
 
        
         
		&  fon principal commerce confifte en verrerie &  en  
 fayanee. 
 Cette  ville  a  produit  au  xvj.  fiecle  un  célébré  
 avocat  du  parlement de Paris  , Marion  ( Simon  )  ,  
 qui devint préfident aux enquêtes ,  puis  avocat général. 
   M. de Thou &  les autres favans  de  fon tems,  
 en  font  les  plus  grands  éloges.  Les plaidoyers qu’il  
 mit au jour en  i 594, ne font point tombés dans l’oubli. 
   Il  mourut  à Paris en  1605,  âgé de  65  ans. 
 Marigny (   Jacques  Carpentier de ) ,  poète  fran-  
 çois du xvij.  fiecle ,  étoit de Nevers ;  il  avoit  beaucoup  
 voyagé ,  &c embraffa  le parti  de M. le  prince  
 de  Condé.  Son poème  du pain-bcni  renferme  une  
 fatyre affez délicate  contre  les marguillers  de Saint  
 P au l, quivouloient le forcer à  rendre  le  pain-beni.  
 Gui-Patin s’eft trompé  en lui attribuant le traité politique  
 contre  les  tyrans  ,  vindicia contra  tyrannos.  
 Il  mourut à Paris en  1670. 
 Ravifius-Textor ,  grammairien  françois  du  xv.  
 fiecle, étoit auffi natif de Nevers. On eftimoit encore  
 fes ouvrages au  commencement  du  fiecle  fuivant,  
 parce que la France  fortoit  à  peine  de  la barbarie.  
 Il mourut à Paris en  1521. 
 Mais il ne faut pas oublier Billaut (Adam), connu  
 fous  le nom de maître Adam, menuifier de Nevers fa  
 patrie, vivant fur la fin du régné de Louis XIII. Cet  
 homme fingùlier, fans lettres &  fans  études , devint  
 poète dans fa  boutique.  On  I’appelloit de  fon tems  
 le Virgile au rabot. En effet, fes principaux ouvrages  
 font le rabot,  les  chevilles  ,  le vilebrequin, &   les autres  
 outils de fon métier.  Enfin, dit M.  de Voltaire  
 on ne peut s’empêcher de  citer de lui le rondeau fuivant  
 , qui vay t mieux que beaucoup de rondeaux de  
 Benferade. 
 Pour te guérir de  cette feiatique, 
 Qui  te  retient comme un paralitique  
 Entre deux  draps fans aucun mouvement ;  
 Prends-moi deux brocs d'un fin ju s  de forment  
 Puis lis comment on les  met  en pratique :  
 Prends-en deux doigts &  bien chaud les applique  
 Sur l epiderme ou la douleur te pique , 
 E t tu boiras le refie promptement  
 Pour  te  guérir. 
 Sur cet  avis ne fois point  hérétique ; 
 Car j e   te fais un ferment  autentique  
 Que f i  tu crains ce doux médicament, 
 Ton médecin , pour ton foulagement  
 Fera l'ejjai de  ce qu'il communique  
 Pour te guérir. 
 Maître  Adam  étant  venu  à  Paris  pour un  procès  
 au lieu de plaider, fit des  vers à la louange du  cardinal  
 de Richelieu .  dont  il  obtint une penfipn. Gaf-  
 fon , frere'de  Louis  XIII. répandit  anflï  fïtr  lui  fes  
 libéralité^,  ti mourut en.  lôôz.  (D . J .) 
 NEÜG-NUM,  (  Cuijine.  ) c’cil  le  nom  que  l’on  
 donne au Tunquin à  une  fauçe  affez finguliere dont  
 les Tunquindis font communément ufage dans leurs  
 ragoûts.- Pour la faire ils mettent des petits poiffons  
 &  iur-tout des  crevettes,  en macérationdans'une  
 eau  fort falée. Lorfque le tout eft réduit  en  une  ef-  
 pece  de bouillie, bn làpaffepar un linge, & la par.  
 tie liquide eftle ntych-num. On dit que les Européens  
 s accoutument affez  i  cette efpecé de lance. 
