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Je dois dire que la commission s’est partagée à cet
égard. Deux de ses membres, MM. Al vin et Wigersma,
trouvent cette méthode trop compliquée. En revanche,
M. Bordeaux lui est très sympathique, mais en homme
sage et avisé, il m'a fait observer qu’il ne faut jamais
chercher à imposer une innovation, elle doit être admise-
à son heure, une fois que quelques personnes ont commencé
à la reconnaître pratique et à l’employer.
Voici donc la méthode que je me borne spécialement,
non pas à proposer, mais à exposer.
Il y a trois sortes de légendes :
i° Les légendes circulaires directes (D) qui se développent
dans le sens des aiguilles de la montre;
2° Les légendes circulaires indirectes (I) qui se développent
en sens inverse des premières §
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3° Les légendes inscrites dans le champ (G), y compris
l’exergue qui est séparé du champ par un trait.
Les légendes du champ peuvent être droites, rétrogrades
ou boustrophédon (x).
Pour indiquer le point d’où part la légende, on place
la pièce à décrire sur le cadran d’une montre, ou celui
d’une pendule, ou encore sur le disque ci-dessus, en ayant
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Ex. : N° i (D. 6o) VERITAS
N° 2 (D. 3o)
N° 3 (I . 3o)
N° 4 (I- 6o) —
( i) Je remercie MM. Imhoof-Blumer et Adrien Blanchet pour les ¿renseignements
qu’ils ont bien’voulu me fournir sur l’origine des légendes boustro-
phédon.