
infcriptions S o l A l a g a b a l u j . L e dernier des
Antonin eft appellé fur fes médailles sacerdos
d e i E l a g a b a l i. On lit fur une autre médaillé
de cet empereur s a n ex. deo sol i E laga-
b a L o . Peut' on douter après cela qu''Elagabalus
ne fut le foleil des p h é n ic ie n s& qu'il ne faille
àppelier fon prêtre, le dernier des Antonin,
Elagabale y félon' la langue phénicienne , plutôt
qu’jHéliogabale , traduction grecque du mot phénicien.
É l a g a b a l e , furn’om dû dernier des Antonin,
fous lequel il eft connu, quoiqu'on ne le .life;
pas fur fes médailles.
M a r c u s A u r é l i u s A n t o n i n u s
A u ig u.s t u
Ses médailles font :
R . en o r ; il y a pîufieürs^revers RR.
C . en argent ; il y a quelques revers R.
Il y a dans le cabinet du roi d’Efpagne une
médaille d’argent K Élagabale 3 fur laquelle^ on
l i t , dans la légende du côté de la tete,
A N T O N IN U S V .
R. en d . B. de coin romain î quelques revers
font RR.
C . en M. B.
RR. en G. B. de colonies, excepté d’Anticche.
R. e nM . & P.-B.
R. en G. B. grec.
C enM .& P .B .
C.en médailles, de M. B. frappées en Egypte.
Les médaillons latins de bronze de ce prince,
font très-rares; ils lé font moins en grec : on
en a un fameux latin, formé-de deux cuivres ,
fur lequel on voit au revers de la tete de ce
prince le triomphe de fon dieu Elagabalus, repre-
fenté en forme de- cône, fur un char trame par
quatre chevaux s il a été publié par le marquis
Capôni y & eft à prëfent au cabinet du roi.
Il eft très- aile de confondre les médailles
des Antonin, parce qu’ils ont été plufieurs qui
ont porté le même nom’; les deux plus difficiles
à dittinguer, font 'Caracalla &. Elagabale tous
deux fe nomment M. Aurel. Antoninus, Les favans
experts dans la connô-iflance des médailles, recon-
noiffent aifément la différence des deux vifages, & la grotte lèvre d’Elagabale, & la mine, ra-
rhôaubcilhees de Caracalla ; mais il faut que les mqms : gabale, -a&ie •n atu • rteictroeu- rsd eà ' Gréetmôailnei cquusi ,d i- fqtuineg ul’eo nE inae- trouve.qu’à Caracalla ; .quoique ces deux caractlèartiense
sn ed e. f ec etrsoiduevùexn t pas fut toutes les médaillés princes. Quant aux grecques,
dfoonntt tloau jtoêuter s efetm bmaorrianfsf.é sd i,f tipnaértcee ,. qlue se llfeasv ann so nyt
pre'cifément que la même légende. M. a Y r.
a n t u n e i n g c .
Elagabale y qui monta fur le trône a i âge de
quatorze ans, & qui mérita par fes defordres
le furnom :de «Sardanapale romain, ne^ pouvoir
faire fervïr les arts qu’ à fatisfaire fes goûts extra-
vagans & bifarres. On regarde cependant comme
un ouvragé de fon temps une ftatue de femme
de grandeur naturelle, confervée à la villa Albani.
Elle repréfente une femme déjà fur le retour,
avec un vifage fi mâle, que la draperie feule
en indique le fexe : fes cheveux font tout Amplement
peignés par-deflus la tête., releves & atta-
’ chés par-derrière. Elle tient dans fa main, gauche
un rouleau écrit ; ce qui eft extraordinaire dans
Mes figures de Femmes. Dé là on croit que c elt
Mæfa,- fa grande-mère , qu’il menoit toujours
au fénat, ou, Soëmias, fa mère , qui avoir accès
au' confeil privé de l’empereur , & qui prefidoit
J un fénat de femmes, dans lequel on rendoit
des arrêts ‘fur les habits, fur les modes & fur les
galanteries des femmes. ( Lamprid. Héliogab. )
ÉLAÏRE , ou Talaïre , eft la même que Hilaire.
KoyejHii-AiRÊ.
; n e rÉ L A ï S_fj.,iê 11 e d’Anius. Voyei A nius.
: É L A N A . Voyci Æ l a ,
‘ R r r ij