 -  NEVEL, f.  m.  ( Comm.  )  petite monnoie  de  bas  
 j   ,  H  on  k rt le  Je la côte  de  Coromandel. 
  Le nevel vaut depuis trois caffers iufnu’à fix 
 NEVEU, f   m.  ( Jurifpr. )  fleuris ou foronsfilius ;  
 eu   le  fils  du firere  ou  de  la  feeur de  celui dont  on  
 parle ;  de  meme la niece  eft la  fille  du frere ou de  
 la feeur. Les neveux &   nieces  font  parens de  leurs  
 oncles &  tantes au troifieme degré, félon le droitci-  
 vil  &  au deuxieme,  félon  le droit canon.  L’onde  
 &  la niece ,   la tante fie le neveu, ne peuvent fe mafier  
 enfemble fans  difpenfe, laquelle s’accorde même  
 difficilement. 
 Suivant  le  droit  romain  ,  les  neveux  enfans  des  
 frétés  germains  concourent dans  la fucceffion  avec  
 leurs oncles, freres germains du défunt ; ils excluent  
 meme  leurs  oncles qui  font  feulement confanguins.  
 ou utérins.  Nov.  418. cap. iij. 
 coutume de Paris y &  beaucoup  d’autres  
 lemblables, l’oncle &  le neveu d’un défunt luccedent  
 également, comme  étant en même degré.  Coutume  
 de  Paris , art. 3 3 g .  ( A ) 
 |  NEUF»  adj.  ce  qui  n’a point ou  peu  fervi.  Unç  
 étoffé neuve ,  une toile  neuve ,  un habit  neuf.  ' 
 Dans le commerce de bois de  chauffage,  on  appelle  
 bots  neuf celui qui vient par  bateau &  qui  n’a  
 pas flotte.  Voyei B o is .  Dictionnaire de Comm.  (G)  
 Neuf , ( Maréchall. ) On appelle  cheval neuf celui  
 qui n a  ete  m monté ni attelé. Pié &   quartier  neuf%  
 Voye^ Pie &  Quartier.  * 
 1. N e u f ,  ( Arithmétique. )   c’ eft  le  dernier  ou  le  
 plus grand des nombres exprimés par un feul chiffre.  
 On peut le concevoir ou comme le produit de 3 multiplie  
 par  lui-meme ,  ou  comme  la fomrne des trois  
 premiers  termes  1 - f  3 +  5  de la fuite  des impairs :  
 d ou  il refaite  egalement  ( Voye?  Impair )  qu’il  eft 
 un quarre dont 3  eft la racine.  • 
 Deux  propriétés l’ont rendu célébré , &  font  encore  
 1 admiration  de ceux  qui n’en pénètrent pas le  
 myftere.  r 
 2.  Première propriété.  La  fomme  des  chiffres  qui  
 expriment un  multiple  quelconque de  0  ,  eft  elle-  
 même un multiple de g   . .   .  . Comme réciproquement  
 tout nombre dont la  fomme des  chiffres  eft un multiple  
 de g   ,  exprime  lui - même  un  multiple  de  0.' 
 3  ,  par  exemple  (multiple  de g  )   donne  pour  la  
 fomme de fes chiffres 6 +  3 = 9 . . .   378 ( autîe mul-  
 tiple  de g )  donne  3 +  7 +  8 =   18 =  9 x 2 . . ^ . 
 Pareillement  fï  on  écrit  au  hafard  une  fuite  de  
 chiffres  en  nombre  quelconque , pourvu feulement  
 que  leur  fomme  foit g   ou  l’un  fie  fes  multiples ,   
 comme  1107  8 8 1 , 1 1 1 1 5 ,   on  eft  affuré  que  
 le  nombre refaltant  fe divife  exadement par g . 
 3.  Seconde propriété.  Si  l’on  renverfe  l’ordre  des  
 5“ L,res  <3U1  expriment  un  nombre quelconque , la  
 diff érence du nombre direct au nombre  renverfé  .  eft  
 toujours un multiple de^. 
