
I l
4.4 S D R U
truncus : mais il paroît par un mot barbare & non latinV. éSgpèeclem qaunen dcrruonigtu qs ue'filt aefntg lfoaixs,o fnig, npifaierc uen eq ug'reanncdoer em àu ltpirtuéfdeen,t utnher ognrga ndene ctreo umpoet sd'e'hfto fmaimt dees affembl,é sq.u iS afuigmniafiifee bcerco,i t dq ouue luen vbualtgaialilroen e,n u ng rgecra nad f aniot mtybordey ydoes ,f opldoautsr dliigfnpioffieesr e&n bqeuce , opuo duer fcoertttee qrua’iiflos nfe otenr mapihpoeilelonitt e n^ op«oyinyt e, lbee cté ,m aoiingfni eq uV'oéng èlcese a& a pApemllmesi etênt eM dea rpcoelrlcin} .c oVmoymeye_ &ce t fauur tSeuorl ifnu,r Vp.o p3i1f1c us&, v3i6e4 d. eL Pamrobbeucsi u, sp e. f4t 3d5e, même fentiment dans fonglofiaire fur Codin. Mais S. Nicephore P. C. dans fon hiftoire abrégée, i<r?aptu cvvToftnç y p. 16 , difoit que co nom venoit
des romains.'
DRUSES. Winkelmann ( hifi. de üart. I IL c. 3.
IreIIs. f)a iintedsi qduaen cso lme mgoeû utn éeg fyinpgtiuelna,r &ité ,c hdaer gpéeetist edse f icgaulr'aucntèer
easp paraarbteenso. Iitl eàn AcolTnenmoiafnloi,i tg tarrodies ddee clae bgiebnlrieo ;
tchoèllqèugee druo mVaainti c: atno u5t el'sa udteruex e, frte dpaténfse nlat egeasl aerlfieif edsu, fdoen tF draen lac eh.a u) te&ur dla'u nfé pcaolnmdeé, Cp oenrtvei rodne sh ucaitr apéotuecreess ahraaubte sd ef ufor nl ebso ndneeutx apcupillaftei sj , lfau rtireo ifdioèsm e&, qfuuir flee t(r oCuavyoluist 3d arnecs ueleil dc'aabnitniqe.t tdoum . cIoVm,t ep . d5e1 «C ) aeyfltu esn, pLiees dd, e&ux pporretme ièurnees fiingfuerreisp toionnt éatréa btero ufuvér else cdhoesz. l&es ild eruftf evsr a, ifnematbiolanb lqeu qiu eh alba ittreo ifleiè mMe ofnigtu rLe ibvaienn ,t cdeun dmaênmsde eesn dfrraonitc. sC, e&s dqruufie sf e, fqounet 1 roénfu gcriéosi t ddaenfs- cchetrtéeti ecnosn ;t rméeai sd guê nteéms dpas nds else ucrr ocuiflated epsa,r lfees tduifrecnst, idles faqduoerlelenst efonn fte clerse tdfieg ucreerst aeinn eqsu iedfotiloens,. dCuo nmommeb irles lqeuse ticeen nfeonitt turènse- cfai c"hgéraensd, e irla nre etéft ap'aesn évtoonirn aennt
Europe.
DRUSILLE, fécondé fille de Germanicus.
J u L I A D f iU S I L L A A u g V ST A.
Ses médailles font :
O. en or & en argent.
fraRppRéRes. eenn Mmé. mBo. igrer edce, afeu créovneférsc radteio Cn.aligula,
RRR. en P. B. au revers du même.
On n'en connoît point de latines.
DRUSUS a furnom des familles C l a u d i a
L i v i a , *
D R Y
Drusus ( Nero Claudius ) frère de Tibère.
N ero Cla u d iu s D rusus Ge rm an icu s I m-
P E R A TO R .
Ses médailles font :
RR. en or.
RR. en argent.
R. plutôt que C . en G. B.
Elles ont été frappées fous le règne de Claude.
RRR. reftituées par Titus.
RR. reftituées par Domitien.
O. en M. & P. B.
Il y en a une de G. B. dans le cabinet de
Pellenn, fur laquelle ceux qui l’ont fait frapper,
lui ont donné la qualité de Céfar. Elle n'eft pas
à la vérité de coin romain.
Drusus , fils de Tibère.
D rusus Cæ sa r .
T iberii Augusti filius dm Augufti nepos.
Ses médailles font :
O. en or.
RRR. en argent, où il eft au revers de Tibère.
C . en G. B. avec fa tête ; on y voit les têtes
de fes enfans portées fur des cornes d'abondance.
C . en M. B. de coin romain.
RRR. du même module au revers de Tibère.
R. reftituées par Titus & Domitien.
RR. en M. & P. B. de colonies.
RR. en M. B. grec, au revers de Germanicus*
RR. en P. B. grec.
Il y en a une frappée à Sardis , du module du
M. B. fur laquelle on voit Drufus & Germanicus
alfis fur des chaifes curules, avec la qualité de
frères.
D R Y A D E S , nymphes des bois : c'étoient les
divinités qui préfidoient aux bois, & aux arbres
en général. On n'entroit jamais dans une forêt
qu'on ne rendit quelque hommage à ces divinités
prétendues. Leur condition étoit beaucoup plus
heureufe que celle des hamadryades, qui étoient
jointes fi intimement chacunes à leur arbre ,
qu'elles naiffoient & mouroient avec lui; mais
les dryades avoient la liberté de fe promener &
de fe divertir 5 & pouvoient fur-vivre à la def-
truétion des bois dont elles avoient l'intendance.
