¡ B I P 100000 miséreux qu’on attribuait à la métropole de
i îentsin ou le « Gué du Ciel » est le port
naturel du Petchili, comme de la région seotentibntsin
3 1 1 dU Chaflsi’ Province tientsin fleuve Jaune, en arrière du Perticvheirlai.ine du moyen
C’est aussi à un certain degré et jusqu’à
dépossession possible et probable an nrnfit
autre ville du golfe de Liaotoung ou d u ^ l f e de PetcMi après
1 exécution du réseau des chemins de fer russes de a M^nd
100 seuiement à voi d’oiseau, à 50 kilomètres en ligne droite dé
a mer sur le Peï ho, fleuve navigable, qu’on pourra rendre plus
dénaft H6 encore ®Près amélioration de sa barre, au point de
départ du canal Impérial, voie de commerce qui se poursuit
OE me fertflitéfleT e H EUe 8 S°n SÎte H H extrême fertilité, plaine interminable, couverte de coton et
formé« aUi ■ ! convergence de plusieurs chemins naturels
eesstt nbaass, çcàà eette îlààr mmaWré6cSa gde®u x, ceoxnptorséée 5a umxa ilnhoeunrdeautisoenmse nett àle rseorl
taines époques l’air y est lourdement humide elle est à
f - - J l i l seulement au-dessus du niveau des mers entre un
lac Taho au nord et un lac Tapo au midi ’
commerciaux entre les Européens et les Chinois que cette
ville devenue l’un des « ports à traité >, a démesurément
Ellee ^immpnoorrtte? pnr6i-nlec i1p aplreemscefunet qdmu nrtiuz p; lép usiess dTeise néttsoinffoeiss . de
1 opium, de la quincaillerie d’Europe, q Æ paye en laine et
en P - - o t en f o u i e s , en
chameau. Cest à Tientsin que le gouvernement é
.d. oÆn "’jt'Mi/aBT .AmonLopol"e, !et l,de6s 1m3 aCghaisni6n’s 1d6 e^ Pcéôrfégaléens éqruail sdeurv seenltl
PP sionnement de Peking. D’énormes amas de sel, de
riz, de froment, couverts de nattes, se succèdent au bord du
fleuve.
Dans le principe, lorsque Tientsin fut un des ports à traité
désignés pour les rapports de trafic entre Chinois et « Bar-
Fig. 4 . — T ien t s in et l e ba s Peï h o .
E.<Je Greenw. ii7o»5-
D 'a p rès l& S ??Crcographiyioe de l'Arm ée.
w Chemin de fer. e=s= Route,
»=■=«*»= Chemin de fer projeté.
1 : lOOOOOO
bares », le grand bloc de la navigation sur le Peï ho, ici communément
appelé Haï ho ou « Fleuve de la Mer », appartenait
aux négociants anglais, mais en peu d’années les Chinois ont
réussi à conquérir la première place. Ils ont ajouté à leurs flottilles
de jonques des navires de construction européenne e t
possèdent même de nombreux bateaux à vapeur qui font jo u rnellement
le service du fleuve, en aval et en amont de la ville.