 Par  exemple, +  1^ f e 9 X 4■   .  .  ,8 z 6 -   
 02» _   I90 =   9  X  22  . .  ,  &c. 
 4.  Gomme le nombre j j  j e  tire fes propriétés que  
 du  rang cm il occupe dans notre fyftème de numération  
 , où  il précédé immédiatement  la  racine  10 de  
 notre echelle arithmétique,  pour rendre fit  démonf-  
 tratton  generale &   applicable à H   autre nombre  
 qui  tienne  refpeSivément  le  même  rang  dans  font  
 echel e  particulière ,   nommant  r  la  racine  d’une  
 echelle  quelconque  ,  nous  démontrerons  les  deux  
 propriétés pour urt.npnjbre  r g â   priijndéterminé-  
 ment ;  mais avant que  d’y  procéder ,   il eft bon  de  
 rappelier à 1 efprit quelques  ptopofit.ons  ou  claires  
 par elles-memes ,  ou  prouvées  ailleurs ,  defquelles  
 <lepend  la  demonftration. 
 Lemme I.  5. Soient deux nombres  avec leur différence  
 ,  ce qui en fait trois ; de cés 3 nombres fi deux  
 pris  comme  on  voudra font multiples d’un  quatrième  
 nombre quelconque,  le troifieme l’eft auffi. . . . .   
 qu’on nomme les deux nombres par des lettres, con-  
 formimenti l'hypothifi, &  l’on fendra l ’évidence de  
 la  propofition. 
 Lemme IJ.  La  différence  de  deux  puiffances  
 quelconques de la même  racine, eft  un multiple  de  
 cette  racine  diminuée  de  l'untté ;  c’eft-à-dire que  
 r J -  r” , &   par une  fuite  ( faifant l’expofant i S o  )  
 r  -   1  font  multiples de r -  i .  . .  pour la preuve,  
 voye{ Exposant.  r  9 
 Corollaire.  7. La différence d’un  chiffre  a pris  fuivant  
 une valeur relative quelconque au même chiffre  
 pris,  fuivant toute autre  valeur relative ,  ou fuivant  
 fa valeur abfolue,  eft un multiple de r—  1.  
 Cette différence (voy. Echelle arithmétique)  
 peut  être  repréfentée  généralement  par  .  .  a.  rw—  
 a.  rn =  a x  rm—rn ;  mais  la quantité qui multiplie  a  
 eft (  lemme i l .   )  un  multiple de r — /  ; donc  le produit  
 même,  ou la  différence qu’il repréfente  ,  l’eft  
 auffi. 
 Et ce qu’on  dit d’un  chiffre pris folitairements'applique  
 de foi-même à un nombre compofé de tant de  
 chiifres  qu’on  voudra  ;  il  eft  clair que la  différence  
 totale aura  la même  propriété qu’affeâent  toutes  &   
 chacune  des  différences  partiales  dont  elle  eft  la  
 fomme. 
 8.  Cela  pofé ,  revenons  aux  propriéts  citées  du  
 nombre  r— 1. 
 Première propriété.  ( ^ôy«^-la n°.  2. )  On  peut  l’é-  
 noncer  ainfi :  fi  plufieurs  chiffres  en  nombre  quelconque  
 , pris  fuivant  leur valeur  relative ,  donnent  
 un multiple de  r — 1 ,  ces mêmes chiffres pris fuivant  
 leur  valeur  abfolue,  donneront  auffi  un multiple  
 de r —  1. 
 Démonflration.  La  différence  des  deux  réfultats  
 eft  (  corotl.)  un  multiple  de  r —  1  ;  mais  (par fup-  
 pofition ) le  premier l’eft auffi : donc ( lemme I.  )  le  
 fécond l’eft pareillement. 
 Au  refte  cette  demonftration  eft telle  que fans y   
 rien  changer  elle  prouve  également  l'inverfe  de  la  
 propofition. 
 Seconde propriété.  Voyelle  n°.  3. 