Si nous en croyons O vid e, ellesdanfoient allez
fouvent autour du chêne que l'impie Érifichthon
abattit.
D U C
abattit. Elles avoient la liberté de fe marier.
Paufanias dit que la femme d'Arcas, fils de Jupiter
& de Calyfto , étoit dryade. Virgile femble
aire qu'Eurydice, femme d'Orphée, étoit dryade.
Au refte, il faut faire attention que les poètes
confondent a (fez fouvent les dryades avec les
nayades, les hamadryades, &c. Avant de couper
les arbres, il falloit que les miniftres de la religion
déclaraient que les nymphes qui y préfi-
doient, s'en étoient retirées , & les’ avoient abandonnés.
V o y e { H a m a d r y a d e s .
Le mot dryade eft formé de «fyi>t, chêne.
D R Y A S , nymphe, fille de Faune : elle étoit
fi chafte que , pour éviter jufqu'à la vue des
hommes, elle ne parut jamais en public. De là
vint que , dans les facrifices qu'on lui offroit,
il n’étoit permis à aucun homme d'y affilier.
( P lut arc h.)
D R YM O , une des nymphes que Virgile donne
pour compagne à Cyrène , mère d’Ariftée.
D R YO P E , fille d'Euryte, & foeur d'Iole,
femme d'Hereule , fut dans fon temps la première
beauté de l'Oéchalie. Apollon en devint amoureux,
& la rendit fenfible. Après cette intrigue , elle
époüfa Andrémon , dont elle eut un fils nommé
Amphire. Dry ope fe promenant un jour près d'un
la c, dont les bords étoient plantés de myrthes
& de lotos, eut envie d'offrir des' couronnes
de fleurs aux nymphes de ce lieu. Elle tenoit
entre fes bras fon fils à qui elle donnoit à teter ;
lorfqu’elle cueillit une fleur de lotos , qu'elle lui
donna pour i’amufer -y mais dans le moment elle
s'apperçut qu’il fortoit de cette fleur- quelques
gouttes de fang, & que les branches de l’arbre
marquoient, en tremblant, je ne fais quelle fe-
crette horreur. Effrayée de ce prodige , elle
voulut faire quelque pas en arrière, mais elle
fentit que fes pieds étoient attachés à la terre,
& qu'elle faifoit dejyains efforts pour les dégager.
L'écoixe montant peu à peu, enveloppa tout le
corps, & Dryope devint elle-même un arbre de
lotos. ( Qvid. meta. JX. v. 430.)
DSOM. Voyei C h on.
^ Le duché ou la dignité de duc étoit
une dignité romaine fous le bas empire ; car auparavant
le commandement des armées étoit amovible
, & le gouvernement des provinces n'étoît
conféré que pour un an. C e nom vient a ducendo,
qui conduit ou qui commande. Suivant cette idé e,
tes premiers ducs , duces, étoient les ductores
exercituum , commandans des armées ; fous les derniers
empereurs les gouverneurs des provinces
curant pendant la guerre le titre de ducs. Dans
Antiquités , Tome II.
DUC 449
la fuite on donna la même qualité aux gouverneurs,
même en temps de paix.
Le premier gouverneur, défigné fous le nom
de duc , eft celui de la Marche Rhctique , ou du
pays des Grifons, dont il eft fait mention dans
Cafliodofe. ( Var. V I ï. 4. ) On établit treize ducs
dans l'empire d'Orient, & douze dans 1 empire
d'Occident.
E n O r i e n t . E n O c c i d e n t .
Lybie. Mauritanie.
Arabie. Séquanique.
Thebaïde. T ripolitaine.
Arménie. Armorique.
Phénicie. Pannonique fécondé.
Moéfie fécondé. Aquitanique.
Euphrate & Syrie. Valérie.
Scythie. Belgique fécondé.
Palestine. Pannonie première.
Dace. Belgique première.
Ofrhoène. Rhétie.
Moéfie première.
Grande - Bretagne.
Méfopotamie.
La plupart de ces ducs étoient ou des generaux
romains, ou des defeendans des rois du
pays, auxquels en ôtant le nom de rois, on
avoit laiffé une partie de , l'ancienne autorité,
mais fous la dépendance de l'empire.
Quand les goths & les vandales fe répandirent
dans les provinces de l'empire d'Occident, ils
abolirent les dignités romaines par-tout où ils
s’établirentj mais les francs, pour plaire aux
gaulois qui avoient été long-tems accoutumés à
cette forme de gouvernement, fe firent un point
de politique de n’y rien changer j ainfi ils divisèrent
toutes les gaules en duchés & comtés,
& ils donnèrent quelquefois le nom de ducs, &
quelquefois celui de comtes , comités, à ceux
qu'ils en firent gouverneurs. Voye^ C omité.
D U C A T . L'origine des ducats vient de Lon-
ginus , gouverneur d'Italie, qui fe révolta contre
Juftin le jeune, empereur, fe fit duc de Ra-
venne, & fe nomma Exarque , c'eft-à-dire 9fans
feigneur. Pour marquer fon, indépendance , il fit
frapper en fon nom & à fon empreinte des
monnoies d'or très-pur, & a 24 karats, qui furent
nommés ducats y comme ditProcope.
DDUUCCEENNAARIRIUES, , \f officier dd ’aarrmmeéee qquuii aavvmoitt
fous lui deux cçnts hommes. Les empereurs avoient