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gard^,'poui3‘fèmief "4a touché aux ateiîfàfceùi-s de
fé^ë^üfe^ëdaiené të i:;;> i ; q : 41:.ü s i j :
xiv. 1 1 Cepén4anb> fatigüë’ pâr lés plaîiwçs des
Conciicd’Aries. liftes,-qui dMieii^biïJoursIqüe k dôiicîlédéîilome
n a voit' pâs'-'ete* aflèz- nombreux- ; 8c ‘voulant lëut
béer tout prétexte dè"; tumulte','* il réiblut de faire
aflembler iin pitis grand concile, âft dans les Gaules
comme ils défiroient, é’eft-à-dire, en la ville d’Arles.
zM.adMUv. Il écrivit doffé5 à Ablavius ou Elaius vicaire d’Afrique
qui etoit Chrétien ; lui ordonnant de faire venir
Cecilien , quelques perfonnes qu’il choifiroit, &
d’autres ëvêques-:de toutes les provinces d’Afrique :
"fiivoir de la Proeonfulaire de lit Byzaccne, de celle
de Tripoli , des’Nümidies & des Mauritanie«, avec
ceux que chacun C'hôifiroit, quelques-uns auiîi du
parti contraire a Cecilien ; & de donner à chacun de
ces eVêquef-des lettres pour faire le?-voyagé âux:dé-
pens du public ; les faiiànt venir par terre autant
qu’il fe pouvoit, c’eft-à-dire par la Mauritanie &
£«/,*.njt.t.s. TElpagne. L ’empereur écrivit aüifi aux'évêques; 8c
nous avons la 'letti-é'-adrcifce à ChreftuS %êque de
Svracuiè eh Sicile, qui porter-Comme nous avons
ordonné a plufieurs évêques de divers lieux de s’af-
fembler en la ville d’Arles dans le premier d’Août-,
nous avons auiii jugé à propos de vous écrire, afin
que vous preniez une voiture publique, par l’ordre
de Latronien corredeur de Sicile, avec deux per-
fonnes du fécond ordre à votre choix, & trois valets
pour vous ieryir pendant le chemin ;•& que vous
L /t iV B- E'i BÏÏX I e’m §.; H
vous trouviez au m$rner4ieu dans ; Idjogr Wiaçqt^îj
Ôn éxprimoit dans eqsi lettre^ le; iiiombr-e des pef-
iqnncs, parée que durant le voyage on leur foutnii-
foit. aux dépens/du publie,' la voiture , ; le logement.
& la nourriture. Chréftusriau li.eu de deux prêtres ,
ne ntena avec lüi qu’un diacre nommé Elorqs. Pan
cette lettre on peut juger de celles, qui furent écritesj
aux : autres éyêques ; car c’étoit apparemment une,
lettteiCirculaire, où l’on ne changeoit que les .noms
dfifr évêques& ;desi.go’üvetneuts.x On : croit; ¡ que:4e
pape étqù irtvité à çe concile-, puifqu’i f yr.en.YQy*
íes légats. .
Les.évêqueas’alîemblerentdoné à la ville d’Arle§
au jpqr, nommé ¿ le premier,.Août de cette annf§
3 1 4, Le- nombre des Gaulpis étoit le plus grand:
on en voir ièize dans les louicriptions, entre lefquels
font les- trois qui ayoiént afiifté au concile de Rome.
Il y eut au moins trente-trois .évêques à ce concile „
8c quelques abiè,ns; .y-..envoyèrent des prêtres à leur
place. Plufieiirs églifes de Gaule y iont marquées ,
entre autres Arles, Marièille, Vienne, Lyon,. Au-
tun, Reims, Trêves, Cologne, Roüen & Bordeaux.
Dans la grande Bretagne, Yorc &. Londres. 11 y
a quelques Italiens,, plulieurs Lfpagnols & plufieurs
Africains. Marin évéque d’Arles étoit accompagné
d’un prêtre & de quatre diacres: les légats que le
pape S. Silveftre avoit envoyez de Rome, étoient
deux prêtres, Clâudien & : Vitus, & deux diacres,
Eugène.& Cyriaque.. ’
On examina .d’abord la caufi: de Cecilien evê-
que ,dc Carthage, Les.. Donatiftçg ;%yancoient con-
I i
Subfer* Conci
Arel*.
Valef* de febifm» .
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