 Démonflration.  En renverfant l’ordre des  chiffres  
 on  ne  fait  qu’échanger leur  valeur  relative  ;  mais  
 (  coroll. )  la  différence qui réfulte de  cet échange eft  
 un multiple  de r —  1  : donc, &c. 
 Obfervez que l’objet de cette fécondé  démonftra-  
 tion  n’eft qu’un  cas très-particulier de  ce qui réfulte  
 du  corollaire  ci-deffus ; il établit  la  propriété  non-  
 feulement  pour  le  cas du  fimple  renverlèment  des  
 chiffres , mais généralement pour toute perturbation  
 d’ordre quelconque, entière ou partiale,  qu’on peut  
 fuppofer  entr’eux. 
 9.  Il eft  clair que  tout fous-multiple de r^—i participera  
 aux  mêmes  propriétés  qu’on  vient  de  dé-  
 monirer  pour  r —  1  même  . . . .   auffi  3  en  notre  
 échelle  en  jouit-il  auffi  pleinement  que g   ;  2  &  3  
 auffi pleinement que  6  dans  l’échelle lepténaire ,  &  
 1  dans toutes les échelles, parce que 1  eft fous-multiple  
 de  tous  les  nombres. 
 10. Mais  le  nombre g  ( & ceci doit s ’entendre de  
 tout  autre  r —  1  )  a  encore une  autre propriété  qui  
 jufqu’îei n’avoit point été remarquée .  .  .  c’eft que la  
 divifion par g   de  tout multiple de g   peut  fe réduire  
 à une  fimple fouftraftion : en voici  la pratique. 
 Soit  3851  (  multiple  de  5   )  propofé  à  divifer  
 par g .  . 
 Ecrivez o au-deffus du  chiffre qui exprime les unités  
 ,  6c  dites  ,  qui  de o ou  (  en  empruntant fur  tel 
 chiffre qu'il appartiendra ) qui de  10  paye  2  .5 
 refte  8 ;  écrivez  8  à  la  gauche  du  o  avec  un  point  
 au-deffus,  poijr marquer  qu’il  en  a  été  'emprunté  
 une unité  , &  qu’il ne doit plus être  pris que poijr 7. 
 Puis  dites ,   qui de 7 paie  5  , refte 2 ;  écrivez  2  à  
 la gauche  du 8. 
 Enfin dites  , qui de  2 ou  ( en empruntant ) qui de  
 12 paie 8, refte 4 ,  écrivez 4  à la gauche du 2  ayec  
 un point au-deffus . . . .  &  tout eft f^it :  cqr 3 — 3 = 0 ,  
 montre que l’opération eft confommée ; enforte que  
 négligeant  le  o  final  ,   le  refte 428  eft  le  quotient  
 cherdhé.  j.:. +  ■.  iv. tv.* -  ■  f. 
 On  voit que  cette fouftraélîon eft plus finjple  mê-  
 jne que 1 ordinaire, qui  exige' troisrangs-de  chiffres,  
 Tome  X I ,  o  a  j 
 tandis  que  celîe-ci  n’en  a  que  deux i  âü féfté  fcîte  
 porte auffi fa preuve avec elle ; car fi Ton ajoute ( en  
 biaifant un peu )  le dernier  chiffre  du  nombre infé*  
 rieur avec le pénultième du fupérieur, le pénultième  
 de celui-là avec l’antépénultieme de celui-ci, &  ainfi  
 de fuite,  la fomme vous rendra  le nombre fupérieuf  
 meme, s’il  ne  s’eft point  gliffé  d’erreur  dans  l’opé*  
 ration. 
 11. La  raifon de cette pratique deviendra fenfible*  
 fi l on fait  attention  que  tout multiple de^p peut lui-  
 même être  conçu,comme  le  réfultai d’une foüftrac*  
 tion. En effet, 428 X 9— 428 X 10— 1 =4280— 428*  
 ce  qu’on  peut  difpofer  ainfi  :  4280  .  >  .  s 
 — . .  42,8  .  .  .  m  
 3852  .  .  . 7 
 nommant s le nombre fupérieur, m celui du milieu *  
 j  l’inferieur.  Il  fuit  de la  difpofition  des  chiffres que  
 le dernier de m  eft le même que  le pénultième de  s i  
 le  pénultième de m  le  même  que  l’antépénultieme  
 de  s , &c. 
