En 1844 le mouvement des affaires avec l’étranaer w
résuma par 248 millions; en 1879 par 195 millions; en ^86 par
feul“menTeSn?894 dqo"ln ha P8S déPassée;S f |l S ™ *894> donc bien moins qu’il y a cPinaqr u1a6n6t em eitl litoannst
d années : là-dessus, près de 85 millions pour l’importation
fSÙ mMiè r e cIe cMrT a u e PcOesr tantoi0mnùb rMesa isSe Vra cpopnovriteenntt daeu cmoemttmree recne
tranger seulement, sans tenir compte du mouvement de marchandises
qui se fait par l ’intermédiaire des jonques chinoises-
on a souvent constaté que la diminution d e s é c L n “ s pa;
£ 0 9 ^ C°mpenSée Par l’accroissement d Î l r a ^ c
Avec les soies grèges et avec les soieries, ce sont les
leess Tcoottoonnss eett ’croottoonnantatdHSe sS, ilÎe fs° Çlarinniassgeens,t llee P p]uést roà lle’,e xl’pooprituamtio dné ;
K r iqU1 -COntn )Uent le Plus à l’importation. Les envoi“ de
soies et soieries diminuent considérablement, par suite de la
thé p a r^uüe de i t l ” SU'' S maro.hés de l’Europe, et ceux de
et à Ceylan lextension du Précieux arbrisseau dans l’Inde
Le port reçoit annuellement de 2 000 à 2 500 navires iau
géant de 1 500 00° à 1 800 000 tonnes, et il en expédie à peu près
seu ^ s ’p a r^ à rett™’ Ü Chm0’ 1 1 1 1 1 8 P a n e n t presque
deeuuxx aauuttrreess. lL aa FFrramn ce esTt Spee’ u1 ArneSplreétseernrteé etr è:s d1es apvaavniltl odness
étrangers couvrent ses marchandises.
, . c ’esl;.à Canton que s’est inconsciemment formé, par l’effet
des relations constantes entre Anglais et Chinois le bizarre
jargon appelé « anglais d’affaires » ou business english (pidaeon
« K g dont un certain nombre d’expressions^ sont entrées
dans le langage ordinaire des Anglais eux-mêmes Une classe
S l l f e E » d6 * ccmpradores », qui ne s o tt ni
nglais ni Chinois, pullule autour des factoreries : ces hommes
sont Pour la plupart tenus en médiocre estime et c’est à eux
? C an to n a isT Pmtérieur r °PProbre <Iui s’attache au nom de
nAn.uii dl,Ct0n P°Pulaire exprime à la fois combien la vie est
pénible dans les montagnes de l ’ouest, et combien elle est
corrompue dans la grande ville du midi : « Vieillard ne va pas
au Setchouen; jeune homme, ne va pas à Canton »
rriivviièèrree adees! Ferles, est aussi unSe grlanl Sde vi llde®, qCuia nsteo np rosulor nalea
la r a d ! eSPaCe 4 kll°mètres, au bord des îles qui entourent
Profondeurs en mètres
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