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CLIMATOLOGI!':.
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CHAI'lTliE III. 127
Cornine les tiilileinix divers ilaus iesquels noiis avons
tâché (lo grouper les fails météorologiques rolalil's à Trébisoncle,
représentent l'ensemble des éléments (connus
j u s q u ' a u j o u r i r i i u i ) f|ui doivent servir de base à toute
opinion qu'on voudrait se former sur le climat de cette
ville, nous pouvons essayer d'établir un parallèle entre les
résultats ainsi obtenus et ceux que les inênies procédés
nous ont fournis relativement à Constantinople. Mais avant
d'aborder cette question intéressante, il ne serait pas superllu
de faire ressortir les points d'analogie que le climat
de Trébisonde peut offrir avec celui des autres contrées, et
de voir quelles régions traverseraient ses lignes isothermes.
Parmi toutes les moyennes annuelles des divers points
de l'Europe, celle de Lucques (Italie, 43° 51 lat. Nord,
long. 8° 10 à l'Est de l'Observatoire de Paris, ait. 0) se
rapproche le plus de la moyenne annuelle de Trébisonde;
en effet, la moyenne de Lucques, selon M. Schouw^, est
14.94, il n'y aurait donc entre les deux localités qu'une
diflérence d'mi centième de degré. Cependant, quant à la
distribution de cette moyenne annuelle entre les quatre saisons
de l'année, les deux villes ofTi-ent de notables discordances,
car les moyennes hivernale, printanière, estivale
et automnale étant pour Lucques 4.6, 16.1, 23.G et lo^.
et pour Trébisonde, 7.88, 11.31, 22.84 et 18.30, il en
résulte 1° qu't\ Trébisonde la différence entre les quatre
saisons est, à une seule exception près, bien moins grande
qu'à lAicques où elle est de 11.5 entre l'hiver et le printemps
(à Trébisonde do 3 .43) , de 7 entre le printemps et
1. Tableau du climcil de l'iiolie.
2. r;il)leau I\' tic M. Maliliuan, annexé au l"' vol. lies KieUin-e Schyifi ili>
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