 Maintenant  le  nombre j   étant  propofé  à  divifer  
 par  g   ,  il  eft  clair  ( conftruûion  )  que  le  quotient  
 cherché eft le nombre m, mais (  encore par  conftr.) 
 d’oîi  mx+ s — j  ,  voilà  la  fouftra&iôtî 
 qu’il  eft queftion  dp faire ;  mais  comment  y   procéder  
 ,  puifque  s  ,  élément  néceffaire  ,  n’eft  point  
 connu  ? 
 Au-moins en connoît-on le dernier chiffre, qui eft;  
 toujours  o : on peut donc commencer la fouftraâion.  
 Cette première opération donnera le dernier chiffre  
 de m z=  (fuprà)  au  pénultième  de  s ;   celui-ci  fera  
 trouver le  pénultième de/rç =  à l’antépéhultieme  de  
 s , & ainfi de l’un en l’autre, le chiffre dernier trouvé  
 de m étant  celui dont on a befoin dans s  pour conti*  
 nuër  l’opération. 
 Dans l’addit ion qui  fert de preuve à la réglé, c ’eft  
 le nombre j  qu’on  ajoute  au nombre m ,  ce qui  évidemment  
 doit  donner  le  nombre  s  ;  car  puifque  
 J — s;P>i  » d fuit que j  +  m =  s. 
 12. Obfervez ( derniere  figure ) que dans  la fouf-  
 tra&ion  employée  pour  multiplier 428  par g   , il  fô  
 fait deux emprunts , l’un fur le 8  , l’autre  fur le 4 ,  
 que d’un autre  côté  la fomme des  chiffres du multiple  
 3852  eft  18 ,   ou g  pris fieux fois ,  ce  qui  n’eft  
 point  un  hafard  ,  mais  l’effet  d’une  loi générale.  La  
 fomme des  chiffres du multiple contient g  autant  de  
 foi$ qu'il y  a eu d.' emprunts  dans  la  fouftraéüon qui  a  
 fervi  à  le  former. On  en  verra plus bas la raifon. 
 13.  Il  fuit  que  fi  la  fouftraétion  s’exécutoit  fanâ  
 faire d’emprunt,  la fomme  des  chiffres du  multiple  
 feroit =   oj,  conféqucnce  révoltante  par  l’imagination  
 ,  mais  q ui, entendue comme  il  faut, malgré la  
 contradiâion qu’elle  fembie renfermer, ne  laifl'epas  
 d’être  exaâement  vraie. 
 Pour s?en convaincre, que dans le même exemple  
 aux chiffres on  fubftitue clés  lettres, ou  fimplement  
 que biffant fublifter les chiffres, on procédé à la fouf*  
 traftion par  la méthode  algébrique , on  aura 
 4  z  8  ô 
 ,  -   . . . 4   2.__8 
 4.  2-^4. <8—2.—8* 
 Le  réfultat  qui  repréfçnte  le  multiple  contient  
 quatre  termes , diftjngués  entr’eux par des  points  *  
 nommant (relativement au rang ) pairs les feppnd &   
 quatrième  ,  &   impflirs  Ips  premier  &  trojfieme ;  fi  
 l’on  fait, féparément  J.a fomme  ides  termes pairs  
 celle des impairs, là première fera + 2  — 4- — 8 ,ô£   
 la  fécondé  +  4. +  8  2 :  oh l’on  voit que  les  mêmes  
 chiffres  font  contenus dans l’une & dans  l’autrô  
 fomme  ,  mais  avep  des  fignes  contraires  ;  enforte  
 que fi l’on vient à ajouter les deuxfommes enfemble*  
 P  ij